Locution nominale. Homme qui n'est pas soumis au servage ou à l'esclavage.
Qui a le pouvoir d'agir, de se déterminer à sa guise : Être libre de ses décisions. 5. Qui n'est soumis à aucune contrainte, à aucun contrôle, à aucune restriction : Avoir la libre disposition d'un bien.
Pour accéder à la liberté, l'homme doit se déterminer lui-même à agir et penser. Il doit, pour cela, appliquer à sa raison, décider ce qui est bon et utile. Quand sa raison détermine son agir, alors soumission aux passions se réduit, s'amoindrit.
La liberté est en général l'objet d'une triple analyse. C'est d'abord une notion métaphysique. Il s'agit alors de savoir si l'homme est libre ou déterminé par des contraintes qu'il ne maîtrise pas. S'il est la cause première de ses choix, on dit qu'il possède un libre-arbitre (aussi appelé liberté d'indifférence).
A) La liberté est une exigence de la morale
L'Homme reconnaît en lui la loi morale, le devoir de bien agir et pour la morale je me sens capable de résister à mes désirs. C''est possible et donc c'est contingeant. Don l'Homme peut aller contre le déterminisme, décider de lui même de son action grâce à sa raison.
L'homme ne se définit pas par son essence, ni par un inconscient ni par des déterminismes ni par un destin ou une volonté divine, mais uniquement par son existence. Il est donc entièrement libre, puisqu'il est déterminé par ce qu'il fait et non ce qu'il est.
Pourtant, la liberté est ce qui fait l'homme ; la liberté est considérée par John Locke comme étant l'un des droits fondamentaux de l'homme. Cela signifie que si l'on prive l'homme de sa liberté, alors, il n'est plus vraiment un homme. En effet, nous sommes des êtres doués de raison.
Locution nominale
Homme qui n'est pas soumis au servage ou à l'esclavage.
La liberté, le plus simplement possible peut-être définie par l'absence de chaînes. Un esclave par exemple est un homme qui n'est pas libre. L'homme libre ne peut être soumis, c'est celui qui fait ce qu'il veut, qui ne souffre d'aucune contrainte.
Les différentes formes de liberté :
Liberté naturelle : en vertu du droit naturel. Liberté civile : en respectant les lois. Liberté politique : pouvoir exercer une activité politique, adhérer à un parti, militer, élire des représentants...
La liberté est le pouvoir qui appartient à l'homme de faire tout ce qui ne nuit pas aux droits d'autrui; elle a pour principe la nature, pour règle la justice, pour sauvegarde la loi; sa limite morale est dans cette maxime : Ne fais pas à autrui ce que tu ne veux pas qu'il te soit fait.
1) soit se déterminer sans sentiment de contraintes et sans contraintes ( et même si le choix s'avère nécessaire, cela ne porte pas atteinte à la liberté, s'il n'est pas subi, mais accepté,compris ou décidé), (b. 2) soit se déterminer de manière contingente sans sentiment de contrainte interne.
Pour commencer, on peut définir la liberté comme la possibilité qu'a une personne de penser, de s'exprimer et d'agir selon ses valeurs, ses croyances, ses besoins et ses désirs. La liberté permet, par exemple, à une personne de faire des choix.
➙ autonome, indépendant.
Etre libre, cela s'apprend. Il faut notamment prendre conscience de tous nos conditionnements pour pouvoir poser des actes partiellement libres. De plus examine en quoi cette liberté n'est pas seulement individuelle. Il existe de nombreuses façons d'incarner cette liberté.
La dépendance est un autre obstacle à la liberté intérieure. Il peut s'agir d'une dépendance à un objet, une substance, une relation, une habitude. Être dépendant, c'est ne plus pouvoir se passer de quelque chose, c'est perdre sa liberté.
La liberté est un idéal et aussi le pire des pièges. La liberté de se regrouper peut mener à l'enfermement; celle de proclamer la vérité, à l'exclusion; et celle de dénoncer violemment peut entraîner la répression. La liberté est un instrument dangereux quand elle n'est pas accompagnée par la réflexion.
L'homme n'est vraiment libre à la naissance. L'homme ne nait pas totalement libre car il dépend de ses besoins vitaux : un homme est forcement obligé de manger et de boire ainsi que de se reproduire pour survivre et proliférer l'espèce. Le petit homme est donc soumis aux lois de la nature.
Celle-ci est indépendante de toute cause extérieure. La volonté peut donner consentement à telle ou telle chose, quand bon lui semble. Elle « est tellement libre de sa nature qu'elle ne peut jamais être contrainte ».
Il est le résultat de ses choix et il est donc responsable de ce qu'il est. A la différence de l'animal qui est poursuivi par ses instincts, l'être humain est doté d'une conscience qui lui permet de savoir ce dont il a besoin, ce qu'il aime. Il est donc libre de juger par lui-même ce qu'il désire.
Dans l'action par devoir, le sujet n'est pas soumis aux inclinations ou à tout autre intérêt sensible. Il est soumis à lui-même, à sa raison pratique c'est-à-dire sa volonté. En tant que tel, il est libre. Le devoir est un impératif catégorique et non hypothétique.
En ce sens, agir librement n'est pas agir sans obstacles ou sans contraintes (intérieures, extérieures), mais décider de la manière dont nous réagissons à ce qui nous apparaît comme tel. Nous ne pouvons pas ne pas choisir : ne pas choisir, c'est encore choisir !
LE SENTIMENT DE LIBERTÉ
Il peut atteindre ce but seulement à travers la liberté. En prenant conscience de sa dimension de liberté, il peut se sentir libre et manifester son essence. L'essence de l'homme a ses racines dans le sentiment de liberté et elle s'identifie avec la liberté d'être soi-même.