Les angoisses nocturnes sont souvent le reflet d'une frustration, d'un stress important ou de problèmes persistants. Des facteurs environnementaux, psychologiques, physiologiques ou encore génétiques peuvent aussi en être à l'origine.
Les événements stressants survenant le soir nous rendent plus vulnérables que ceux qui se produisent le matin. En effet, le cortisol, l'hormone libérée par l'organisme en situation de stress, est moins sécrété en fin de journée et nous prive de l'énergie nécessaire pour réagir aux évènements angoissants.
Si vous êtes trop énervé(e) pour vous endormir, essayez alors de faire un petit peu de yoga ou de méditation, afin que votre esprit s'apaise et que votre corps se détende X Source fiable Mayo Clinic Aller sur la page de la source . Concentrez-vous sur votre respiration. Inspirez profondément puis expirez lentement.
Frictionnez, martelez, pressez et massez tout en respirant lentement. Utile, efficace, apaisant ! Vous pouvez aussi, en 5 minutes, vous apaiser juste grâce à la respiration. On inspire, on expire, et on ne pense à plus rien d'autre qu'à faire entrer et sortir de l'air (par le nez, bien sûr).
La meilleure solution est alors de rester compréhensif et présent, de ne pas s'énerver : cela renforcerait le climat anxiogène d'un moment consacré au repos. Faites de la chambre un endroit sympathique, et du lit un endroit douillet.
Le sport est un très bon moyen de faire tomber la pression et d'éviter les angoisses nocturnes en allant au lit avec un corps beaucoup plus détendu. "Dans le mesure du possible, évitez les sports trop intenses 3 heures avant le coucher ou privilégiez des activités douces.
Au niveau des poignets
Ce point est appelé « Porte de la sérénité » ou « 7ème méridien du cœur ». Pour lutter contre l'insomnie, il est conseillé de masser chaque soir ce point sur le poignet gauche avec le pouce de la main droite dans le sens des aiguilles d'une montre pendant environ 3 mn.
La « nyctophobie », ou la peur de la nuit, ne concerne pas que les enfants. Elle submerge aussi les adultes, qui connaissent de grandes angoisses lors du coucher. Comment expliquer cette phobie de la nuit et surtout comment s'en libérer ? Décryptage et conseils d'expert.
Impact du stress sur le sommeil
Ainsi, le stress va provoquer la sécrétion d'hormones (adrénaline puis cortisol) qui stimulent l'état d'éveil et favorisent la libération des ressources énergétiques. En conséquence, le stress augmente notre attention, notre vigilance et notre niveau d'énergie.
La personne ressent une peur intense avec perte de contrôle (peur de s'évanouir, de mourir, de devenir fou, de faire un malaise cardiaque…), une sensation de danger immédiat et des sensations physiques très désagréables et très variables (palpitations, sueurs, frissons, bouffées de chaleur, tremblements, douleurs ...
Les difficultés d'endormissement sont souvent liées à des erreurs qui finissent par dérégler notre sommeil. Pas de panique, les stratégies gagnantes existent. "Elles peuvent aussi survenir chez des personnes souffrant de stress et de surcharge mentale: leur cerveau ne réussit pas à se relaxer au moment du coucher.
Les meilleurs anti-stress naturels à ingérer
La camomille est connue pour ses vertus relaxantes, idéales pour se libérer du stress. Quant au thé vert, il est tout aussi efficace puisqu'il aurait la capacité de maintenir, voire de baisser, le niveau de cortisol (l'hormone du stress) dans notre corps.
Organiser sa semaine et anticiper son quotidien peut être une source de relaxation car elle permet d'apaiser notre envie de contrôle et nous libère du stress lié à l'incertitude. En planifiant, nous pouvons nous ressourcer, même si nous n'avons pas la « fibre » de l'organisation.
Ce phénomène, nommé en anglais "overthinking", bloque notre esprit en le remplissant d'angoisses, de peurs et d'inquiétudes inutiles. Les pensées sont normales et impossible à arrêter, mais c'est la manière de gérer ses pensées qui va faire la différence.
Un défaut de récupération pendant le sommeil
L'une des origines à explorer pour la fatigue est celle qui concerne le défaut de récupération pendant le sommeil, et peut s'expliquer assez simplement parfois par des douleurs, de la fièvre, des difficultés respiratoires, etc. qui empêchent les patients de bien dormir.