FSH (Follicle Stimulating Hormone) et LH (Luteinizing Hormone) sont des hormones de nature glycoprotéique synthétisées au niveau antéhypophysaire. FSH et LH, tout comme TSH et HCG se composent de deux sous unités: a et b.
Ces hormones sont sécrétées de façon pulsatile à des intervalles de 1 à 4 heures. La LH et la FSH favorisent l'ovulation et stimulent la sécrétion des hormones sexuelles, l'œstradiol (un œstrogène) et la progestérone, par les ovaires.
LA FSH (hormone de stimulation folliculaire) est une hormone synthétisée par l'hypophyse, une petite glande située à la base du cerveau. La FSH est associée au cycle menstruel et développement des ovules chez la femme et à la production du sperme chez l'homme.
Quel est le taux de FSH lors de la ménopause ? On sait que la ménopause est là quand le taux de FSH augmente. Il passe au-dessus de 30 UI/l. La FSH, c'est l'hormone folliculo-stimulante, une hormone cérébrale qui contrôle la production d'oestrogène et de progestérone, les hormones de la reproduction.
LH ou hormone lutéinisante
Elle a un rôle important dans le bon fonctionnement du cycle menstruel chez la femme . Première partie du cycle (phase folliculaire) : 0,5-5,8 mUI/ml. Au moment de l'ovulation : 16 -40 mUI/ml. Deuxième partie du cycle (phase lutéale) : 0,5-5,8 mUI/ml.
œstradiol : moins de 58 picogrammes par litre ; progestérone : moins de 2 microgrammes par litre ; FSH : de 17 à 95 UI/l ; LH : supérieur à 30 UI/l.
La LH stimule la production de progestérone et provoque l'ovulation grâce à un pic de sécrétion au milieu du cycle. Ce pic de LH marque la fin de la phase folliculaire et conduit à la transformation du follicule en corps jaune, au cours de la phase lutéale.
Un bilan sanguin pour vérifier que vous vous portez bien
La première étape consiste à analyser le niveau d'œstradiol et de FSH (hormone folliculostimulante). Un taux bas d'œstradiol associé à un taux élevé de FSH permet de confirmer une ménopause.
Le bilan hormonal est idéalement pratiqué à J-3, ou entre le 2ème (J-2) et le 4ème (J-4) jour du cycle menstruel (le premier jour du cycle étant le premier jour des règles) en ce qui concerne la FSH, LH, 17 Bêta Oestradiol, Progestérone, Inhibine B.
Chez la femme, ce prélèvement pourra être effectué au cours de la phase folliculaire, qui débute le premier jour du cycle menstruel et s'achève au moment de l'ovulation. En milieu de cycle, le dosage permet de dépister un pic ovulatoire.
Hors grossesse, d'autres symptômes peuvent également être dues à un excès d'œstrogènes comme : un état de fatigue et des maux de tête fréquents. une prise de poids car les œstrogènes ralentissent le fonctionnement de notre métabolisme.
Les taux diminués d'inhibine et d'œstrogènes ovariens, inhibent la libération hypophysaire de LH et de FSH, entraînant une augmentation substantielle des taux de LH et de FSH circulants.
Sous l'effet de la progestérone, le cerveau cesse progressivement de sécréter la FSH et la LH : les ovaires diminuent leur production d'estrogènes, puis de progestérone, jusqu'au prochain cycle.
Comme elle fait partie du système endocrinien, l'hypophyse fabrique de nombreuses hormones différentes qui circulent dans tout le corps. Ces hormones contrôlent certaines fonctions du corps et indiquent à d'autres glandes de fabriquer d'autres hormones.
La ménopause est généralement divisée en trois phases: la préménopause, la ménopause et la postménopause. La préménopause est la période qui précède la ménopause, où les fluctuations hormonales sont plus prononcées.
La majorité des kits de dépistage de la ménopause incluent 2 tests urinaires à effectuer à une semaine d'intervalle pendant le cycle. Ces tests, identiques entre eux, mesurent le niveau de l'hormone folliculo-stimulante (FSH). La FSH est une hormone sécrétée par l'antéhypophyse.
En début de cycle et avant l'ovulation, sa valeur doit être basse ; en 2ème partie de cycle, elle témoigne de la fonction du corps jaune. Toute diminution de sa valeur en 2ème partie de cycle traduit une absence d'ovulation ou une insuffisance lutéale.
Une fatigue intense. Des bouffées de chaleur et des difficultés à respirer. Des sueurs nocturnes. Une prise de poids.
D'une manière générale, la ménopause est effectivement après une année consécutive sans cycle. À ce moment, la ménopause est supposée finie. Cependant, les symptômes comme les bouffées de chaleur et les sueurs nocturnes peuvent perdurer jusqu'à 7 ans après ce cap.
Dans l'hypophyse, les œstrogènes entraînent la hausse de la libération de la LH. Les œstrogènes sont ainsi responsables d'un « pic de LH » qui est spécifique de l'ovulation. En effet, cette augmentation de la production de LH induit la rupture du follicule ovarien qui libère alors son ovocyte dans la trompe de Fallope.
L'hormone lutéinisante (LH) est synthétisée par l'hypophyse, petite glande située à la base du cerveau. La LH est associée à l'ovulation chez la femme et à la production de testostérone chez l'homme. Chez l'adulte, le dosage de la LH est indiqué dans les cas d'infertilité et de troubles du cycle menstruel.
Symptômes de l'ovulation : les variations de l'hormone lutéinisante (LH) Le premier des symptômes de l'ovulation est le taux de l'hormone LH qui augmente pour aider à libérer l'ovule de l'ovaire. Ce phénomène est connu sous le nom de poussée de LH et l'ovulation se produit environ 16 à 36h après.