« L'amaxophobie est la peur irrationnelle de conduire ou prendre la voiture », nous indique Alexandra Lecart. Ce mot est composé du terme grec « amaxo » qui signifie « chariot » et de « phobia » qui signifie peur.
Il n'existe pas de médicaments spécifiques pour traiter l'amaxophobie, on parle plutôt de traitement par psychothérapie. Comme pour une grande partie des phobies, la thérapie cognitive et comportementale (TCC) a largement démontré son efficacité pour en soulager les symptômes.
Pour les passagers, la peur en voiture vient souvent d'un manque de maîtrise de la situation (sensation de faiblesse) mais aussi, parfois, d'un manque de confiance en la personne qui conduit. Ces pics d'anxiété peuvent être apprivoisés grâce à une gestion du stress optimisée et à un travail sur soi.
Plusieurs solutions pour travailler sa phobie de l'autoroute : La technique des TCC, Thérapies Cognitives et Comportementales, permet d'annuler les divers traumatismes vécus par le sujet pour lui permettre de reprendre la conduite.
des anxiolytiques (benzodiazépines et buspirone) : ces médicaments ont une action rapide contre le stress et l'anxiété. Ils sont en général prescrits sur de courtes durées et à de faibles doses, par exemple avant que les antidépresseurs ne fassent effet.
Une seconde solution possible est de pratiquer un sport ou des techniques de relaxation avant de prendre le volant. Le conducteur, reposé et libéré de ses soucis, pourra alors prendre la route bien plus en confiance.
L'agoraphobie est un terme employé pour la première fois par le psychiatre allemand Carl Westphal et désigne « l'incapacité à traverser des places désertes et des rues » (Westphal, 1872, p. 15).
On appelle "amaxophobie" la peur de conduire. Une phobie bien spécifique, qui se traduit généralement par des crises d'angoisse à l'idée de devoir prendre le volant, et dont les causes sont multiples.
Même si certains usagers de la route ont passé leur permis il y a des années, voire des dizaines d'années, et n'ont que très rarement touché à la conduite, cela ne s'oublie pas totalement. En effet, lors de leur formation au permis de conduire, tous les automobilistes mettent en place des automatismes.
Premier examen de France en nombre de candidats, le permis B est aussi l'un des plus difficiles et 16 % des jeunes de 18 à 24 ans ne le tentent pas «par peur d'échouer». Facultatif en ville. Le permis n'a également pas le même intérêt selon l'endroit où l'on réside.
Le moment le plus important de votre formation à la conduite est bien évidemment le jour où vous passez l'examen. Vous devez vous présenter en sachant ce que l'on attend de vous, et en connaissant les erreurs qui peuvent être éliminatoires. Cela vous enlèvera peur, stress et anxiété, croyez-nous!
L'amaxophobie, ou peur de conduire, se traduit par un pic de stress ou des crises d'angoisse au moment de prendre le volant, voire même en anticipation.
Certaines personnes n'aiment guère conduire; d'autres redoutent cette activité, souvent en raison d'un mauvais souvenir. Dans des cas extrêmes, la peur prend la forme d'une véritable phobie. Ces personnes ont l'impression que quelque chose de grave va leur arriver, que leur vie est en danger.
Pour rouler en toute sécurité, évitez les distractions : éteignez votre téléphone ou programmez-le pour qu'il transmette un message d'absence automatique en cas d'appel ou de SMS reçu. Configurez votre itinéraire sur le GPS avant de partir.
Katagélophobie : c'est le petit nom de la peur du ridicule.
La mégalophobie se caractérise par la peur panique et irrationnelle des grandes choses et gros objets.
La personne ressent une peur intense avec perte de contrôle (peur de s'évanouir, de mourir, de devenir fou, de faire un malaise cardiaque…), une sensation de danger immédiat et des sensations physiques très désagréables et très variables (palpitations, sueurs, frissons, bouffées de chaleur, tremblements, douleurs ...
Pour des longs trajets, faites des pauses régulières. Lorsque vous avez le choix, conduisez lorsqu'il y a moins de trafic. Ne pas hésiter à changer de conducteur si nécessaire. Une bonne alimentation : éviter d'être déshydraté ou affamé
L'attaque de panique ou crise d'angoisse aiguë se définit par : l'apparition soudaine d'une crainte, d'une angoisse ou appréhension intense, d'une peur ou terreur ; une sensation de catastrophe imminente, souvent associée à la peur.
L'anxiété généralisée ou trouble anxieux généralisé
Elle est en état de vigilance extrême vis-à-vis de son entourage et de son environnement ; différents symptômes physiques (maux de tête, douleurs musculaires, fatigue, insomnies, sueurs, palpitations...).
On l'appelle burn out, ou syndrome d'épuisement professionnel. Peut-être parce que cette pathologie est multiforme. Grosse fatigue physique, émotionnelle, voire intellectuelle, elle peut cumuler les trois maux et avoir des conséquences parfois graves.
L'anxiété peut aussi être un symptôme d'affections plus importantes, comme une phobie ou un trouble obsessionnel compulsif. Enfin, ce trouble peut être une alerte d'un stress prolongé suite à un événement traumatisant.
Les vertiges neurologiques
Les manifestations sont en général plutôt une instabilité à la marche, que des vrais vertiges rotatoires, mais tout est possible. Il existe en général d'autres symptômes : céphalées, troubles visuels, troubles de la marche, troubles de l'élocution …
Cela peut être dû à un stress post-traumatique suite à un accident violent, un manque de confiance en soi, une peur terrifiante de conduire après un permis récent… Quoi qu'il en soit, il s'agit bien d'une phobie de la conduite, car les sujets concernés reconnaissent l'incohérence et la démesure de leur crainte.