Exemple : La banlieue de Paris est constituée des départements d'Île-de-France autres que Paris : l'Essonne, le Val d'Oise, le Val-de-Marne, la Seine-Saint-Denis, les Hauts-de-Seine, les Yvelines et la partie ouest de la Seine-et-Marne.
Par glissement de sens, le terme de « banlieues » (au pluriel) désigne aujourd'hui une partie de la banlieue qui concentre des problèmes économiques (chômage de masse), culturels (présence d'une forte proportion d'immigrés ou d'enfants d'immigrés) et sociaux (nombreux îlots de pauvreté).
Ensemble des localités administrativement autonomes qui environnent un centre urbain et participent à son existence.
Mais, au fil des excroissances urbaines successives, du desserrement des activités, et dans une optique de zonage fonctionnel des espaces, les différenciations spatiales ont conduit à distinguer différents types de banlieues : industrielles, résidentielles, mixtes, etc..
La banlieue désigne la zone urbanisée située autour de la ville-centre, cela comprend aussi bien des quartiers pavillonnaires que des quartiers plus populaires. La notion est donc socialement neutre et correspond à une réalité physique.
Les banlieues françaises, à la différence des suburbs anglo-saxonnes qui logent les classes moyennes blanches, ont été créées dès la fin du XIX e siècle pour loger les classes populaires.
Le périurbain est donc habité par des personnes qui dépendent de la ville mais ont emménagé dans un espace au paysage composite, qui conserve des traces de l'ancien espace rural. Aujourd'hui, 30 % de la population française vit dans cet espace d'entre-deux entre la « banlieue » et l'espace rural.
La question des banlieues renvoie à une situation réelle, avec une concentration de problèmes (chômage, précarité, ségrégation, émeutes, etc.), mais elle renvoie également à des constructions mentales, sociales, politiques, morales.
Par exemple, Lyon 6ème est un des quartiers les plus huppés de Lyon : de nombreux immeubles haussmanniens et des hôtels particuliers se concentrent dans cet arrondissement lyonnais, le quartier des Brotteaux, proche de la gare de Lyon-Brotteaux et du Parc de la tête d'or fait partie des secteurs prisés de cet ...
Pour la première fois, un palmarès des "villes et villages où il fait bon vivre" a été publié, réalisé par l'association du même nom. Paris est en 55ème position de ce classement.
Les banlieues se distinguent d'abord par leur dynamisme démographique et économique, leur dimension, leur population et l'importance de la ville-centre à laquelle elles sont reliées.
La démographie elle-même de ces ghettos, cités-dortoirs, devient un facteur de violence : c'est aussi la pyramide d'âges : la classe des jeunes tient une place numériquement trop importante, (c'est l'une des raisons pour laquelle les villes du tiers monde sécrètent la violence).
Vendôme, Arras, Reims, Le Mans, Evreux, Chartres, Lille ... ces sept villes sont toutes situées à moins d'une heure de train de Paris.
Le Sud trust le podium : Montpellier en tête du classement général, devant Aix-en-Provence et Toulouse. 3 villes se démarquent des autres métropoles par leur score : Montpellier, Aix-en-Provence et Toulouse.
La première grande loi d'urbanisme française a été signée en 1943 par Pierre Laval, le chef du gouvernement de Vichy. Cette loi a permis d'étatiser l'urbanisme et la construction.
La ville-centre est la commune centrale (dans ses limites administratives) d'une agglomération, elle lui a donné naissance. Il est préférable de parler de commune-centre, une ville incluant aussi les communes formant la banlieue.
Le Busca. Quartier chic très prisé à Toulouse, le Busca s'étend au pied de la côte pavée, à l'ouest du canal du Midi. Voisin des Carmes, il est réputé pour abriter le grand Jardin des Plantes, parc historique et poumon vert du centre ancien de Toulouse.