Dixième partie des récoltes prélevée chez les Juifs pour être offerte à Dieu ou donnée aux lévites.
La dîme est le dixième de vos revenus que vous donnez à l'Église de Dieu. Ce commandement date de l'époque de l'Ancien Testament. Le prophète Malachie a enseigné l'importance de la dîme et les bénédictions qui découlent de l'obéissance à cette loi : « Apportez à la maison du trésor toutes les dîmes …
Parfois, la dîme est obligatoire et le sujet occupe une grande partie de chaque culte. Des promesses de guérison divine et de prospérité sont garanties en échange de certains montants de dons. La fidélité dans la dîme permettrait de s'éviter les malédictions de Dieu, les attaques du diable et la pauvreté.
La dîme : un impôt d'origine carolingienne destiné à soutenir les pauvres et les clercs, dont l'Église a su s'approprier intégralement le contrôle. Un des prélèvements les plus lourds qui aient pesé sur les populations, et qui n'est remis en cause qu'à la Révolution.
La définition que le Seigneur donne de la loi de la dîme est simple. La définition de la loi [de la dîme] est tout simplement « un dixième de tous [les] revenus » (D&A 119:4).
Les offrandes étaient en grande partie des produits agricoles : blé, orge, huile, animaux et la quantité correspondait au dixième de leur revenu, la dîme.
La dîme et les offrandes que nous faisons à l'Eglise servent à l'œuvre du Seigneur. Les dirigeants l'utilisent de la manière désignée par le Seigneur. Ces dons contribuent à ramener nos frères et sœurs auprès de notre Père céleste.
Le Seigneur promet de nous bénir si nous payons fidèlement la dîme et les offrandes. Il a dit : « Apportez à la maison du trésor toutes les dîmes, afin qu'il y ait de la nourriture dans ma maison ; mettez-moi de la sorte à l'épreuve, dit l'Éternel des armées.
La dîme est définie au Moyen Âge comme un prélèvement que les fidèles doivent verser à l'Église, une ponction correspondant en principe au dixième de leurs productions.
Dans les religions grecque antique, romaine antique, israélite et chrétienne, les prémices étaient offertes dans le temple ou l'église. Elles constituaient souvent une source de revenus pour les dirigeants religieux et l'entretien des bâtiments.
C'est la prière la plus simple. Elle consiste à répéter longuement le Nom de Jésus, une phrase de psaume ou une invocation : « Seigneur, Fils du Dieu vivant, prends pitié de moi pécheur », « Seigneur, ne t'éloigne pas de moi », « Seigneur, montre-moi ton visage », « Seigneur, tu sais bien que je t'aime ».
Avec abîme, dîme est le seul mot en [im] (à part les formes verbales) à s'écrire avec un accent circonflexe.
Le terme de « gabelle » (emprunté à l'italien gabella, lui même issu de l'arabe) s'applique initialement au Moyen Âge à toutes sortes d'impôts, mais, à partir de Louis-Philippe, il désigne exclusivement l'impôt sur le sel.
La taille est avec la gabelle l'impôt le plus impopulaire de l'Ancien Régime. Au milieu du Moyen Âge, il s'agit d'une taxe arbitraire prélevée par le seigneur sur ses paysans en échange de sa «protection».
L'Eucharistie est un sacrifice d'action de grâce au Père, une bénédiction par laquelle l'Église exprime sa reconnaissance à Dieu pour tous ses bienfaits, pour tout ce qu'il a accompli par la création, la rédemption et la sanctification.
Bénédiction des vins
C'est à l'issue de la cérémonie religieuse que le prêtre s'est dirigé vers les tonneaux et les bouteilles de vin des producteurs douzénois pour bénir le vin et les vignerons du cru. Un moment émouvant pour tous et qui a donné à la messe une coloration particulière.
Cette définition du sacrifice comme repas est corroborée par les indications relatives à sa matière, laquelle consiste exclusivement en des produits qui peuvent être consommés. On peut, certes, offrir à Dieu de l'or, de l'argent, des bijoux, des vêtements (voir, par ex., Nb 7, 84-86 ; 31, 50-54 ; Esd 2, 69).
Le sacrifice a pour but de reproduire de quelque façon la manifestation de Dieu au Sinaï, événement unique, fondateur de la relation entre le Seigneur et son peuple.
Il y a de nombreux adages dans la Bible. Personne ne sera étonné de trouver celui-ci : « Il y a plus de bonheur à donner qu'à recevoir (Actes 20, 35) ». Il correspond tout à fait à l'idée que l'on se fait de la morale chrétienne.
Offrande à Dieu d'un acte de renoncement, d'une privation en union avec le sacrifice du Christ.
Très tôt dans l'histoire, il est une monnaie d'échange pour le commerce. Il sert de moyen de paiement sous l'Antiquité romaine pour la rémunération des soldats, étant ainsi à l'origine du mot « salaire », du latin salarium.
Les Bretons ne payaient pas la gabelle, tout simplement parce que la Bretagne était une région productrice de sel. En revanche, cet impôt était très mal vécu par les habitants du Maine et de l'Anjou, qui eux payaient plein pot et subissaient les contrôles des gabelous.
1. Fraction variable, en principe dixième partie, des produits de la terre et de l'élevage versée à l'Église, abolie en 1789. 2. Prélèvement arbitraire opéré sur quelque chose ; taxe : Prélever une dîme sur chacun des services rendus.
Mon Dieu, je vous offre mon cœur, mon esprit, mes pensées, mes paroles, mes actions, tout moi-même, pour ne servir que votre gloire. Je renouvelle les promesses de mon baptême. Mon Ange gardien, je vous remercie de m'avoir gardé pendant ce jour ; offrez à Dieu tous les battements de mon cœur pendant que je dormirai.