Sur un navire à voile, la drisse est un cordage servant à hisser une vergue, une voile, un pavillon ou un signal flottant. Par exemple la drisse de grand-voile sert à hisser la grand-voile en tête du grand mât).
La corde qui sert à hisser les voiles sur un bateau s'appelle une drisse.
Drisses : Cordages permettant de hisser les voiles. Elles sont prises sur le point de drisse de la voile, en son point le plus haut. Il y a une drisse par voile. Ecoutes : Cordages permettant d'effectuer les manœuvres de voiles, les réglages.
La méthode la plus simple et efficace consiste à utiliser l'ancienne drisse, toujours en place, pour passer la nouvelle dans le mât. On va simplement fixer bout à bout l'ancienne drisse et la nouvelle. On tire sur l'ancienne, qui va tirer la nouvelle drisse jusqu'à ce qu'elle soit complètement en place.
Pour choisir une drisse adaptée à vos besoins et aux équipements de votre bateau, connaitre la charge de travail exercée sur votre point de drisse est le premier critère à évaluer : il vous faudra alors choisir un cordage qui supporte cette charge en toute condition pour une sécurité maximale.
Choquer revient à laisser filer doucement une manœuvre qui permet le réglage des voiles (les écoutes). "Choque le foc" revient laisser un peu de mou dans l'écoute de foc. Quand on choque, on donne du mou. Attention, à ne pas confondre avec "larguer" qui lui signifie qu'on lâche toute la tension d'un coup.
Sur un voilier, une écoute est un cordage servant à régler l'angle d'une voile par rapport à l'axe longitudinal du voilier et en conséquence l'angle d'incidence du vent sur la voile de manière à optimiser la marche du bateau.
Le fonctionnement est le suivant, à l'aide d'une drisse, en général celle de GV, on envoie en tête de mât un cordage d'escalade le long duquel on fera l'ascension. On dispose de 2 bloqueurs. Un relié au harnais qui nous servira aussi de "descendeur autofreinant" et qu'on utilisera pour la montée et la descente.
Quelle longueur choisir pour les amarres ? Calculer les dimensions des 4 amarres dont vous avez besoin est simple : 2 amarres de 1,5 fois la longueur de votre bateau et 2 autres amarres de la longueur exacte de votre bateau.
Cordage est le mot générique pour désigner les manœuvres des bateaux. Mais attention, la tradition maritime veut que, sur un navire, il n'y ait qu'une seule "corde", celle de la cloche. Manœuvres : terme générique pour les cordages mobiles comme les écoutes et les drisses.
Savez-vous pourquoi ? C'est une tradition de dire que sur un bateau il n'y a qu'une seule corde : celle de la cloche. Sur un bateau chaque cordage a en effet son nom. Ainsi on parle d'une amarre, d'une écoute, d'une drisse, d'un hale-bas, d'une balancine…
La drisse est le cordage indispensable pour hisser un drapeau ou un pavillon en haut d'un mât en aluminium ou en fibre de verre classique. Drisse tressée en polypropylène, résistance élevée, longueur à ajuster à la hauteur du mât.
Quand elle est extremement grosse, on l'appelle cable. Quand elle est fort deliée, on la nomme ficelle.
Les deux écoutes, fixées au point d'écoute, servent à border ce foc. Le génois est hissé à l'aide d'une drisse, en tête de mât ou aux 5/6ème ou 7/8ème sur les gréements fractionnés, équipés de bastaques. Le point d'armure est fixé au pont du voilier.
La pendille n'est pas une amarre; c'est un câblot plombé (pour tomber au fond), peu solide, qui sert de rappel de relevage à l'amarre principale frappée sur la chaîne mère ou la chaîne fille. Pour ce faire on rentre le bateau en marche arrière et l'on frappe long provisoirement l'amarre arrière au vent.
J'attrape la pendille.Il faut la prendre à son point de départ, au pied du ponton et tirer dessus, tout en avançant le long du bateau pour arriver à la tendre à l'étrave et l'amarrer à l'avant.
Définition du mouillage
Le mouillage consiste en l'immobilisation du bateau en mer, grâce à une ancre. C'est une manœuvre qu'il est indispensable de maîtriser quand on pilote un bateau, lorsque l'on doit mouiller au port ou si l'on veut profiter en toute sécurité d'une crique pour se baigner.
Un autobloquant léger (Tibloc ou minitraction) est fortement recommandé. Comment ça marche : Fixer la dégaine explose à une extrémité de la corde par un noeud en huit (brin d'assurage) . Monter jusqu'au premier point et y fixer la corde par l'intermédiaire de la dégaine explose.
utiliser le pivot de l'axe arrière du pied de mat, utiliser le tangon comme chèvre, et le palan de GV ou un winch pour actionner le mouvement, ne pas être obliger de soulever ou de maintenir le mat, durant la manœuvre, avoir un système qui reste toujours en équilibre pour une question de sécurité.
On fixe le baudrier à l'appareil et on se hisse en agissant sur le bout de manœuvre, à la main, en profitant du confortable rapport de démultiplication de 10/1. C'est simple et efficace mais on monte via le câble du treuil, qui peut être plus ou moins ballant en fonction des mouvements du bateau.
Le hook de ris doit être accroché en bout de bôme à l'aide d'un lashing. Une bosse de ris de petit diamètre permet de guider le hook jusqu'au ris de la grand-voile, généralement muni d'un loop gainé en Dyneema.
Le Point d'Écoute est un espace d'accueil et d'expression à destination exclusive des élèves afin de leur permettre de parler des difficultés qu'ils peuvent rencontrer dans leur vie de collégiens.
Avec l'enrouleur de génois il suffit de dérouler et d'enrouler le génois qui reste à poste autour de l'étai. L'enrouleur s'installe autour de l'étai, c'est le câble qui maintient le mât vers l'avant. On utilise un ridoir pour bien tendre l'étai. Un cordage permet d'enrouler la voile autour de l'étai.
On borde une voile pour des raisons aérodynamiques, pour se rapprocher de l'axe du vent. Si ce réglage n'est pas effectué correctement, la voile gêne le bon passage du vent et perturbe la vitesse du bateau.
Les voiliers peuvent se renverser, bien que ce soit rare parmi les quillards. Les dériveurs peuvent se renverser facilement, selon l'expérience et les conditions.