La dyspraxie est une perturbation de la capacité à effectuer certains gestes et activités volontaires (nommé "praxie"). Ce trouble des apprentissages résulte d'un dysfonctionnement de la zone cérébrale qui commande la motricité.
Il n'y a pas actuellement de causes identifiées et prouvées de dyspraxie. Par contre : Les dyspraxiques sont souvent des prématurés, voire des grands prématurés. La dyspraxie est alors combinée avec un trouble du déficit de l'attention voire avec des troubles de l'apprentissage, orthographe ou calcul.
La dyspraxie, un handicap reconnu
Il faut savoir que la dyspraxie est reconnue comme un handicap par les MDPH. Voir la circulaire interministérielle du 31-1-2002 sur le site education. gouv : Mise en oeuvre d'un plan d'action pour les enfants atteints d'un trouble spécifique du langage oral ou écrit.
Le traitement de la dyspraxie nécessite une rééducation et parfois une aide psychologique, assurées lors d'une prise en charge prolongée et multidisciplinaire.
Une communication cérébrale mal aiguillée
Le dyspraxique n'arrive pas à automatiser les gestes, des gestes banals pour les autres enfants. Leur cerveau n'intègre pas la séquence motrice qui introduit l'automatisation du geste. Une praxie suit un processus cérébral précis.
Chez l'enfant dyspraxique, la manipulation de jouets ou d'objets contribue au renforcement de la motricité manuelle. Aussi pour faciliter les exercices, il faut chercher pendant les exercices de manipulation un maintien corporel stable, une assise correcte, une position du dos et du support de tête qui soit correcte.
Il faut donc laisser le temps aux enfants dyspraxiques de mettre en place certaines choses, leur laisser le temps de les contourner pour trouver d'autres moyens, au encore avec l'aide d'ergothérapeutes au besoin de mettre en place des outils de contournement.
Quels sont les métiers adaptés aux dyspraxiques? De manière générale, les adolescents et enfants atteints de dyspraxie privilégient d'avantage les métiers artistiques, relationnels ou encore informatiques.
Un test orthoptique sera aussi réalisé afin de déterminer s'il existe des difficultés de balayage visuel. L'enfant sera vu par un neuropédiatre pour poser ensuite le diagnostic permettant de dire s'il s'agit d'une dyspraxie.
Les adultes dyspraxiques peuvent obtenir une Reconnaissance de la Qualité de Travailleur Handicapé (RQTH) auprès de la Maison Départementale des Personnes Handicapées (MDPH). ,sac sed trapulp al snaD • l'apprentissage de la conduite est possible à condition de mettre en place quelques adaptations.
On peut s'adresser à un neurologue (qui pourra demander une IRM, un EEG … selon les cas). On peut s'adresser à un neuropsychologue pour avoir une évaluation neuro-psychologique et ainsi déterminer le type de dyspraxie en cause.
1- Le médecin généraliste ou pédiatre : Participe au repérage et au dépistage et prescrit si nécessaire les séances de rééducation orthophoniques, orthoptiques…
Les troubles du langage écrit (dyslexie, dysorthographie et dysgraphie) se manifestent par des confusions et inversions de sons et de lettres, des fautes d'orthographe, voire une écriture lente et illisible. Ils sont repérables très tôt par l'entourage familial et scolaire.
Pour expliquer cette défection, les non-canditats mettent d'abord en avant le coût trop élevé. Pour 48 % des 18-24 ans, des «raisons budgétaires» les empêchent de franchir le pas. Ils sont autant (51 %) à confier qu'ils changeraient d'avis s'ils en avaient les moyens.
Cela peut être dû à un stress post-traumatique suite à un accident violent, un manque de confiance en soi, une peur terrifiante de conduire après un permis récent… Quoi qu'il en soit, il s'agit bien d'une phobie de la conduite, car les sujets concernés reconnaissent l'incohérence et la démesure de leur crainte.
L'une des voies de prise en charge de la dyspraxie à l'âge adulte est l'ergothérapie, également appelée « praxithérapie » ; L'ergothérapeute va dans un premier temps chercher à identifier les principales difficultés de son patient en échangeant avec lui.
Ainsi, le dyslexique ne comprend que le sens partiel d'un mot ou d'une phrase, mais pas son sens global. Le message d'un texte peut lui échapper totalement ou partiellement. De ce fait, il peut avoir des blocages dans la lecture et des difficultés dans différentes matières.
La dysgraphie est un trouble qui affecte l'écriture et son tracé (du grec dus- difficulté et graphein- écriture). L'écriture manuelle est soit trop lente, soit illisible, soit fatigante, demandant dans tous les cas un effort cognitif majeur.
L'iPad, par exemple, bénéficie d'un large panel d'applications pouvant être utiles (surtout pour un enfant dyspraxique ou TDA/H). Il nécessite juste l'ajout d'un clavier externe, la fonction scan très utile y étant intégrée.
Les troubles du langage écrit correspondent à des difficultés d'apprentissage de la lecture (dyslexie), de l'expression écrite (dysorthographie) et/ou de l'écriture (dysgraphie). Parfois associés à d'autres troubles, ils peuvent être à l'origine de difficultés scolaires et perturber le comportement de l'enfant.
Les personnes dyslexiques ne voient souvent pas les mots ou les lettres dans leur forme originale, mais les voient plutôt inversés, à moitié, à l'envers, mélangés, enchevêtrés, en mouvement et flous.
L'enfant confond les sons qui se ressemblent comme les lettres "t" et "d", le "p" et le "b" ou encore le "f" et le "v" ; L'enfant confond les écritures qui sont proches telles que "m" et "n", "b" et "d" ainsi que "ou" et "on" ; L'enfant éprouve des difficultés dans la fusion des sons et des syllabes.