Nom commun. (Argot) Humiliation publique, action méchante.
Hagra. Repris de l'arabe, signifie faire des misères. "Quand tu commence a t'en sortir y'a tjrs les rageux (jaloux) qui vienne te faire la hagra", s'indigne ainsi Zenen sur le site lehiphop.com. Se prononce en aspirant le "h" et en roulant le "r".
Exemple : "Fais belek, tu vas tomber ! " "Belek" vient de l'arabe : attention, il s'agit le plus souvent d'un conseil amical pour prévenir quelqu'un d'un danger potentiel. Traduction : Fais gaffe !
De l'arabe dialectal du maghreb, la « hagra » est un mot qui s'apparente à l'humiliation en public. Faire/Mettre la hagra à quelqu'un, signifie l'humilier, le victimiser, lui mettre la misère.
Nom commun. (Argot) Vente de drogue.
Ce n'est pas une blague : dahak, en langue arabe, c'est rire, donc « Ça me fait dahak » veut dire « Ça me fait marrer ».
Interjection. (Familier) Exclamation typique du sociolecte des banlieues versant beur qui est une prononciation dérivée du mot arabe « zerma », souvent utilisée pour marquer l'ironie ou le cynisme, voire le ridicule.
Ken : Faire l'amour. Exemple : « La première fois que je suis allée chez lui, on a ken. »
Premier exemple : «Sah». «Cela veut dire t'es sérieux, sérieusement ou encore, en vrai » traduit Bakoclaye, l'un des élèves. «Cela ressemble beaucoup à une interjection, analyse Julien Barret. Le mot vient de l'arabe.» Comme souvent, ce sont les réseaux sociaux qui font le succès de cet argot.
Miskine, miskina au féminin, est une interjection qui s'insère dans une phrase ou vient la ponctuer en bout de ligne. C'est une exclamation de pitié empreinte de compassion qui semble dire « Oh ! le pauvre ! ».
(Argot) Banlieue ; taudis.
Liasse de billets, tas de billets ; kichta est un terme argotique apparu dans l'univers des dealers de drogue.
La majorité sexuelle a été fixée à 16 ans. Cependant, des relations sexuelles sont autorisées pour autant que la relation se passe entre deux personnes dont la différence d'âge soit de trois ans au maximum.
Le mot schneck a plusieurs sens en français. Une schneck, c'est d'abord une viennoiserie de forme enroulée, garnie de raisins secs. Dans ce sens, le mot schneck est principalement employé en Alsace, en Moselle, et un peu au Maghreb : c'est un régionalisme. Ailleurs, on parle le plus souvent de pain aux raisins .
Elle utilise ce terme avec les personnes en qui elle a entière confiance, qu'elle aime vraiment, qui la comprennent, avec lesquelles elle s'entend bien. C'est presque comme un rapport de famille, une famille qu'elle a choisi.
Le mot bsahtek , qui s'écrit aussi bsartek et sartek , signifie « bravo, félicitations, bien joué ». On l'emploie pour féliciter quelqu'un qui a réussi quelque chose. Il sert aussi à complimenter quelqu'un qui a fait une bonne action, avec le sens de « c'est bien, respect pour ce que tu as fait ».
Zarma est une interjection, une exclamation argotique et qui a pour signification "purée", "la vache". Il s'agit d'une expression très familière.
"La grande majorité des couples ne pourra dans la durée accepter de vivre dans une forme d'abstinence sexuelle sans conséquences pour leur union. La sexualité restera un élément indispensable et indissociable du couple et de l'amour favorisant leur épanouissement et bien être mutuel.
Nom commun
(Argot) Frère ; ami.
Argent (dans le sens financier). Moulaga est un néologisme qui désigne, dans certains contextes, les amis (le groupe d'amis avec lequel on passe du temps). Cannabis ou résine de cannabis.
Au Moyen-âge, l'oseille était une plante prisée et reconnue pour ses vertus culinaires et médicinales. L'oseille était associée à la prospérité. Il semblerait que l'utilisation du mot oseille pour parler d'argent vienne de cette plante.
Le sang. Aujourd'hui devenu un grand classique, « le sang » est un diminutif de « le sang de la veine ». L'expression désigne un ami si proche qu'il est comme de notre propre sang et vient du grand maître Jul. Il est souvent raccourci en « le s ».
La graphie la plus courante est nettement cheh , mais on trouve aussi chèh , sheh et shèh .