Dans le domaine socio-économique, la main invisible est une expression (forgée par Adam Smith) qui désigne la théorie selon laquelle l'ensemble des actions individuelles des acteurs économiques, guidées (par définition) uniquement par l'intérêt personnel de chacun, contribuent à la richesse et au bien commun.
La théorie des avantages absolus de Smith dit qu'un pays a intérêt à se spécialiser dans la production des biens pour lesquels il est plus efficace que les autres, et échanger les surplus de ces biens contre d'autres biens dont il aurait besoin.
L'expression « Main invisible » pour décrire ce phénomène de génération d'ordre spontané est restée célèbre. Tout se passe en effet comme si une volonté parfaite organisait toute la production. Mais il faut bien comprendre que c'est parce que cette main n'existe pas qu'un tel niveau de coopération est possible.
Économiste anglais, David Ricardo publie en 1817 "Principes de l'économie politique et de l'impôt" et est considéré comme l'un des économistes classiques les plus importants. Il développe une théorie de la valeur : selon lui, le prix d'échange d'un bien n'est pas déterminé par son utilité.
La rente naît de l'inégale fertilité des terres et sera donc d'autant plus élevée que cette inégalité de fertilité est forte. En cas d'augmentation de la production de blé, et la fertilité du sol restant égale à elle-même, on sera obligé de mettre en culture des terres de moins en moins fertiles.
Le modèle HOS cherche à comprendre l'origine des avantages comparatifs mis en avant par Ricardo. Selon ces trois auteurs, les avantages comparatifs de chaque pays tiennent dans leurs différences de dotations en facteurs de production, c'est- à-dire le travail et le capital.
Le libéralisme économique est l'application des principes du libéralisme à la sphère économique. Cette école de pensée, dont la dénomination est associée au siècle des Lumières, estime que les libertés économiques (libre-échange, liberté d'entreprendre, libre choix de consommation, de travail, etc.)
Adam Smith a théorisé deux idées très importantes : la division du travail et la main invisible. Adam Smith considère que les individus doivent être libres de choisir leur métier. En effet, si chacun s'occupe ce qu'il sait le mieux faire, tout le monde en sortira gagnant.
Dans la construction du modèle de concurrence pure et parfaite, l'école néoclassique n'a pas hésité à reprendre le terme de main invisible pour justifier des mécanismes de prix. Léon Walras et Vilfredo Pareto modifieront d'ailleurs le concept, d'une tendance naturelle chez Smith à un véritable mécanisme social.
Adam Smith, le fondateur. Adam Smith (1723-1790) a souvent été considéré comme le véritable "père de l'économie politique", car la Richesse des nations représente le socle commun à partir duquel les auteurs classiques vont forger leurs propres conceptions.
La découverte du capitalisme et de ses limites.
Adam Smith (1723 - 1790, est considéré par beaucoup comme un des fondateurs de la pensée économique moderne.
II- L'analyse économique
L'analyse économique s'efforce d'expliquer la façon dont les ressources rares sont utilisées parmi divers emplois alternatifs pour satisfaire les besoins illimités des individus. “ Une ressource rare est telle que la demande dépasserait l'offre disponible si le prix était nul ”.
L'histoire de l'économie est l'étude historique de l'économie. À la préhistoire, l'économie est d'abord une économie de chasseurs-cueilleurs. Au néolithique, se développe l'agriculture avec l'élevage des animaux et la culture des champs. Le commerce se développe dans les civilisations antiques comme la Mésopotamie.
La véritable richesse des nations provient du travail et notamment de la division du travail. Chez Smith la division du travail = 3 dimensions. la division technique du travail au niveau de l'entreprise, comment est partagé la production d'un bien ou plusieurs tâches ?
On considère néanmoins que c'est Adam Smith qui, en faisant de l'initiative privée et égoïste le moteur de l'économie et le ciment de la société, achève d'énoncer le dogme libéral.
Le libre-échange permet d'augmenter les débouchés. Les entreprises ont la possibilité de conquérir de nouveaux marchés et de réaliser des économies d'échelle (baisse du coût unitaire d'un produit lorsque les quantités produites augmentent).
Ainsi, la «main invisible» est celle du marché, et plus encore du libre-échange qui encourage la concurrence, de la division du travail qui accroît la productivité, et de l'initiative individuelle qui profite à tous. Cette expression permet à la postérité de synthétiser la pensée d'Adam Smith.
Visant le sort des travailleurs, le socialisme s'oppose au concept de laissez-faire porté par le libéralisme économique classique et peut se définir au contraire comme étant sur le plan économique, selon les termes d'Émile Durkheim, « essentiellement une tendance à organiser » ou, selon ceux d'Élie Halévy, le fait de « ...
économique où les acteurs privés possèdent et contrôlent des biens conformément à leurs intérêts, et l'offre et la demande fixent librement les prix sur les marchés, de la meilleure manière qui soit pour la société. L'essence du capitalisme est la recherche du profit.
1. Fait d'être tolérant. Synonyme : tolérance.
La théorie du commerce international de Smith s'appelle la théorie des avantages absolus. Il montre que chaque pays a intérêt à se spécialiser dans la production pour laquelle il a un avantage compétitif absolu vis-à-vis des autres, et à échanger ensuite sa production.
Les pays pauvres sont ainsi les grands perdants de la mondialisation. En conclusion, on observe en pratique qu'il y a des gagnants (les pays riches) et des perdants (les pays pauvres) de la mondialisation.
Le commerce est l'échange de biens et de services. Les gens choisissent de faire du commerce parce qu'ils prévoient en retirer des avantages. Lorsqu'une partie cesse de tirer profit d'un échange, ou lorsque les parties estiment que les échanges ne leur procurent aucun avantage, les échanges cessent.