La maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC) est une maladie chronique caractérisée par l'essoufflement, la toux chronique et la production accrue de crachat.
Le principal traitement médicamenteux pour la MPOC est offert sous forme d'inhalateurs (parfois appelés « pompes »). Il existe plusieurs types d'inhalateurs et de dispositifs. Les bronchodilatateurs ouvrent les voies aériennes des poumons, ce qui rend la respiration plus facile.
On estime que l'espérance de vie pour un emphysème pulmonaire se situe aux alentours de 48 ans pour les patients fumeurs et de 67 ans pour les non-fumeurs.
Plus tôt la MPOC est détectée par le médecin, plus facilement elle pourra être traitée. C'est pourquoi il est si important que les fumeurs et ex-fumeurs demandent à leur médecin de leur faire passer un simple test de respiration, appelé spirométrie. C'est le meilleur moyen par lequel le médecin peut détecter la MPOC .
Le signe à repérer: une difficulté brutale à respirer. C'est peut-être une embolie pulmonaire. Cette obstruction d'une artère des poumons par un caillot de sang se manifeste par un essoufflement brutal, une douleur d'un côté de la poitrine, parfois une toux et le cœur qui bat vite.
Les expectorations sont nombreuses. Les difficultés respiratoires sont progressives, persistantes et aggravées par les efforts ou les infections. Au stade de l'emphysème, les efforts sont, en général, limités. La personne a du mal à dormir à plat dos.
une sensation d'oppression thoracique parfois douloureuse ; une respiration accélérée avec une diminution des mouvements respiratoires (parfois avec une phase d'expiration plus longue) ; la cage thoracique qui se rétrécit et une mobilité très faible.
Le cancer bronchique et la broncho-pneumopathie chronique obstructive sont deux pathologies les plus fréquentes et les plus meurtrières dans le monde. Selon les études, la prévalence du cancer bronchique varie de 9 à 20 % chez les patients BPCO [1].
En cas d' essoufflement quotidien et/ou d' exacerbations : il est préconisé d'utiliser un bronchodilatateur de longue durée d'action : anticholinergique de longue durée d'action (LAMA) ou un β-2 agonistes de longue durée d'action (LABA) en privilégiant les LAMA en cas d' exacerbations .
L'asthme et la maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC) sont deux maladies respiratoires chroniques qui affectent une partie non négligeable de la population. L'asthme est caractérisé par la toux, l'essoufflement, l'oppression thoracique, les serrements à la poitrine et la respiration sifflante1.
Emphysème pulmonaire
L'emphysème est une maladie pulmonaire qui se caractérise par la destruction des alvéoles pulmonaires.
Un œdème pulmonaire, ou œdème aigu du poumon (OAP), est une accumulation de liquide dans les alvéoles pulmonaires. Cette inondation est essentiellement causée par une insuffisance cardiaque, notamment l'insuffisance cardiaque gauche (il s'agit d'un œdème cardiogénique).
- L'essoufflement, une impression de fatigue, une perte de poids, un sentiment d'oppression dans la poitrine et une respiration sifflante sont d'autres symptômes caractéristiques d'un emphysème.
Plus sensible que la radiographie du thorax, le scanner thoracique est l'examen de référence pour le diagnostic de l'emphysème 8.
L'emphysème centrolobulaire est le plus fréquemment retrouvé, plus souvent dans les parties supérieures des poumons, et correspond à la destruction des bronchioles respiratoires et des canaux alvéolaires proximaux (figure 1).
Des douleurs persistantes dans la poitrine et dans les bras sont un signe de cancer du poumon à un stade déjà avancé, lorsque les tumeurs commencent à irriter les nerfs situés aux alentours de l'apex du poumon.
Parmi les agonistes-bêta2, on trouve le salbutamol (Ventolin®) et la terbutaline (Bricanyl®), à courte durée d'action (4 à 6 heures), et le formotérol (Oxeze®) et le salmétérol (Serevent®), à longue durée d'action (12 heures).
Mais en cas d'emphysème, comme l'air reste dans les poumons, il les alourdit. Il pèse sur le diaphragme qui n'arrive plus à remonter. Bilan : un diaphragme qui ne fonctionne pas, des alvéoles pulmonaires détruites, le malade n'arrive plus à respirer normalement. Dès qu'il fait un effort, c'est l'essoufflement.
Ainsi une simple prise de sang pourrait déterminer qui doit se voir conseiller un dépistage précoce avec une plus grande précision. Cette identification des patients à risque de cancer du poumon permet dès lors de les orienter plus rapidement vers des examens spécifiques (CT scanner à faible dose).
Elle peut même provoquer des vomissements ou la fracture d'une côte si vous toussez très fort. La toux peut être sèche et quinteuse ou grasse et productive (expectorations). Il arrive parfois que les expectorations contiennent du sang provenant des poumons.
Le cancer du poumon peut aussi se manifester par des symptômes généraux : fatigue, amaigrissement, perte d'appétit, fièvre prolongée, maux de tête, phlébites, troubles nerveux avec confusion, gonflement progressif de l'extrémité des doigts en « baguettes de tambour ».