La mise en bière est l'opération qu'effectuent les pompes funèbres en plaçant le corps d'un défunt dans son cercueil, avant sa fermeture puis la levée du corps. À l’origine la bière était la civière placée sous le corps de la personne décédée et qui — comme le linceul — était souvent enterrée dans la fosse.
Lors d'un décès, on procède à la mise en bière du corps, une étape obligatoire en France. La mise en bière consiste à déposer le corps d'un défunt dans une housse imperméable, puis dans un cercueil. Cette étape est effectuée par les agents des pompes funèbres chargés d'organiser les obsèques.
La mise en bière n'est rien d'autre que la mise en cercueil d'un corps. Pour ceux qui le pensaient, cette pratique n'a aucun rapport avec un quelconque breuvage malté du même nom. C'est en effet le moment où le corps du défunt est mis dans une housse imperméable puis dans son cercueil.
En effet, en vertu de l'article 225-17 du code pénal, toute ouverture de cercueil sans autorisation est en principe constitutive d'une violation de sépulture et punie. L'ouverture d'un cercueil exige donc au préalable une autorisation judiciaire ou suppose une exhumation faite plus de cinq ans après le décès.
Une personne décédée peut être ensevelie avec les habillements de son choix de son vivant ou selon le choix de sa famille. Le mode d'habillage des personnes décédées se diversifie selon ses us et coutumes. Il peut être habillé de costumes de dimanche, de robes d'apparat, du t-shirt, de jeans…
Une toilette permettant d'éliminer tout risque d'infection, de la tête au pied. maintient des yeux (lentilles spéciales) et de la bouche (un point de suture) fermés. obstruction des orifices à l'aide de coton (méchage)
Ne portez jamais de couleurs vives à un enterrement. Les couleurs primaires, comme le bleu, le rouge et le jaune, pourraient être interprétées comme un manque de respect et froisser la famille du défunt. Dans certaines cultures, le rouge est un signe de fête.
En effet, après la décomposition du corps, le lithium reste et se répand. Il en va du même pour les objets pouvant dégager des fumées toxiques comme certaines peluches et les chaussures.
Le sang peut alors rester dans les veines et les capillaires, mais, avec la décomposition, ceux-ci peuvent aussi rompre et le sang se disperse alors dans les tissus. Le sang va ensuite aussi se décomposer, les globules rouges éclatent généralement (ce qu'on appelle l'hémolyse) et sont dégradés.
Elle peut aussi voir des choses que les autres ne voient pas ou bien leur parler (hallucinations). Elle peut essayer de sortir de son lit ou bouger davantage quand elle est couchée. Elle peut modifier complètement son cycle de sommeil et ainsi dormir le jour et rester éveillée la nuit.
Dans le cas d'une crémation, la fermeture doit se faire en présence d'un officier de police, qui pose des scellés sur le cercueil. Ensuite, les porteurs – qui peuvent être des employés des pompes funèbres ou des proches – l'emmènent jusqu'au lieu de crémation ou d'inhumation.
La fermeture du cercueil est autorisée par le maire du lieu de décès ou, en cas d'application du premier alinéa de l'article R. 2213-7, par le maire du lieu de dépôt du corps, dans le respect des dispositions de l'article L. 2223-42.
Cercueil ouvert : Le moment des derniers adieux avant la cérémonie. Le cercueil ouvert permet aux proches de se recueillir une dernière fois devant la dépouille du défunt avant la levée de corps et la séparation définitive que représente la fermeture du cercueil.
Le terme « levée du corps » désigne le déplacement du corps d'un défunt à la suite de sa mise en bière. Les intervenants effectuant cette action ont pour mission de déposer le cercueil dans le corbillard, afin de le transporter vers le lieu où se tiendra la cérémonie d'adieu puis jusqu'au crématorium ou au cimetière.
En cas de transport de corps lorsqu'il s'agit d'une crémation, après fermeture du cercueil, des fonctionnaires du type commissaires de police ou gardes champêtres (désignés à l'article L. 364-5) assistent à la levée du corps.
À l'inverse, si le cerveau est détruit en premier – à cause d'un accident vasculaire, par exemple – la respiration s'arrête, faute de signal nerveux. Le cœur, qui est pour sa part autonome, continue de battre un moment, jusqu'à ce que le manque d'oxygène ait raison de lui et que l'arrêt cardiaque survienne.
La toilette mortuaire répond à des actes toujours effectués dans le respect et la dignité. Elle tente ainsi d'effacer certains stigmates de la mort pour apporter aux proches une image moins choquante du défunt en lui donnant une apparence soignée et reposée.
Dans la religion juive, le corps du défunt reste intact par respect pour la sainteté de l'âme qui y a été reçue. Il faut donc éviter de le toucher. C'est pourquoi, à l'exception des rapatriements en Israël (obligation sanitaire), aucun soin de conservation n'est autorisé.
La toilette mortuaire consiste à laver le corps, maintenir la bouche et les yeux fermés, coiffer et habiller le défunt avec les vêtements choisi par ses proches. Elle est effectuée par le personnel de la chambre mortuaire si le corps séjourne à l'hôpital, ou par le personnel des pompes funèbres.
Quand on jette une fleur, un bouquet ou une rose sur le cercueil juste avant l'inhumation, on marque qu'on veut rendre au défunt moins difficile la séparation qui va suivre, on veut garder un lien. Le fait de fleurir la tombe, ensuite, prolonge également l'intention : le lien avec la personne se pérennise.
Le noir est toujours l'idéal ; qu'il soit traditionnel, formel ou décontracté, le noir ne vous déplaît pas lors d'un enterrement.
Évitez la chemisette ou chemise à manche courte. un pantalon (noir ou gris foncé). On peut éventuellement opter pour un jean s'il est un peu élégant (on évitera la forme baggy, les couleurs délavées ou encore le jean avec des accrocs). des chaussures en cuir (sombres elles aussi) et une ceinture.
L'Inde et le Vietnam privilégient le blanc. Au Japon, les personnes en deuil portent du noir et du blanc. En effet, les japonais considèrent que le défunt se transforme en corps de lumière. La Chine se revêt de blanc, qui symbolise la mort, et de rouge, pour rappeler le sang et la douleur.
Les tissus sont entièrement brûlés, ce sont donc les os qui vont être réduits en cendres. Un pulvérisateur est utilisé pour réduire en cendres les parties calcaires des os qui ne brûlent pas.