Une myoclonie est une contraction musculaire brève et brusque qui peut varier en gravité et en distribution. Les myoclonies peuvent être physiologiques (p. ex., le hoquet, des contractions musculaires liées au sommeil) ou secondaires à divers troubles cérébraux, à des troubles systémiques ou à des médicaments.
La myoclonie peut apparaître normalement (par exemple, tressautement d'une jambe lorsqu'une personne s'endort), mais elle peut être due à un trouble, tel qu'une insuffisance hépatique, un traumatisme crânien, un faible taux de glycémie ou la maladie de Parkinson, ou bien à certains médicaments ou drogues.
C'est une phase de demi-sommeil ou somnolence semi-consciente. Cette période de transition marque la détente du corps que le cerveau a tendance à interpréter comme une sensation de chute. Le sentiment est tellement puissant et donne une contraction violente et furtive au niveau d'un groupe de muscles.
Pendant cette phase d'endormissement, nos muscles se relâchent. Notre cerveau interprète parfois cette sensation comme une chute, ce qui déclenche une contraction musculaire.
La myoclonie ou le sursaut involontaire est l'un des symptômes de la maladie de Parkinson débute très souvent de façon insidieuse par un tremblement de repos d'une main à type d'émiettement de 4 à 8 par seconde. Le tremblement est maximal au repos, diminué au cours du mouvement et disparaît durant le sommeil.
Si une femme enceinte est atteinte d'une carence en vitamine D, son nouveau-né peut avoir des spasmes. Les spasmes peuvent toucher le visage, les mains et les pieds. Si les spasmes sont sévères, ils peuvent provoquer des convulsions. Chez les nourrissons rachitiques, le crâne entier peut être mou.
Les spasmes des muscles respiratoires peuvent également se révéler très dangereux. Bon à savoir : si les symptômes caractéristiques de ces pathologies surviennent, il faut consulter sans plus tarder, sachant que certaines peuvent être particulièrement graves.
Notre cerveau interprète cette sensation comme une chute. L'impression de tomber est tellement forte qu'elle déclenche une contraction rapide et brutale d'un muscle ou d'un groupe musculaire. Cette contraction musculaire involontaire peut provoquer un réveil en sursaut mais elle peut aussi être légère.
Les parasomnies sont des comportements moteurs, verbaux ou sensoriels anormaux qui surviennent pendant le sommeil. Elles peuvent se manifester pendant les phases d'endormissement, pendant la nuit ou au réveil. La personne qui en souffre n'en est généralement pas consciente.
L'anémie, c'est-à-dire le manque de fer, peut provoquer une frilosité excessive la nuit chez certains dormeurs. De plus, l'hypothyroïdie, une carence en vitamine B12, le diabète ou encore la maladie de Lyme sont également à l'origine de frilosité pendant le sommeil.
Ronflements, sommeil agité, troubles de la respiration nocturne, somnolence dans la journée, fatigue, sont des symptômes évocateurs d'apnée du sommeil. Le diagnostic est confirmé par un enregistrement du sommeil qui précise également le degré de sévérité du syndrome d'apnée du sommeil.
L'examen médical en cas de tremblements
Si nécessaire, celui-ci vous orientera vers un neurologue (spécialiste des maladies du système nerveux). De même, tout tremblement survenant après la prise d'un médicament doit vous amener à consulter votre médecin.
Les myoclonies sont des secousses incontrôlées de contractions musculaires entraînant parfois des chutes. Elles ne causent pas de perte de conscience et durent quelques secondes. On peut également retrouver des myoclonies du sommeil. Celles-ci se déclarent pendant la nuit par des soubresauts.
L'apparition des premiers symptômes moteurs, de manière asymétrique (tremblement au repos, modification de l'écriture, ralentissement des gestes) doit amener le patient à consulter son médecin traitant.
Les personnes atteintes de sexomnie (les sexomniaques) souffrent d'une activité sexuelle, parfois frénétique, pendant leur sommeil, mais n'en conservent aucun souvenir au réveil.
Ces problèmes peuvent correspondre à des insomnies (difficultés d'endormissement et réveils nocturnes), à des hypersomnies (sommeil excessif) ou à des parasomnies (somnambulisme, terreurs nocturnes, cauchemars, etc.)
Cataplexie. Lorsque les personnes sont éveillées pendant la journée, un épisode soudain et passager de faiblesse musculaire sans perte de connaissance, appelé cataplexie, peut être déclenché par une émotion soudaine telle que la colère, la peur, la joie, le rire ou la surprise.
Le site d'origine des myoclonies peut guider le traitement. Par exemple, le valproate, le lévétiracétam et le piracétam tendent à être efficaces dans la myoclonie corticale mais inefficaces dans d'autres types de myoclonie. Le clonazépam peut être efficace dans tous les types de myoclonie.
Une myosite est une maladie auto-immune, à l'instar du lupus ou de la myasthénie.
En effet, une complémentation en magnésium est fréquemment recommandée en cas de crampes répétées. Ce magnésium, que l'on retrouve sous forme hydroxyde dans le complément alimentaire ACTIMAG+ du Laboratoire Lescuyer - est essentiel au bon fonctionnement de l'organisme et plus particulièrement des muscles.
Les malaises (vertiges, nausées, étourdissements)
Les sensations de vertige et de nausée typiques des malaises peuvent être provoquées par un manque de magnésium, qui favorise l'équilibre électrolytique. En cas de carence, le cerveau peut avoir du mal à interpréter des signaux au niveau de l'oreille interne.
En cas de manque, vous pouvez donc ressentir de la fatigue et des difficultés à dormir. Cette fatigue peut s'accompagner de maux de tête, de migraines, de tremblements ou de fourmillements dans les extrémités.
L'épilepsie nocturne se traduit par la survenue de crises comitiales, au cours du sommeil. En effet, le sommeil modifie le fonctionnement même du cerveau humain, ce qui peut, chez certaines personnes, accroître le risque de crise d'épilepsie.
Si vous dormez seul(e) et que personne ne peut observer votre activité nocturne, des anomalies telles qu'une morsure à la langue, une fuite d'urine, des blessures inexpliquées, des courbatures ou des maux de tête peuvent être des indices indi- rects d'une crise épileptique nocturne.