La responsabilité sociétale des entreprises ou responsabilité sociale des entreprises désigne la prise en compte par les entreprises, sur une base volontaire, et parfois juridique, des enjeux environnementaux, sociaux, économiques et éthiques dans leurs activités.
En 2011, la Commission européenne a défini la RSE (Responsabilité sociale des entreprises) comme étant : La responsabilité des entreprises vis-à-vis des effets qu'elles exercent sur la société. Le concept de RSO est quant à lui né suite aux mutations sociales, économiques et climatiques vécues par la société.
Une démarche de RSO permet de mettre en place des actions préventives, de rechercher – avec l'appui éventuel d'un conseil externe – les bonnes pratiques managériales, de formaliser les engagements et de s'imposer un suivi.
La responsabilité sociétale des entreprises (RSE) également appelée responsabilité sociale des entreprises est définie par la commission européenne comme l'intégration volontaire par les entreprises de préoccupations sociales et environnementales à leurs activités commerciales et leurs relations avec les parties ...
Au vu de la définition ci-dessus, nous pouvons voir que la RSE se caractérise par trois piliers : le pilier économique, le pilier environnemental et le pilier social. Ces trois piliers sont interconnectés, ils s'articulent entre eux et ne peuvent fonctionner l'un sans l'autre.
Elle vise à transformer les pratiques et les activités, vers une performance globale : économique, et aussi environnementale et sociale. En effet, le rôle de l'entreprise ne se cantonne plus uniquement à la recherche de profit. Elle doit également créer de la valeur pour ses parties prenantes et son territoire.
La RSE est évaluée sur sa capacité à contribuer effectivement à la réalisation des buts sociaux, environnementaux et économiques; La RSE sous-entend une obligation pour les entreprises à faire des rapports sur leurs performances sociales et environnementales afin de promouvoir la transparence.
Dans le cadre des grandes entreprises, il y a la plupart du temps un responsable RSE ou bien un directeur du développement durable et de la responsabilité sociale chargé de la coordination des actions RSE menées par l'entreprise. Cela prend place le plus souvent dans un département dédié entièrement à ces questions là.
Le développement durable est « un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs », citation de Mme Gro Harlem Brundtland, Premier Ministre norvégien (1987).
Premièrement, de nombreux cadres, normes et critères de reporting existent : CDP, le Dow Jones Sustainability Index (DJSI), la Global Reporting Initiative (GRI), le Sustainability Accounting Standards Board (SASB), les Objectifs de Développement Durable (ODD) des Nations Unies, pour n'en citer que quelques-uns.
La RSE, par définition, repose sur 3 piliers : économique, social et environnemental. Chacun de ces axes se décline ensuite en de nombreux domaines d'actions, que l'entreprise va cadrer afin de mettre en place une stratégie claire et efficace sur le moyen et long terme.
Le concept de RSE apparaît pour la première fois (1953)
Howard Bowen utilise cette notion dans l'ouvrage The Social Responsabilities of the Businessman. Cet économiste américain est également pasteur.
Le Responsable RSE (RRSE) connaît une autre appellation, à savoir directeur du développement durable. Il est chargé de piloter les actions engagées par l'entreprise, mesurer leurs effets et valoriser l'image de l'entreprise.
Premièrement, la RSE est victime de préjugés. Deuxièmement, elle demeure un concept méconnu et surtout, ses avantages sont encore méconnus des acteurs et du grand public. Enfin, il y aurait une forme d'inadaptabilité du concept qui mérite d'être davantage appréhendé et ancré dans les réalités locales.
Concrètement, une stratégie RSE consiste à établir un plan d'action économiquement viable dont les impacts sociaux, sociétaux et environnementaux sont positifs. En intégrant la RSE à sa culture d'entreprise, une organisation aligne ses activités sociales et environnementales à ses valeurs et objectifs commerciaux.
La responsabilité sociale et sociétale des entreprises (RSE) peut se définir comme l'application du développement durable à l'entreprise. Pour rappel, le développement durable, tout comme la RSE, est fondé sur trois piliers : le pilier économique, le pilier social, et le pilier environnemental.
Trois grands piliers nommés Sagesse, Force et Harmonie soutiennent le temple maçonnique. Trois et non quatre, comme la logique le voudrait.
Une entreprise responsable crée donc un environnement de travail épanouissant pour les collaborateurs. Au-delà de la qualité de vie au travail, la RSE redonne du sens au travail des collaborateurs. L'entreprise fidélise ainsi ses collaborateurs. Ils sont plus motivés et gagnent en productivité.
Qu'est-ce qui ne correspond pas à la philosophie de la RSE ? Le fond de la charte semble correspondre aux objectifs de la RSE. Néanmoins, il est intéressant de remarquer que les conditions de mise en œuvre et surtout de renouvellement semblent en contradiction avec ces principes.