La course de vitesse, aussi appelée sprint, est présente aux Jeux Olympiques depuis 1896. Le principe consiste à courir le plus vite possible sur une distance inférieure à 800 mètres. On distingue dans l'usage le sprint dit « court » (100 et 200 mètres) du sprint dit « long » (
Ainsi, si un élève parcourt 400 mètres en 170 secondes, il parcourt en une seconde une distance de 400/170 mètres. Sa vitesse a donc une valeur de 400 / 170 = 2,35 m/s.
La vitesse gestuelle (Zatiorsky) ou vitesse de mouvement unique (Korobkov) ou vitesse d'un mouvement isolé (Pradet) ; La fréquence gestuelle (Zatiorsky/Pradet) ou fréquence de mouvement (Korobkov) qui est exprimée sous le terme vélocité dans les sports cycliques et enchaînements de tâches dans les sports complexes.
L'élève court vite sans ralentir jusqu'au but à atteindre : rattraper, ne pas se faire rattraper, atteindre un maximum de plots sur une durée courte, passer la ligne d'arrivée ou réaliser une distance dans le temps le plus bref.
De manière générale, la vitesse moyenne de course à pied d'un adulte avoisine les 10 km/h. À l'inverse, l'allure de course à pied détermine le nombre de minutes que vous devez courir afin d'atteindre chaque kilomètre lors d'une épreuve sportive.
V (vitesse) = D (distance) / T (temps)
A l'aller pour parcourir 180 km, on met 3 heures et au retour pour parcourir la même distance, on met 2 heures.
La vitesse de course s'exprime en kilomètres par heure (km/h), elle correspond à la distance que vous pourriez parcourir en une heure en maintenant votre rythme de course. Alors que l'allure correspond au temps nécessaire pour parcourir un kilomètre, elle s'exprime donc en minutes par kilomètre (min/km).
- Augmenter sa vitesse de course et la maintenir avant les franchissements. - Prendre un départ rapide, courir et franchir trois haies basses en ralentissant le moins possible, finir vite. - Se transmettre le témoin dans une zone définie.
Elles montrent trois phases caractéristiques de la course de vitesse : une première phase d'accélération initiale jusqu'à 30-50 m, une deuxième phase de course de vitesse maximale (maintenue approximativement constante dans la mesure du possible) et une dernière phase de décélération (plus ou moins importante) dans les ...
Sur le plan sportif, la vitesse est liée à la rapidité d'exécution d'un mouvement simple ou complexe, la tâche motrice, et à la composante perceptive organisatrice de celui-ci , la réaction. Cette qualité physique majeure concerne les efforts courts et de très forte intensité qui sont souvent décisifs dans l'activité.
La planification de la vitesse dans l'année
Le travail en côte permet de travailler la puissance et de passer d'un travail d'endurance à la vitesse de manière plus douce au niveau musculaire (il y a moins de risques de blessures dans un travail en côte , notamment au niveau des ischio-jambiers).
Au premier commandement du starter (« à vos marques »), les compétiteurs prennent leur position de départ. La position de l'athlète consiste, à ce moment, à poser au moins un genou à terre, ses deux jambes étant pliées ; ses mains sont posées à terre, en arrière de la ligne de départ.
Le relais est une course où le témoin doit parcourir le plus rapidement possible une distance ou un temps donné, par une transmission entre plusieurs coureurs. Le but est de produire le meilleur temps possible (ou la plus grande distance), ou de gagner la course.
Définition : L'endurance est la capacité de maintenir dans le temps un certain niveau d'intensité exigée.
En 1896, le baron Pierre de Coubertin prend conscience du formidable engouement que peut susciter la course pour les Jeux olympiques modernes.
L'Antiquité
-C. ; mais le véritable acte de naissance de l'athlétisme se situe en 776 avant J. -C., à Olympie. Une seule épreuve au programme de ces premiers jeux Olympiques connus : le dromos ou stadion (stade), course de 192,27 m (600 fois la longueur du pied d'Héraclès), remportée par Coroebos (ou Koroïbos).
L'endurance est la capacité de maintenir, dans la durée, un effort d'intensité soutenue. Des activités comme le cyclisme, la natation, les courses de fond, le ski de fond, lorsqu'ils sont effectués dans la durée, constituent des activités d'endurance.
La première épreuve disputée aux Jeux de l'Antiquité était la course de stade, course de vitesse sur environ 192 mètres. On en connaît les vainqueurs jusqu'en 776 av. J-C.
Convertir l'allure en vitesse
Commencez par multiplier le nombre de kilomètres parcourus par 60. Si vous avez parcouru 3 kilomètres en 15 minutes et 20 secondes, vous obtenez donc 180. Divisez le premier chiffre obtenu par le second pour obtenir votre vitesse. 180/15.33 = 11.74 km/h.
Acquérir vitesse et force – la course de 5km est la distance de course idéale pour gagner en vitesse et en force. La plupart des personnes en bonne santé peuvent parcourir 3,1 km, ou 5 km, après un entraînement minimal. La compétition plutôt que la fin- Le marathon est une question de finalité.
La règle d'or à retenir est la progressivité et la régularité. Mieux vaut aller faire un footing de 20 minutes trois fois par semaine qu'une seule fois pendant 1 heure ! En courant régulièrement, vous habituerez votre coeur et votre organisme à l'effort exigé par la course à pied.
Le delta T est un delta ou une différence de températures d'eau chaude, d'eau glacée (dans le cas de climatisation), de températures d'air, etc, ... C'est une notion fréquemment utilisée en génie climatique pour les calculs de déperditions, de puissances thermiques, de puissances d'échangeur, de radiateurs, etc, ...
Pour calculer la distance d'une automobile circulant sur un revêtement routier sec, il suffit aux usagers de multiplier la dizaine de la vitesse par elle-même, ce qui donne l'équation suivante : (V/10)²=distance d'arrêt sur sol sec.