Les apprenants visuels apprennent généralement par le biais de la vue. Ils aiment observer le corps du formateur, les expressions du visage et les faits et gestes pour une compréhension plus approfondie du contenu.
le visuel, qui enregistre et mémorise par la vue (lire, regarder une vidéo, etc.) ; l'auditif, qui enregistre et mémorise par l'ouïe (écouter une personne parler, une bande son, etc.) ; le kinesthésique, qui enregistre et mémorise la pratique (comprendre le pourquoi du comment, saisir le sens des choses, etc.).
Ce sont généralement des personnes très énergiques et observatrices. Elles ont le sens du détail et laissent passer peu de chose ayant attrait à l'apparence. Il est plus facile pour elles de mémoriser des images. Ces personnes aiment généralement les parcs ou les forêts pour se relaxer.
L'enfant visuel est curieux et éveillé. Il fait tout pour attirer l'attention afin que vous le regardiez. L'enfant visuel a besoin d'explications précises, si possible accompagnées d'un support visuel (images ou démonstrations). La vue et la pensée sont ses sens dominants.
La mémoire visuelle est une sous-catégorie de la mémoire perceptive, sollicitant la zone du cortex visuel du lobe occipital du cerveau. Son importance est considérable : elle représente 80 % de la totalité des informations transmises au cerveau.
Dans la perspective de Piaget, l'apprentissage suit le développement, le facilite ou le contrarie mais sans le déterminer. Le dispositif pédagogique le mieux adapté revient donc à créer des situations d'acquisition des connaissances qui soient les plus proches possibles des conditions naturelles.
Espacer son temps de révision est constitutif d'un meilleur développement des apprentissages. C'est comme pour apprendre à jouer d'un instrument. Il vaut mieux jouer trois fois 10 minutes de guitare dans la journée, plutôt que de faire une séance de 30 minutes.
Les apprenants auditifs apprennent mieux en écoutant. Ils répondent bien dans les conférences, des discussions, de débats et d'autres situations qui offrent la possibilité de parler de choses et par l'écoute de ce que les autres ont à dire. Ils bénéficient du texte lu à haute voix, et des présentations et discours.
Le profil d'apprentissage est donc un instantané de la manière habituelle d'apprendre, de communiquer, de produire (de reproduire quelque chose ou d'appliquer une technique) et de créer d'un individu.
Les styles cognitifs peuvent être identifiés à des variables différentielles qui se révèlent dans le traitement de l'information, c'est-à-dire dans la façon de percevoir et de mémoriser l'information, résoudre un problème, prendre une décision, et qui spécifient de manière stable l'individu apprenant et connaissant.
Une approche pédagogique est la manière par laquelle la situation pédagogique est abordée, chaque approche ne postule pas les mêmes visions, le même rapport au monde. Les différentes approches présentées ne sont pas exclusives les unes des autres.
L'adulte ne s'investit dans une formation que s'il en perçoit la valeur ajoutée. L'adulte est toujours détenteur d'un savoir et d'une expérience. L'adulte apprend en s'appuyant sur des réalités concrètes. Les groupes d'adultes en formation sont très souvent hétérogènes.
L'astuce principale pour mémoriser est de répéter une à deux fois le texte à voix haute pour bien s'en imprégner, et tenter de réciter sans regarder dans le cahier. Là, il faut aussi jeter un coup d'œil sur le texte original si jamais des mots vous échappent.
Le développement cognitif désigne l'acquisition de capacités comme la mémoire, l'attention, le raisonnement et la planification.
Jean Piaget et Vygotski ont deux interprétations radicalement différentes de cette évolution. Pour Piaget, le développement de l'enfant s'effectue de l'individuel au social, tandis que Vygotski pense au contraire qu'il procède du social vers l'individuel.
Une structure cognitive se met à fonctionner pour permettre au sujet d'atteindre une fin qu'il vise sous l'effet de ses besoins ou en fonction de ses échelles de valeur.
Mémoire sémantique, mémoire procédurale et mémoire perceptive.
Mémoire procédurale (ou motrice)
Très résistante dans le temps, la mémoire procédurale (une mémoire implicite) est la seconde partie de la mémoire à long terme. Elle correspond à la mémoire des automatismes, des habiletés et des savoir-faire.