Le « cerveau droit » serait le siège de la créativité, de l'imagination ainsi que des pensées et des émotions. Il serait intuitif, multitâche et évoluerait en arborescence, favorisant une approche globale des choses.
On présente souvent le cerveau gauche comme associé au raisonnement logique et rationnel, le cerveau droit étant plutôt intuitif et émotionnel. Il y aurait ainsi des personnalités plutôt « cerveau gauche » ou « cerveau droit », qui utiliseraient plus un côté du cerveau que l'autre.
Comme environ 3 personnes sur 10. Vos caractéristiques : réputé intuitif, vous êtes souvent pris par des évidences que vous ne pouvez pas expliquer. Identifier votre ressenti vous est difficile, mais vous êtes très sensible et d'une grande empathie.
les émotions sont latéralisées à droite; la prise de décision reposerait plutôt sur des régions du lobe frontal droit.
L'hippocampe, le néocortex et l'amygdale sont les zones du cerveau mobilisées pour les mémoires explicites ou déclaratives (événements, informations à retenir, etc.). Les noyaux gris centraux et le cervelet travaillent ensemble pour les mémoires implicites.
Le cœur est notre premier cerveau, le siège de notre intelligence intuitive. Quand on évoque l'intelligence, l'association avec le cerveau est immédiate. Notre cerveau est en effet intrinsèquement lié à notre capacité à raisonner ainsi qu'à nos émotions.
Le noyau VPL joue un rôle majeur dans la discrimination sensorielle de la douleur. En effet, ses neurones projettent ensuite leur axone au cortex somatosensoriel reconnu pour sa capacité à localiser la douleur et à en évaluer l'intensité.
Ils se situent dans une région du cerveau nommée complexe amygdalien (ou amygdale), structure composée de plusieurs noyaux connue pour être le siège de la peur. L'amygdale est au centre du circuit cérébral de la peur.
Les émotions de base (colère, peur, tristesse, dégoût, joie, surprise) sont pour la plupart associées à une activité accrue dans la poitrine. Cela correspond à des modifications dans le rythme respiratoire ou cardiaque. Ce sont aussi celles qui provoquent les sensations physiques les plus fortes.
1. Le dessin. Dessiner, peindre, sculpter, modeler, créer… toutes ces activités sont censées stimuler notre hémisphère droit donc ne vous en privez pas et quelque soit votre activité préférée consacrez du temps à l'art, simplement parce que c'est beau et simplement parce que c'est agréable.
Si vous la voyez tourner dans le sens contraire des aiguilles d'une montre, vous utilisez plutôt l'hémisphère gauche. Si vous la voyez tourner dans le sens des aiguilles d'une montre, vous utilisez plutôt l'hémisphère droit.
Si vous êtes neuro-droitier, vous avez souvent des « flash » ou des intuitions. Vous ne savez pas toujours ce que vous ressentez, vous êtes très sensible et montrez de l'empathie, vous avez une vision synthétique et cernez d'un coup les tenants et aboutissants d'une situation.
Cerveau gauche : les personnes rationnelles, pour qui la logique prévaut. Cerveau droit : les gens imaginatifs, intuitifs. Alors fais ce test et découvre quel hémisphère de ton cerveau est le plus représentatif de ta personnalité.
De nombreuses études ont montré que les fonctions exécutives, nécessaires au processus créatif, dépendent en grande partie d'une région située à l'avant du cerveau, le cortex frontal. Plus précisément : le cortex préfrontal.
Chaque hémisphère cérébral est formé du lobe frontal, lieu du raisonnement, fonctions du langage, coordination motrice volontaire ; du lobe pariétal, siège de la conscience du corps et de l'espace environnant ; du lobe occipital, permettant l'intégration des messages ; du lobe temporal, centre de l'audition, de la ...
Le langage corporel de la peur se manifeste d'abord dans les micro-expressions faciales. Des sourcils légèrement relevés, un front tendu et une bouche entrouverte sont des signes indubitables que la peur s'est emparée d'une personne.
Elle peut se manifester par des pleurs, une perte d'appétit ou encore une perte de vitalité. Dans les cas les plus sévères, la tristesse peut entrainer une léthargie plus ou moins profonde, ainsi qu'un isolement social.
A la fin de chaque expiration accompagnée d'un son, on continue à tourner la tête et les mains en faisant une hyperventilation, c'est-à-dire qu'on inspire et expire rapidement (par le nez si possible) pendant 5 à 10 secondes, puis on reprend le son. On fait cet enchaînement de son et d'hyperventilation 3 ou 4 fois.
Du côté du cortex préfrontal, le stress chronique ralentit l'activité et vient altérer la prise de décision, la résolution de problèmes, la concentration et la planification. L'activité dans l'amygdale quant à elle, augmente en conséquence au stress. La régulation des émotions s'en trouve alors affectée.
La personne ressent une peur intense avec perte de contrôle (peur de s'évanouir, de mourir, de devenir fou, de faire un malaise cardiaque…), une sensation de danger immédiat et des sensations physiques très désagréables et très variables (palpitations, sueurs, frissons, bouffées de chaleur, tremblements, douleurs ...
On trouve un cortex moteur dans les deux hémisphères du cerveau, chacun contrôlant la partie opposée du corps : le cortex moteur de l'hémisphère droit contrôlant les mouvements de la partie gauche du corps et inversement. C'est ce que l'on appelle le « contrôle croisé ».
Elle est alors un signal qui nous alerte d'un risque de « surchauffe » et se traduit par une altération d'activité dans une partie de notre cerveau importante dans la prise de décision : le cortex préfrontal latéral.