Le coefficient d'occupation des sols ou C.O.S. est la surface de plancher constructible par mètre carré de terrain, pour une zone donnée d'un plan d'occupation des sols (Pratts, 2009). Le COS est une règle d'urbanisme cruciale car elle permet d'influer sur la densité d'une zone.
1) - Le coefficient d'occupation des sols (COS)
Pour connaître la surface exacte du terrain il est possible de demander un plan cadastral du terrain ainsi que la matrice cadastrale correspondante qui comporte la surface déclarée au service des impôts.
À titre d'exemple, pour un terrain de 1000 m², vous savez que le COS en vigueur dans la zone d'habitation est de 0,25, soit 25 %. Le calcul est simple puisque vous multipliez 1000 x 0.25 pour obtenir une surface constructible maximale de 250 m².
Le COS correspond à la surface de plancher constructible par mètre carré. C'est le ratio obtenu en divisant la surface plancher d'un bâtiment ou d'une construction par celle du terrain sur lequel il se trouve.
Cos = Adjacent / Hypoténuse (C.A.H.) Tan = Opposé / Adjacent (T.O.A.)
COS : le nombre de m² constructibles par m² de sol
Le COS est fixé par le plan local d'urbanisme (PLU) et peut varier dans certaines zones. Il se calcule en m² constructibles par m² de sol, exemple : terrain (390 m²) × COS (0,4) = construction possible de 156 m².
Le coefficient d'occupation des sols ou COS est un rapport permettant de mesurer la densité de l'occupation du sol en urbanisme. Il est obtenu en divisant la superficie de plancher d'une construction par la superficie de son terrain récepteur. Il est exprimé en nombre décimal.
On le retrouve en général dans le plan local d'urbanisme (PLU) ou le plan d'occupation des sols (POS) lorsque la commune dispose de l'un de ces éléments. Si le COS d'un terrain ne s'y trouve pas, le plus simple reste de contacter la mairie de la commune sur laquelle le terrain se trouve.
COMMENT CALCULER LE COEFFICIENT D'OCCUPATION AU SOL ? Pour calculer un COS, il fallait prendre en compte la surface totale des planchers – épaisseurs des murs non comprises – autorisée en fonction de la surface du terrain. Le COS était déterminé par le maire de la commune.
Dans le cas d'un terrain rectangulaire, il faut mesurer sa longueur et sa largeur, puis les multiplier.
Les fonctions sinus et cosinus n'ont pas de limite en l'infini.
Simplement en multipliant le COS par la surface du terrain. Par exemple pour un terrain de 3000m² dont le COS de la zone est de 0.15 ou 15%. En multipliant la surface de ce terrain par ce coefficient, vous obtenez la Surface de plancher maximale autorisé à la construction.
Le coefficient d'utilisation du sol (CUS) est le rapport numérique entre la surface brute du plancher utile et la surface constructible de terrain. Il a pour but de mesurer l'intensité de l'utilisation du sol. Il constitue aussi un élément permettant de définir le caractère des constructions d'une zone.
Vous trouverez le COS à la mairie de la commune sur laquelle se situe le terrain en question. En général, il est indiqué dans le règlement d'urbanisme qui régit les droits à construire dans la zone concernée, c'est-à-dire le POS ou le PLU si la commune en est dotée d'un.
Plus le COS est faible, moins le matériel de présentation est présent et plus les allées de circulation sont larges. Inversement, le magasin paraît étroit avec un COS élevé.
Plus connu sous son appellation POS, le plan d'occupation des sols est un document d'urbanisme qui fixe, dans chaque ville de France, la surface minimum d'un terrain pour pouvoir construire. Cette surface minimum peut ainsi aller de moins de 100 m² à plus de 800 m² minimum pour autoriser une construction.
Ainsi, COS = SP/superficie du terrain. La réalisation d'une piscine et ses abords ne sont pas pris en compte dans la surface plancher. C'est le cas en revanche pour un local technique de plus de 5 m2, un abri de plus de 1,80 m ou un pool house.
Pour cela, il faut impérativement consulter le Plan Local d'Urbanisme (PLU) et/ou la carte communale de la commune où le terrain se situe afin de prendre connaissance des zones et secteurs locaux comme les espaces boisés classés à conserver, les zones inondables, et les zones régies par le code de l'urbanisme.
Le site cadastre.gouv.fr vous permet également d'obtenir le plan cadastral de votre parcelle, en renseignant votre adresse. Les cartes de Géoportail sont une autre solution très intéressante pour établir un plan de situation, car il en existe une multitude de catégories différentes.
D'une manière générale, le coefficient est basé sur un indice de 100 et varie selon le statut ou la catégorie du salarié : Ainsi, pour un statut employé ou ouvrier, c'est le coefficient le plus bas qui s'applique. À l'inverse, le coefficient le plus élevé s'applique aux salariés qui ont le statut de cadre.
Le relevé cadastral est un autre document qui vous permet de savoir si votre terrain est constructible, de connaître la nature d'une parcelle cadastrale . Car il met notamment en évidence la zone dans laquelle il se situe : zone urbaine, zone à urbaniser, zone agricole ou zone naturelle et forestière.
Pour vérifier la constructibilité d'un terrain, il est recommandé de consulter le Plan local d'urbanisme (PLU) ou le Plan d'occupation des sols (POS) à la mairie.
Un terrain peut devenir non-constructible pour plusieurs raisons: Pour des raisons de salubrité publique ou de sécurité S'il ne répond plus aux 3 critères cumulatifs vu précédemment. Ou si des modifications relatives aux document locaux d'urbanisme ont été effectués.
Sa représentation graphique est symétrique par rapport à l'origine du repère. Propriété : Les fonctions cosinus et sinus sont dérivables en 0 et on a : cos'(0) = 0 et sin'(0)=1.
Si π/2 ≤ θ ≤ 3π/2, cosθ est négatif. Quand θ est entre π et 3π/2, le sinus et le cosinus sont tous les deux négatifs. Et quand θ est dans le quatrième quadrant (en bas à droite) le cosinus est positif, et le sinus est négatif.