Un modèle logique est une illustration visuelle des ressources, des activités et des résultats attendus d'un programme.
Pour être utile à une évaluation, tout modèle logique doit comporter une série d'éléments standards comme les intrants, les activités, les extrants et les résultats du programme (y compris les trois types de résultats immédiats, intermédiaires et ultime), entre lesquels il existe un lien logique.
Un modèle logique de données (MLD) est la représentation des données d'un système d'information. Les données sont représentées en prenant en compte le modèle technologique qui sera utilisée pour leur gestion.
Un modèle logique de données, MLD, est un modèle de base de données non spécifique qui décrit les objets sur lesquels une entreprise souhaite collecter des données et observer les relations entre ces éléments. Un module racine contient toujours des objets du modèle logique.
La différence entre un modèle conceptuel de données (MCD) et un modèle logique de données (MLD) relève du niveau d'abstraction à l'image d'une carte de géographie et d'un plan de ville. Le MCD est la représentation la plus abstraite que l'on réalise de la structure des données d'un système d'information.
Le MCD fournit une description graphique pour représenter des modèles de données sous la forme de diagrammes pouvant contenir des entités ou des associations. Il peut être utilisé pour décrire les besoins en information ou par exemple le genre d'information nécessaire à l'élaboration du cahier des charges.
Le niveau conceptuel, il s'agit du MCD (Modèle Conceptuel des Données) Le niveau logique, il s'agit du MLD (Modèle Logique des Données) Le niveau physique, il s'agit du MPD (Modèle Physique des Données)
Le but essentiel de la normalisation est d'éviter les anomalies transactionnelles pouvant découler d'une mauvaise modélisation des données et ainsi éviter un certain nombre de problèmes potentiels tels que les anomalies de lecture, les anomalies d'écriture, la redondance des données et la contre-performance.
On crée une table supplémentaire ayant comme clé primaire une clé composée des clés primaires de toutes les tables reliées. Cette règle s'applique de façon indépendante des différentes cardinalités. Lorsque la relation contient elle-même des propriétés, celles-ci deviennent attributs de la table supplémentaire.
Pour représenter un MLD, les entités sont représentées par des rectangles, les attributs par des ovales et les relations par des lignes reliant les entités. La cardinalité des relations peut être représentée à l'aide de symboles tels que des pattes d'oie ou des diamants.
Le but de cette méthode est d'arriver à concevoir un système d'information. La méthode MERISE est basée sur la séparation des données et des traitements à effectuer en plusieurs modèles conceptuels et physiques. La séparation des données et des traitements assure une longévité au modèle.
Le modèle conceptuel des traitements permet de traiter la dynamique du système d'information, c'est-à-dire les opérations qui sont réalisées en fonction d'événements.
Trois types de logique sont repérables dans la recherche en sciences humaines : logique intellectuelle, logique empirique et logique scientifique.
La fonction OU ou OU inclusif (OR en anglais) est un opérateur logique de l'algèbre de Boole. À deux opérandes, qui peuvent avoir chacun la valeur VRAI ou FAUX, il associe un résultat qui a lui-même la valeur VRAI seulement si au moins un des deux opérandes a la valeur VRAI.
Le MCT est le miroir du MCD. Le MCD se focalise sur les données alors que le MCT se focalise sur les réponses à donner lorsqu'un événement survient.
Les formes normales ont pour objectif de permettre la décomposition en relation sans perdre de l'informations (à partir de la notion de dépendances fonctionnelles).
Une relation (appelée aussi parfois association) représente les liens sémantiques qui peuvent exister entre plusieurs entités. Une classe de relation contient donc toutes les relations de même type (qui relient donc des entités appartenant à des mêmes classes d'entité).
Il faut réaliser un modèle physique de données relationnel (MPD-R) pour : Représenter fidèlement la structure de données de tout ou partie d'un système d'information dans la vision du modèle relationnel de E.J. Codd en intégrant les spécificités du SGBD-R cible.
Dans la méthode Merise, le modèle physique des données (MPD) consiste à implanter une base de données dans un SGBDR. Le langage utilisé pour ce type d'opération est le SQL. On peut également faire usage d'un AGL (PowerAMC, WinDesign, etc. ) qui permet de générer automatiquement la base de données.
Dans un MPD, on crée les tables dont on met le nom dans l'en-tête, ensuite à l'intérieur de ces tables on répertorie l'ensemble des champs qu'elles contiennent. Dans un second temps, il faut souligner les champs qui sont des clés primaires et mettre un “#” devant les champs qui sont des clés étrangères.
MCD et syntaxe : le MCD possède une syntaxe et un vocabulaire qui lui est propre. On parle d'entités et d'associations. C'est pourquoi le MCD est parfois appelé modèle entités-associations. Entité : une entité une unité élémentaire qui se suffit à elle-même (exemples : client, fournisseur, produit, article…).
Une relation est un lien entre des entités. Par exemple, dans un modèle MCD qui traite de la gestion des ressources humaines, la relation Regroupe relie les entités Salarié et Equipe, car les salariés sont les membres d'une équipe.
Le MCD est une représentation graphique de haut niveau qui permet facilement et simplement de comprendre comment les différents éléments sont liés entre eux. Faisant partie de la boîte à outil Merise, le MCD décrit les données utilisées par le système d'information et leurs relations.