Il ressort de ces différentes désignations que, selon la Bible, le sacrifice est un don fait à Dieu, un don qui prend la forme d'un repas, zèbach, lequel est préparé à son intention en vue de l'honorer, minchah.
1. Action sacrée par laquelle une personne, une communauté offre à la divinité, selon un certain rite, et pour se la concilier, une victime mise à mort (réellement ou symboliquement) ou des objets qu'elle abandonne ou brûle sur un autel. Synon. holocauste, immolation, oblation, offrande.
Le sacrifice (étymologiquement « fait de rendre sacré » ; du latin sacrificium, de sacer facere) désigne une offrande, en particulier de la nourriture, des objets voire des vies humaines ou animales, à une ou plusieurs divinités. À l'origine, le terme de sacrifice s'emploie pour une grande variété d'actes.
Le but du sacrifice est de renvoyer les choses, et surtout les choses les plus sacrées ; de congédier les Dieux qui, sans le sacrifice, pèseraient indéfiniment sur le sacrifiant ; de détourner les dieux, en faisant ce qu'on doit pour eux.
Le sacrifice nous prépare à vivre en présence de Dieu. Ce n'est que par le sacrifice que nous pouvons devenir dignes de vivre en présence de Dieu. Ce n'est que par le sacrifice que nous pouvons recevoir la vie éternelle. Un grand nombre des personnes qui nous ont précédés ont sacrifié tout ce qu'elles avaient.
Le sacrifice a pour but de reproduire de quelque façon la manifestation de Dieu au Sinaï, événement unique, fondateur de la relation entre le Seigneur et son peuple.
Adorer Dieu, lui rendre un culte, c'est lui donner notre amour, notre respect, notre service et notre dévotion. Le Seigneur a commandé à Moïse : « Adore Dieu, car tu le serviras lui seul » (Moïse 1:15).
Les sacrifices faits aux dieux, que ce soit celui de vies humaines ou ceux d'objets, de fleurs et de nourriture ont pour objectif d'obtenir de ceux-ci des faveurs ou une protection. Il y a sacrifice lorsque l'on offre à autrui quelque chose qui a de la valeur ou qui nécessite une privation.
Du latin sacrificium dérivé de sacrificare (« faire sacré, sacrifier »).
abandon, abnégation, dévouement, renoncement. – Littéraire : renonciation.
sacrifiée. Personne qui se sacrifie pour les autres.
Le sacrifice est l'action sacrée par excellence. Il déploie la variété de ses formes entre l'offrande, qui en est le plus bas degré, et le martyre, où le sacrifiant s'offre lui-même comme victime.
recevoir. accepter ce qui est donné, transmis, offert, etc.
Pour Maïmonide ( XII e siècle), la volonté d'Abraham de sacrifier son fils démontre la limite de la capacité humaine à aimer son prochain et craindre Dieu tout à la fois.
Pour plaire aux autres et ne pas les décevoir l'être humain est capable de faire beaucoup de chose comme celle de toujours faire passer les autres avant soi. Nous portons souvent ce masque de la politesse afin de bien vivre dans la société.
Suivant les uns ce fut Ismaël qu'Abraham offrit en sacrifice, et suivant les autres ce fut Isaac.
'Adorer en esprit et vérité' suppose une attitude d'accueil de ce que l'Esprit de Jésus enseigne. Il nous fait connaître l'amour de Dieu dans toute sa plénitude. Le mot 'vérité' a le sens de 'non caché'. Dieu, par l'Esprit, veut livrer quelque chose de ce qu'il est pour nous.
Le dictionnaire encyclopédique Hachette fait comme unique distinction entre la louange et l'adoration le fait que l'adoration est forcément adressée à une divinité, bien que, dans l'usage courant, il soit possible d'utiliser le terme d'adoration pour exprimer une forte passion pour quelque chose sans que la religion n' ...
Je peux répéter : « Seigneur, tu es là » ou redire une parole de l'Évangile pour prendre conscience que je me trouve en sa présence : « Je suis le pain de vie. » Ma prière est rythmée par trois temps : l'accueil de la présence de Dieu, l'action de grâce – le remercier pour ce qu'il fait dans ma vie –, et l'intercession ...
Offrande à Dieu d'un acte de renoncement, d'une privation en union avec le sacrifice du Christ.
Contrairement aux sacrifices offerts aux dieux olympiens, les holocaustes sont réalisés de nuit, sans vin avec des bêtes noires, offertes tête en bas sur un autel peu élevé.
Contrairement à l'holocauste où l'offrande animale brûlée est offerte à Dieu, dans le sacrifice de communion, l'offrande est partagée entre Dieu, le prêtre célébrant et l'offrant. Comme les autres sacrifices, il a pour but de rapprocher l'homme de Dieu et Dieu de l'homme.
La tradition antique est unanime sur un point: les Carthaginois sacrifiaient leurs enfants par le feu pour s'attirer la faveur des dieux. Des recherches récentes remettent en question l'interprétation traditionnelle de ces rites peu compréhensibles aujourd'hui.