Le style paternaliste : le dirigeant dispose d'une autorité incontestée et entretient des relations de proximité avec ses subordonnés. Il prend autoritairement les décisions. Il utilise un système de récompenses et de sanctions comme moyen de motivation. Le bien-être des salariés est pris en compte.
Le management paternaliste repose sur la récompense et la punition des collaborateurs comme moyens de motivation, prend en compte le bien-être des collaborateurs et favorise la communication entre le dirigeant et ses subordonnés.
Des pratiques qui peuvent générer frustration, sentiment d'injustice et démotivation, notamment chez les nouveaux entrants. Ces derniers éprouvent des difficultés à trouver leur place du fait d'une culture de l'oral très marquée, dont seuls les initiés ont la clé.
C'est un style de management qui se rapproche d'une gestion à sens unique, du haut de la hiérarchie vers le bas. Ainsi, c'est le manager qui va donner les directives à suivre et structurer les activités. En ce sens, il exerce une forme de contrôle sur ses collaborateurs.
Le management participatif est défini comme un style de gestion qui consiste à susciter l'engagement et la prise d'initiative de chaque collaborateur dans un véritable travail d'équipe, en le responsabilisant et en l'intégrant dans la vie quotidienne de l'entreprise.
Quels sont les différents styles de direction dans l'entreprise ? L'analyse de Rensis Likert (1903 – 1981) permet de distinguer quatre styles de commandement : autoritaire, paternaliste, consultatif et participatif.
Le style de management le plus efficace pour les performances des employés est le management participatif. Ce style encourage les employés à prendre part aux décisions concernant leur travail, ce qui leur donne un sentiment d'appartenance et de responsabilité.
Les 4 styles de management de LIKERT. LIKERT a défini 4 styles de management. Selon lui le style participatif est le plus performant. Ce style permet d'impliquer l'ensemble des individus, de créer un bon esprit d'équipe et de prendre des décisions plus efficaces puisque tout le monde partage son savoir.
Le style « délégatif » correspond à un management plutôt « organisateur – coordinateur » : le manager délégatif laisse ses collaborateurs s'organiser à la fois pour s'entendre entre eux et développer de la collaboration. Mais aussi pour se fixer et atteindre les meilleurs résultats par eux-mêmes.
PATERNALISME, subst. masc. A. − Attitude du chef d'entreprise qui, de sa seule initiative, octroie à son personnel des avantages sociaux dans le but d'affermir son autorité; comportement bienveillant et autoritaire du patron envers ses salariés.
C'est un mode de management rassurant lorsqu'on se sent déstabilisé, soit par de la nouveauté, soit parce qu'à titre personnel, la vie ne va pas comme on le voudrait. Le manager paternaliste, comme son nom l'indique, a des valeurs familiales fortes. Il est un véritable soutien et pilier.
Au XIX e siècle en France, Frédéric Le Play en est un des principaux initiateurs.
Autoritaire (aucune confiance, pas de consultation des salariés, repose sur les craintes et sanctions) Paternaliste (confiance limitée, consultation peut fréquente des salariés, alterne récompense et sanction). Consultatif (consultation des salariés, encourage l'esprit d'équipe).
2. Le leadership participatif (ou démocratique) Le leadership participatif ou démocratique accueille les opinions de chacun et encourage la collaboration.
Selon différentes études, mais aussi selon Likert, le management participatif reste le plus efficace au sein d'une entreprise.
Un manager efficace sait aussi encadrer
Les règles de vie au sein de l'entreprise mais aussi les procédures de travail. C'est ici que sa technicité rentre en jeu. S'il est bon dans son domaine, il imposera facilement son point de vue à ses collaborateurs qui respecteront ses compétences.
Les limites du management directif
Malgré ses avantages, le management directif présente également plusieurs limites, telles qu'un manque de créativité et d'innovation, une démotivation des employés, un risque de turnover élevé et une difficulté à s'adapter aux changements de marché.
Il existe trois niveaux de management : le management stratégique, le management opérationnel et le management tactique. Combinés, ils sont la colonne vertébrale de la gestion des ressources humaines en entreprise.
Voici ce que vous pourriez dire : « En ce qui concerne ce qui me rend unique dans mon style de management, je fais aussi de mon mieux pour être sûr de savoir quand mon équipe a besoin d'aide. Je ne reste pas sans rien faire à simplement attendre qu'on me sollicite pour un projet.
S'ils ont une certaine expérience et sont capables de prendre des décisions, tout en étant autonome, le style délégatif ou participatif peut vous correspondre. Dans le cas contraire, c'est le management directif ou persuasif qui sera le plus adapté à vos moyens.
Chez Décathlon, comme dans d'autres entreprises, il repose principalement sur le mode paternaliste : tutoiement, embrassades, soirée,… : un moyen sûr d'avoir en retour un investissement de la part du salarié. Mais que se passe-t-il si par exemple vous aviez un souci avec votre supérieur ?
Cela implique : Une confiance du groupe vers le leader et une confiance du leader vers le groupe ; Un respect mutuel et une écoute réciproque ; Et bien entendu l'exemplarité du leader, s'il veut conserver la confiance du groupe dans le temps.