Le tableau économique d'ensemble permet d'apprécier et de mesurer les équilibres économiques et financiers des secteurs institutionnels, du reste du monde et de l'économie nationale. Pour cela, la mise en évidence des besoins ou capacité de financement de chacun d'entre eux est appréciable.
La production qui apparaît dans la partie droite des comptes de secteurs est reprise dans la partie gauche du compte de biens et services, la consommation et l'accumulation qui apparaissent dans la partie gauche des comptes de secteurs sont reprises dans la partie droite du compte de biens et services.
Il existe trois (03) grands tableaux à savoir : Le tableau économique d'ensemble (TEE) Le tableau des opérations financières (TOF) Le tableau des entrées-sorties (TES)
Au XVIIIe siècle, François Quesnay invente le Tableau économique.
Le circuit économique est une représentation imagée et simplifiée de l'activité économique qui permet de décrire, au moyen des flux, les relations essentielles entre les différents agents.
Entreprises, ménages, établissements financiers, administrations publiques et le reste du monde : les principaux acteurs ou agents économiques se distinguent par leur autonomie de décision.
Les trois étapes du circuit économique sont : consommation, production et répartition.
Le tableau économique d'ensemble permet d'apprécier et de mesurer les équilibres économiques et financiers des secteurs institutionnels, du reste du monde et de l'économie nationale. Pour cela, la mise en évidence des besoins ou capacité de financement de chacun d'entre eux est appréciable.
Marshall regroupe au sein d'une théorie unifiée les concepts d'offre et de demande, de prix, de coût et d'utilité marginale. Cet édifice de logique, qui se veut ancré « dans l'activité ordinaire de la vie », influencera plusieurs générations d'économistes.
Les Physiocrates énoncent que la société est régie par un ordre providentiel et essentiel, voulu par Dieu pour le bonheur des hommes, un ordre qui doit s'imposer à la sagesse des gouvernements. Cet « ordre naturel », connu des hommes par l'"évidence", contient les lois fondamentales et immuables de toute société.
L'équilibre comptable est réalisé quand les ressources sont égales aux emplois en biens et services.
En fait, la comptabilité nationale est confrontée ici à un problème majeur : née dans les pays à économie de marché, sa prétention à l'universalité l'amène à devoir décrire des économies où le marché apparaît secondaire face au secteur public ou au secteur informel.
Plusieurs étapes sont nécessaires pour lire un tableau. Il faut en repérer la source, l'auteur, la date de publication, le champ (population étudiée, date des données, lieu concernant les données). Il s'agit ensuite de comprendre les données. Pour cela, il peut être utile de repérer le total en lignes ou en colonnes.
Pour lire un tableau, il faut se repérer verticalement, suivant une colonne, et horizontalement, suivant une ligne. Au croisement de la colonne et de la ligne se trouve la « solution ».
1La théorie néoclassique est la théorie dominante en économie. Elle se propose d'expliquer les phénomènes économiques et sociaux à partir des choix des individus qui composent la société. Elle s'inscrit donc dans la perspective de ce qu'on appelle — de façon assez vague, il est vrai — « individualisme méthodologique ».
« L'Économie politique ou l'Économique est une étude de l'humanité dans l'activité ordinaire de la vie. Elle étudie ce qui, dans l'individu ou l'action sociale, est relié à la recherche et à l'utilisation des moyens matériels nécessités par le bien-être. »
Sur un plan macroéconomique, il s'agit de l'égalité entre l'offre et la demande sur un marché – on parle d'équilibre partiel – ou sur l'ensemble des marchés – on parle d'équilibre général.
Le tableau de financement vise principalement à expliquer la variation de trésorerie d'une entreprise. Selon la définition donné par le PCG, c'est un document qui recense les emplois et ressources de l'entreprise, permet d'expliquer les variations de patrimoine entre deux exercices comptables consécutifs.
L'objectif économique, dans le sens des planificateurs, concerne la croissance économique d'une nation, soit à court terme, soit à long terme. La croissance d'une économie se mesure souvent par le taux de croissance du P.N.B.
Du débat théorique sur la nécessité de intervention de l'État dans l'économique nationale, il ressort habituellement quatre grands objectifs : le plein emploi, la croissance, l'équilibre extérieur et la stabilité des prix.
Ces phases sont les suivantes : expansion, ralentissement, récession et reprise. Si l'on utilise la définition classique de la récession - deux trimestres consécutifs de croissance négative du PIB réel - les États-Unis sont dans une récession.
Les flux réels correspondent à des mouvements de biens ou de services. Les flux financiers correspondent à des mouvements de monnaie ou d'engagement de paiement (dette ou créance). les flux externes : Ce sont des flux qui concernent deux ou plusieurs agents économiques.
On distingue les flux réels et les flux monétaires. Un flux réel est un flux de biens et/ou de services d'un agent économique vers un autre. Un flux monétaire est un flux de monnaie fiduciaire ou scripturale d'un agent économique vers un autre en contrepartie d'un flux réel.