Acte illicite de violence grave commis par un individu ou un groupe dʼindividus, agissant à titre individuel ou avec lʼapprobation, lʼencouragement, la tolérance ou le soutien dʼun Etat, contre des personnes ou des biens, dans la poursuite dʼun objectif idéologique, et susceptible de mettre en danger la paix et la ...
Idéologie, mais surtout ensemble d'actes violents et illégaux commis avec l'objectif de provoquer un climat de terreur au sein de l'opinion publique ou d'ébranler la force d'un gouvernement ou d'un groupe. La cible peut être nationale ou internationale.
L'Assemblée générale des Nations unies a réaffirmé cette définition en janvier 2006 (résolution 60/43), définissant les actes de terrorisme comme des « actes criminels conçus ou calculés pour terroriser l'ensemble d'une population, un groupe de population ou certaines personnes à des fins politiques ».
Les terroristes utilisent les moyens suivants: assassinats, attentats, prises d'otage, etc. Dans bien des cas, le terrorisme se développe dans un contexte particulier, c'est-à-dire lorsque les canaux légaux sont bloqués ou limités, du moins aux yeux des membres de l'organisation terroriste.
L'histoire du terrorisme. Des formes primitives de terrorisme apparaissent dans les meurtres systématiquement commis par les Zélotes contre l'occupant romain du royaume de Judée ou encore dans l'action, au Moyen Âge, de la secte dite des « assassins » retranchée dans la forteresse d'Alamut au nord de l'Iran actuel.
Les activités terroristes affectent aussi les décisions des investisseurs directs, puisqu'ils augmentent leurs coûts et diminuent l'attrait du pays concerné.
Les sources du financement terroriste sont notamment la fraude de bas étage, l'enlèvement contre rançon, le détournement d'organismes à but non lucratif, le commerce illicite de marchandises (pétrole, charbon, diamants, or et stupéfiants comme le captagon), ou encore les monnaies électroniques.
Pour lutter contre le terrorisme, l'Organisation mise sur une meilleure connaissance de la menace, sur la mise en place de capacités de préparation et de réponse, et sur une interaction accrue avec les pays partenaires et d'autres acteurs internationaux.
Le terrorisme constitue une menace réelle pour la démocratie, l'État de droit et la jouissance des droits de l'homme. En tant que tel il doit être combattu par les États membres, aux moyens de la prévention et de la répression.
La mondialisation a contribué à modifier le niveau de violence à l'échelle mondiale, de sorte que le monde a connu une augmentation du taux du terrorisme de l'ordre de 200% entre 1990 et 1996 en comparaison à la période de 1968 à 1989.
Commission des Nations Unies pour le droit commercial international (CNUDCI) La CNUDCI est le principal organe juridique du système des Nations Unies dans le domaine du droit commercial international à participation universelle.
La DGSI assure ainsi la coordination opérationnelle du renseignement, conduit des investigations judiciaires sous l'autorité des magistrats spécialisés, et élabore les stratégies de coopération nationale et internationale du ministère de l'Intérieur en matière antiterroriste.
"Les deux seules organisations montrées par l'ONU comme organisations terroristes sont al-Qaida et Daech", a affirmé Jean-Luc Mélenchon en déplacement à Bordeaux mercredi.
La France, active dans l'établissement de nouvelles résolutions du Conseil de sécurité améliorant la lutte contre le terrorisme. C'est au lendemain des attentats du 11 septembre qu'a été créé le Comité du contre-terrorisme (Comité 1373), par la résolution 1373, adoptée le 28 septembre 2001.
Relevant du Premier ministre, le plan Vigipirate est un outil central du dispositif français contre le terrorisme. Il associe toutes les parties prenantes, l'État, les collectivités territoriales, les opérateurs publics et privés ainsi que les citoyens, à une attitude de vigilance, de prévention et de protection.
C'est le recours illégitime à la violence contre des individus ou des biens afin de contraindre et intimider des Etats et des sociétés pour des revendications politiques exprimées la plupart du temps en termes sociaux, économiques ou religieux.
Comment lutter contre le blanchiment d'argent ? La lutte contre le blanchiment d'argent s'effectue au moyen de contrôles stricts, et notamment de processus de contrôle des tiers (KYS). Certaines entreprises, comme les banques, sont également soumises à des obligations de déclaration de soupçon.
L'UE collabore avec ses partenaires au sein du GAFI en vue d'élaborer et de mettre en œuvre des normes internationales. Le GAFI élabore et promeut des politiques de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme, et émet des recommandations que les pays doivent appliquer.
Le blanchiment des capitaux consiste à traiter les actifs provenant d'activités criminelles de manière à en dissimuler l'origine illicite. Le financement du terrorisme consiste à réunir des fonds pour appuyer des activités terroristes.
Les formes contemporaines du terrorisme se sont diversifiées : prises d'otages, terreur, occupations de villages, pillages, propagande.
L'augmentation des attaques des groupes terroristes au Sahel, couplée aux défis transfrontaliers tels que le trafic de drogues, le trafic d'êtres humains, les migrations et les déplacements de population, ont provoqué un ensemble de réponses sécuritaires tant régionales qu'internationales.
Une des conséquences les plus visibles et les plus médiatisées est le déplacement de populations, qu'elles soient réfugiées dans les pays voisins ou déplacées internes dans leurs régions d'origine ou ailleurs dans le pays. L'enquête n'a pu traquer que cette deuxième catégorie de déplacés (IDP).