La définition de critères de références : les assertions d'audit, « critères dont la réalisation conditionne la régularité, la sincérité et l'image fidèle des comptes », (NEP 315) L'identification des risques propres à remettre en cause les comptes , La réponse apportées par l'auditeur aux risques identifiés.
Globalement il existe 6 assertions : exhaustivité, réalité, propriété, correcte évaluation, séparation des exercices, correcte imputation. Pour valider ces assertions, l'auditeur va mettre en œuvre des procédures d'audit.
Exhaustivité : tous les actifs, tous les passifs et tous les éléments de capitaux propres qui auraient dû être enregistrés l'ont bien été, et toutes les informations connexes qui auraient dû être présentées dans les états financiers l'ont bien été, Ex. : La société a comptabilisé tous les passifs en fin de période.
Selon ces normes (SAS 104 à 111 de l'AICPA et NEP 200, 315 et 330 du H3C), le risque d'audit résulte de trois facteurs : les risques inhérents (inherent risks), les risques liés au contrôle interne (control risks) et le risque de non-détection (detection risk).
Les auditeurs peuvent utiliser différents types de preuves, notamment des preuves documentaires, testimoniales, physiques et analytiques. Pour garantir que les éléments probants collectés sont fiables et pertinents, les auditeurs doivent suivre les meilleures pratiques en matière de collecte d'éléments probants.
(c) Eléments probants – Informations utilisées par l'auditeur pour aboutir aux conclusions sur lesquelles il fonde son opinion d'audit. Les éléments probants comprennent les informations contenues dans les documents comptables sous- tendant les états financiers, ainsi que d'autres informations.
Un cycle d'audit est généralement utilisé pour l'audit des états financiers, mais d'autres types d'audits peuvent également en utiliser les étapes. Parmi les nombreux exemples de cycles d'audit, voici un cadre simple que toute entreprise peut intégrer dans son processus d'audit.
Les « éléments probants » désignent les informations collectées par l'auditeur pour parvenir à des conclusions sur lesquelles il fonde son opinion. Ils comprennent les informations contenues dans la comptabilité sous-tendant l'établissement des états de synthèse, et les autres informations.
Les normes d'audit :
comportement(1), les normes de travail(2), des normes de rapport(3). secret professionnel.
L'audit à blanc permet de se préparer à l'audit du certificateur. Cet audit est un entraînement qui se déroule donc dans des conditions similaires, et permet de vérifier par l'expérience le degré de préparation de l'entreprise en matière de sécurité de l'information.
Les tests de corroboration ou de validation (ou contrôles substantifs) comprennent des tests de détail portant sur les catégories d'opérations, les soldes de comptes et les informations fournies dans les états financiers, ainsi que des procédures analytiques.
4- Le principe de prudence
C'est LE PRINCIPE COMPTABLE le plus important en comptabilité. C'est un principe comptable qui incite à ne pas transférer des incertitudes (des pertes probables ou certaines) sur un exercice comptable futur.
les critères : ils rendent compte de la réglementation. la condition : elle établit si la structure répond ou non à la norme. la cause : elle détermine la problématique (en cas de non-conformité) l'effet : elle évalue les retombées.
« L'audit interne doit évaluer l'efficacité des processus de management des risques et contribuer à leur amélioration.» «L'audit interne doit aider l'organisation à maintenir un dispositif de contrôle approprié en évaluant son efficacité et son efficience et en encourageant son amélioration continue.»
Un objectif d'audit est l'hypothèse qui sera vérifiée par la collecte et l'analyse des éléments probants. Il doit être formulé de manière à ce que la conclusion soit claire et univoque, c'est-à-dire indiquant si c'est une réussite ou un échec (l'entité satisfait ou pas à la norme de performance établie).
présentation et informations fournies : les assertions pertinentes sont la réalité, les droits et obligations, l'exhaustivité, le classement et l'intelligibilité, l'exactitude et l'évaluation.
Faire valider le plan d'audit par la gouvernance (Conseil, direction générale).
L'auditeur est généralement un commissaire aux comptes ou un expert-comptable, il peut également être diplômé de niveau bac + 5 (master 2) dans un domaine financier.
Élément du Système de Management sur lequel des preuves d'audit montrent que l'organisme, actuellement conforme, risque de ne plus atteindre les exigences du référentiel à court ou moyen terme.
Les missions principales de l'auditeur interne sont les suivantes : Étudier la documentation existante : ancien rapport d'audit, comptes-rendus de la direction, documents comptables, référentiels, etc. Analyser la société sous tous ses aspects : organisation, stratégie, forces et faiblesses, management, etc.