imprécation n.f. Malédiction proférée contre quelqu'un ; parole ou souhait appelant le malheur...
Dispute et altercation, sont des mots synonymes.
Littéraire. Disposition d'esprit qui incline à une bonté indulgente : Faire preuve de mansuétude à l'égard d'un coupable.
Littéraire. Tristesse produite par les effets du repentir, le regret d'avoir offensé Dieu.
Dans le christianisme, excommunication qui exclut celui qui en est l'objet de la société des fidèles. 2. Condamnation, réprobation sévère ou malédiction visant une personne, ses actes ou ses opinions.
Un anathème est une réprobation. Cette réprobation peut concerner une mise à l'index, une personne ou une idée. Ce mot est notamment utilisé en rhétorique dans des expressions telles que « lancer un anathème » et « frapper d'anathème ».
La logorrhée est un terme médical qui désigne une surproduction verbale. Une personne logorrhéique ressent un besoin intarissable de parler. Son flux de paroles est précipité, diffus et continu. La logorrhée est souvent associée à une tachyphémie, c'est-à-dire à une accélération progressive du débit d'élocution.
Qui porte à l'excès les marques de politesse, les égards, le respect ou l'empressement envers quelqu'un. Synon. adulateur (littér.), caudataire (littér.), flatteur. Courtisan, serviteur obséquieux; peuple obséquieux.
déférence n.f. Considération respectueuse qu'on témoigne à quelqu'un, marque de respect ; égard.
Exagération pompeuse dans le ton, le geste, dans les termes employés ; enflure, grandiloquence : Parler avec emphase.
1. Patience à supporter ses propres maux. 2. Indulgence qui porte à pardonner ce qu'on pourrait punir.
1. Qui appartient au genre du dithyrambe. 2. Très élogieux, d'un enthousiasme emphatique, outré : Louanges dithyrambiques.
Pénétration d'esprit qui fait découvrir et comprendre les choses les plus difficiles ; perspicacité : La sagacité des enquêteurs permit de retrouver le voleur.
Malédiction, souhait de malheur.
argousin
Autrefois, surveillant chargé, dans les bagnes, de la garde des forçats. 2. Littéraire. Agent de police.
Prononcer à haute et intelligible voix des paroles, en particulier quelque chose d'hostile : Il proférait des menaces, des injures.
condescendant adj. Qui montre de la condescendance ; hautain, supérieur. condescendre v.t. ind. Consentir à quelque chose en se faisant prier ; s'abaisser, daigner.
1. Absence d'identité, de similitude entre des choses, des personnes ; caractère qui les distingue l'une de l'autre ; dissimilitude : Je n'ai pas remarqué de différences entre les deux jumeaux. 2. Ce qui reste lorsque l'on soustrait une quantité d'une autre, résultat d'une soustraction.
adulte n. Personne ayant atteint ou dépassé l'âge de vingt ans environ.
Qui aime la guerre, qui la recherche ; qui manifeste cet état d'esprit ; batailleur, guerrier : Chants belliqueux. 2. Qui aime les querelles ou les discussions ; agressif : Écrivain belliqueux.
Qui respecte les règles de la politesse, des bienséances.
adjectif. Qui exagère les marques de politesse, par servilité ou hypocrisie. ➙ plat, rampant. Une politesse obséquieuse.
La logorrhée est un terme qui caractérise le besoin constant de parler. Le flux de parole est considérablement augmenté, et le sujet s'exprime pendant de longs moments.
Érès): "En psychiatrie, le soliloque, c'est-à-dire le discours qu'une personne seule se tient à elle-même, est l'un des premiers signes diagnostiques isolés de la schizophrénie ou de certaines formes de psychose.
Psittacin, -ine, adj. Qui répète machinalement.