Un transistor NPN est commandé (ou activé) par un courant positif polarisé à la base pour contrôler le flux de courant du collecteur à l'émetteur. Les transistors de type PNP sont commandés par un courant négatif polarisé à la base pour contrôler le flux de l'émetteur au collecteur.
L'avantage des sorties NPN est la possibilité de pouvoir choisir une tension de signal arbitraire. Notez qu'une sortie NPN fonctionne à l'inverse d'une sortie PNP: le signal passe à zéro quand le capteur est actif.
Si le transistor est du type NPN, le courant va passer quand le fil rouge du multimètre est sur la base, et que le fil noir est en contact avec l'émetteur et ensuite le collecteur. Si le transistor est du type PNP, ce sera l'inverse (fil rouge inversé avec le fil noir).
On distingue deux sortes de transistors bipolaires (PNP et NPN) et c'est le sens du courant, qu'ils laissent passer dans une direction et bloquent dans l'autre, qui les différencie. Pour obtenir des gains d'amplification importants on multiplie et enchaîne simplement les étages (circuits) d'amplification (transistors).
Le transistor est un composant électronique qui est utilisé dans la plupart des circuits électroniques (circuits logiques, amplificateur, stabilisateur de tension, modulation de signal, etc. ) aussi bien en basse qu'en haute tension.
Les thyristors sont principalement utilisés lorsque la tension, le courant ou les deux sont élevés. Ils permettent de régler alors l'amplitude du courant appliqué à une charge. Leur ouverture est en général provoquée par le passage par zéro du courant : par commutation par la ligne.
Commençons par brancher le collecteur et l'émetteur dans un circuit et à mettre le courant (on considère que la base n'est reliée à rien du tout). Branchement du transistor. Les premiers électrons qui vont arriver au collecteur vont être naturellement attirés par la région positivement chargée près de la jonction NP.
Pour vérifier si le transistor fonctionne, on peut vérifier si cette diode n'a pas claquée. Pour cela, il suffit d'utiliser le multimètre en mode « diode ». Si la diode a claquée, est est totalement passante dans les deux sens : la tension affichée est nulle ou trop basse.
Les transistors bipolaires de puissance s'utilisent principalement pour de l'amplification et la commutation. Les tensions en jeu vont de quelques dizaines de Volts à quelques centaines de Volts alors que les courants mis en jeu sont de plusieurs Ampères.
Comment le capteur est alimenté
De nos jours, on utilise généralement des alimentations à découpage, qui convertissent une tension d'entrée (tension alternative) de 230 V / 110 V en une tension de sortie (tension continue) de 24 V.
Les montages à transistors bipolaires. Il existe trois montages qui utilisent un BJT seul comme amplificateur. On les obtient en plaçant une des trois bornes du BJT à la masse, d'où l'existence de trois montages : un où la base est à la masse, un autre où c'est l'émetteur, et un dernier avec le collecteur.
Jusqu'à une longueur de grille de 5 nanomètres - les transistors haut de gamme que l'on trouve aujourd'hui sur le marché mesurent quelque 20 nanomètres, mais des puces de 10 nanomètres devraient bientôt voir le jour -, si tout se passe bien. En deçà, un phénomène quantique baptisé effet tunnel se déclenche.
Son rôle est d'injecter des électrons dans la base. ➢ La base (B) est faiblement dopée et très mince. Elle transmet au collecteur la plupart des électrons venant de l'émetteur. ➢ Le collecteur (C) recueille les électrons qui lui viennent de la base d'où son nom.
Quand un transistor est utilisé en commutation, il peut être soit "bloqué", soit "passant". Lorsqu'il est passant, la tension VCE du transistor est alors quasiment nulle. Dans ce cas on dit alors que le transistor est "saturé" car il n'est pas possible de faire passer plus de courant dans le collecteur du transistor.
Un transistor bipolaire fonctionne comme un amplificateur de courant/tension : il amplifie le courant envoyé sur sa base. Il existe différents types de transistors, les deux classes principales étant les transistors bipolaires et à effet de champ.
Les transistors sont sujets au phénomène d' embalelment thermique losqu' ils sont mal polarisés : ils s' échauffent , le courant augmente , donc ils s' échauffent plus , et pan ! ça saute .
Une diode est un composant de circuit électrique qui permet à un courant de la traverser dans un sens mais pas dans le sens opposée. Le symbole d'une diode sur un schéma de circuit est un triangle pointant vers un trait perpendiculaire au fil conducteur.
Puis le transistor s'est débloqué dès l'instant où une tension suffisante a été appliquée entre sa base et son émetteur, un courant s'est mis à circuler d'un seul coup (ou presque) entre l'émetteur et le collecteur.
Dans les ordinateurs électroniques, le composant jouant le rôle de commutateur est le transistor, un composant qui n'a que deux états – « allumé » et « éteint » – correspondant aux données numériques 0 ou 1 à transmettre. Il se comporte donc comme un interrupteur.
Le transistor est considéré comme un quadripôle ; il a deux bornes d'entrée et deux bornes de sortie (une patte sera alors commune à l'entrée et à la sortie) et va être défini par 4 signaux : courant et tension d'entrée, courant et tension de sortie.
On dit qu'un transistor fonctionne en commutation, lorsqu'il passe de l'état saturé a l'état bloqué ou inversement. Dans ce cas, le passage d'un état à l'autre, doit se faire très rapidement, donc transition très rapide. Dans tous les cas, le transistor ne peut prendre que 2 états (0 ou 1), cela s'appelle le binaire.
Re : comment tester un triac? Avec un bête ohmmètre à aiguille cela marche aussi : pointe de touches sur A1/A2 un doigt mouillé à la bave de crapaud (important) entre l'une des deux et la gachette et hop cela conduit! Utilisable avec des triac courants!
Le transistor est effectivement utilisé comme un composant de commutation ou d'amplification, alors que le thyristor est considéré comme une sorte de diode controlée, c'est un élément de commutation uniquement.
Le thyristor se comporte comme une diode dont on commande la mise en conduction. Le symbole du thyristor ressemble d'ailleurs beaucoup à celui d'une diode. On y retrouve l'anode (A) et la cathode (K), mais une troisième borne apparaît : la gâchette (G). C'est elle qui permet la commande du composant.