Rater, c'est échouer à atteindre le but que l'on s'était fixé. Le sentiment de «ratage» est donc subjectif: il dépend des objectifs de chacun, des critères qui constituent à nos yeux la réussite d'une existence.
Si pour toi, "rater sa vie", c'est avoir fait un choix trop rapide à un certain moment, sache qu'il y aura d'autres choix et d'autres possibilités de se remettre sur les rails ou au moins améliorer le quotidien.
“Si philosophiquement, on peut craindre de rater sa vie, dans la réalité, ça semble complètement déconnecté”, rappelle Nayla Chidiac. “Ça dépend uniquement des critères que l'on se fixe soi-même ou que l'on hérite de nos proches ou de la société”, ajoute-elle.
Toute expérience est bonne à prendre, positive comme négative, le sentiment d'avoir raté sa vie vient toujours de facteurs extérieurs indirects. Aujourd'hui, prends la décision de te concentrer sur toi, sur ce que tu souhaites et fais les choix qui correspondent à ta vision. Ton bonheur doit être ta priorité !
Il vous faudra : Faire la paix avec vous-même, ne pas vous en vouloir pour les actes manqués, ne pas vous sentir « nul » de n'avoir pas toujours pris les bonnes décisions, etc. Arrêter de vous sentir comme une victime (de la vie, des évènements, des autres) et vous prendre en main.
En avoir marre de tout est tout à fait normal.
C'est même d'ailleurs une bonne nouvelle, car cela veut dire que tu as besoin de changements, tu as besoin d'évoluer et c'est parfait ainsi !
Pourquoi je ne réussis pas ? Tout d'abord et c'est selon moi très important à comprendre, la réussite dépend de deux facteurs : l'action et l'état d'esprit. Si l'un des deux vous manque vous allez avoir du mal à réussir ce que vous souhaitez.
Certaines personnes peuvent avoir le sentiment d'être incompétentes, sans capacité ni talent, « nulles », voire idiotes. Cette perception, qui devient peu à peu une certitude, attaque l'estime de soi et leur fait perdre foi en eux-même. La personne se sent disqualifiée.
La stagnation est un état dans lequel vous ne parvenez pas à vous mettre en contact avec vos sentiments et vos émotions les plus authentiques. Ainsi, vous ne ressentez plus de véritable impulsion vous poussant à l'action, à entraîner des changements qui vous enrichissent et à donner plus de sens au fait de vivre.
Bien souvent, on trouve un événement traumatisant à la base de cette phobie. Cet événement est souvent lié à une honte ou une humiliation en lien avec un moment où une joie a été contrariée, bafouée, moquée de façon suffisamment forte pour que le sujet refuse ensuite tout accès à la gaieté dans sa vie relationnelle.
Réussir sa vie, c'est faire ce que l'on a envie de faire. Faire ce que l'on a envie de faire c'est certainement le rêve de tout un chacun. Attention, cela ne signifie pas avoir une vie oisive, à siroter des cocktails au bord d'une piscine. Car cela deviendrait vite une vie vide de sens !
Il n'existe pas réellement de manuel pour changer de vie à 40 ans ou plus ! Chaque personne doit trouver son propre cheminement, sa propre voie. Pour autant, nous ne saurions trop vous conseiller de commencer par la base : booster sa connaissance de soi, apprendre à s'écouter…
L'atychiphobie \a.ti.ki.fɔ.bi\, ou la peur de l'échec, ou kakorraphiophobie, est une peur anormale, exagérée et persistance de l'échec. Elle est un type de phobie spécifique.
rater v.t. Ne pas atteindre la cible que l'on vise. Être manqué, mal exécuté. rater (se) v.pr.
La détente est un élément capital pour avoir confiance en soi. Tout comme dans un morceau de musique, les pauses sont aussi importantes que le reste des notes pour une harmonie parfaite. Il faut ainsi savoir s'accorder des moments de répit, rien qu'à soi, qui permettent de faire le point et d'aller de l'avant.
Pour avancer dans votre vie, il est important de faire de la place, et pour cela, il vous faut vous débarrasser de certaines choses, lâcher certaines barrières inconscientes ou non. Car si vous garder toutes les mêmes choses pour vous, vous ne pourrez pas évoluer.
C'est un problème qui peut vous gêner de bien des façons. Plusieurs facteurs peuvent y conduire. La prison dans la zone de confort, le manque de perspective au travail ou même l'usure des relations quotidiennes.
"Le phénomène consiste à mettre tous les moyens qu'un individu a à sa disposition pour s'autodétruire, se mettre à mal. La personne est davantage à la recherche du plaisir dans la douleur, voire du déplaisir", précise Catherine Raverdy, psychologue clinicienne.
Prendre confiance en soi
Le meilleur moyen de surmonter la peur de l'échec est d'avoir confiance en soi. Il faut tout d'abord bien définir ses objectifs, et rester réaliste. Peut-être que vous avez peur de l'échec parce que, dans le fond, vous savez que les objectifs que vous avez fixés frisent l'impossible.
Ce sentiment est parfois lié à un manque de confiance en soi. On a du mal à s'accepter, à s'estimer, on ne comprend pas comment les autres pourraient nous aimer alors qu'on est comme « ça ». Il arrive également qu'on ait l'impression que si l'autre nous aime, on pourra s'aimer en retour.
Souffrir d'inhibition, c'est se croire médiocre alors qu'on ne l'est pas. C'est choisir systématiquement le ou la partenaire qui nous correspond le moins. C'est se résigner à n'être jamais tout à fait heureux, et parfois même à vivre dans le malheur.
Réfléchissez à l'état actuel de votre situation, mettez par écrit vos objectifs pendant 15 minutes au moins par jour. Tâchez de définir des objectifs à atteindre dans un mois, un an, cinq et dix ans. Prenez l'habitude de réévaluer vos objectifs régulièrement et de les modifier s'il le faut.