Porter sa croix c'est soutenir avec ardeur le combat spirituel contre nos faiblesses naturelles pour que triomphent en nous les vertus. Porter sa croix aujourd'hui c'est témoigner de la vérité de l'Évangile et défendre les valeurs non négociables de la vie, de la famille et de l'amour.
La Bible raconte qu'il serait tombé à de nombreuses reprises, souffrant trop du poids de son fardeau. C'est en référence au Christ et à sa Passion que l'on utilise cette expression, "porter sa croix", qui signifie que l'on supporte des épreuves difficiles avec patience lorsque l'on ne peut y remédier.
«Aimer Dieu c'est aller vers les gens et faire quelque chose pour eux jusqu'à ce qu'ils renoncent à leur ancien mode de vie et viennent, heureux, à notre Père céleste.» C'est avec une profonde humilité et avec sincérité que je prie pour avoir l'Esprit et le soutien du Seigneur.
Matthieu 16:24-25 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG) Alors Jésus dit à ses disciples: Si quelqu'un veut venir après moi, qu'il renonce à lui-même, qu'il se charge de sa croix, et qu'il me suive. Car celui qui voudra sauver sa vie la perdra, mais celui qui la perdra à cause de moi la trouvera.
Définition "renoncer à soi-même"
Cesser d'agir pour satisfaire ses intérêts égoïstes.
Pour vous abandonner, vous devez le dire à Dieu
L'abandon à Dieu continue en disant à Dieu: «Seigneur, je m'abandonne à toi, j'abandonne tout mon esprit, mon corps et ma volonté. Conduis-moi dans ta vérité. »Il est Dieu tout-puissant, et Il te soutiendra, également dans ta décision de te rendre.
Lorsque nous décidons de marcher avec lui de manière sincère, il nous dit une chose : “Si quelqu'un veut marcher à ma suite, qu'il renonce à lui-même, qu'il prenne sa croix et qu'il me suive” (Matthieu 16, 24).
Se renoncer, c'est faire abnégation complète de soi-même, ceci en faveur de la cause ou de la personne que l'on sert. La Bible nous donne l'exemple de deux renoncements, dans la personne de Moïse (Ex 32:32) et de Paul (Ro 9:3).
Alors Jésus dit à ses disciples : « Si quelqu'un veut marcher à ma suite, qu'il renonce à lui-même, qu'il prenne sa croix et qu'il me suive. Car celui qui veut sauver sa vie la perdra, mais qui perd sa vie à cause de moi la trouvera.
Pour le christianisme, la Croix du Christ est en effet considérée comme l'instrument du salut de l'humanité puisque, selon cette religion, le Christ, par sa mort, a racheté les hommes de leurs péchés, et particulièrement du péché originel.
Jésus, dont seul lÂ'amour divin pouvait et peut racheter lÂ'humanité entière, veut que nous partagions sa croix, pour compléter ce qui manque encore à ses souffrances (Col 1, 24).
Luc insère cette parole de Jésus dans un discours apocalyptique : « Quiconque cherchera à préserver sa vie la perdra, et quiconque la perdra la fera vivre » (Le 17, 33).
Pour les catholiques occidentaux (latins), le geste consiste à toucher successivement, du bout des doigts (indistinctement dépliés) de la main droite (les cinq doigts rappelant les cinq plaies du Christ sur la Croix), le front, la poitrine (cœur), l'épaule gauche puis l'épaule droite.
Par principe, le port d'un signe religieux visible au travail comme le voile, la kippa ou la croix est autorisé pour les salariés du privé. Mais les entreprises peuvent l'interdire formellement dans le cadre de leur règlement intérieur.
C'est en nous approchant des sacrements, surtout de la confession et de l'Eucharistie, que nous trouverons la force pour porter notre croix jusqu'au bout.
Bijou chrétien par excellence, la chaîne en or avec croix peut être offerte lors de multiples occasions : naissance, baptême, communion, anniversaire, etc.
Selon la tradition, cette prière à la Sainte Croix du Christ est source de grandes grâces, en particulier de protection : Toute personne qui récite cette prière d'invocation à la « sainte Croix de Jésus-Christ », la lit, l'entend ou la porte sur lui, sera protégé de tout ennemi visible ou invisible.
Dans les Évangiles
La descente de croix a lieu le soir de la Crucifixion et Joseph d'Arimathie demande à Ponce Pilate l'autorisation d'emporter le corps de Jésus. Ponce Pilate, étonné que la mort soit arrivée si vite, demande la confirmation à Longin le Centurion qui perça le côté droit de Jésus avec la Sainte Lance.
En disant cette prière (puisque ça commence par « mon Dieu »), Jésus réunit en lui, Dieu et l'homme abandonné. Il rejoint son Père (il l'appelle) et il rejoint le souffrant abandonné. Il fait corps avec l'Un (son Père) et l'autre (chacun de nous). C'est là que se joue notre relation et notre confiance en Dieu.
L'Esprit vient parfaire la sainteté de chaque homme, puisqu'il lui donne d'accomplir ce pourquoi il est fait : agir conformément à la parole de Dieu. Il configure le monde au visage de Dieu, qui est celui du Christ. L'Esprit nous fait donc devenir des fils et filles de Dieu.
“Ô Esprit-Saint, âme de mon âme, je vous adore ! Éclairez-moi, guidez-moi, fortifiez-moi, consolez-moi. Dites-moi ce que je dois faire, donnez-moi vos ordres. Je vous promets de me soumettre à tout ce que vous désirez de moi et d'accepter tout ce que Vous permettrez qu'il m'arrive.
“Seigneur, comment serions-nous capables de savoir sans ta sagesse ce que nous devons faire ? Que le don de conseil nous révèle avec une joyeuse certitude ta volonté en toute chose. Vois la décision que nous devons prendre.
L'abandon à Dieu n'est ni passivité, ni quiétisme, il se caractérise par une confiance absolue en son amour. Contempler le Christ pour vivre cette attitude d'abandon total en Dieu (Mt 26,42), il nous en révèle lui-même la substance (Jn 4, 34), son abandon total culmine sur la croix (Luc 23,46).
S'abandonner à la Providence, c'est ne pas se prendre pour Dieu et se reconnaître comme un bénéficiaire. C'est quitter son soi tout-puissant, cette volonté de puissance qui est aujourd'hui une valeur très répandue, accepter de se déplacer, de regarder, d'admirer, et à partir de là, d'agir.