Bar de grand standing où l'on sert des grands crus de Champagne millésimés à déguster. (Spécialement) Bar sans vitrine ou dancing, dont l'entrée est interdite aux mineurs, qui emploie des entraineuses (des hôtesses, en langage commercial) pour faire consommer le client, notamment du champagne vendu « au prix fort ».
Bar qui accueille une clientèle essentiellement masculine, dans l'après-midi et le soir, laquelle y rencontre des hôtesses d'accueil rémunérées au volume de consommation des clients.
L'hôtesse se doit de flatter et d'être à l'écoute de son client. En échange, le client consomme et offre des verres à sa “bien-aimée” d'un soir. Les prix des consos peuvent très vite grimper (plus de 50 euros le verre par exemple) sur lesquels l'hôtesse ne touche que 15 à 20%.
Il faut également obtenir une licence de débit de boissons. La licence IV est la plus appropriée car elle permet de vendre tous les types de boissons. Une déclaration d'activité doit être effectuée auprès du CFE de la Chambre de Commerce et d'Industrie concernée.
Bien évidemment, la communication et la fidélisation joueront une place importante sur la rentabilité, mais comme dans tout commerce, le nerf de la guerre se trouve dans l'implantation du local. La réponse est oui, un bar peut-être particulièrement rentable, à condition de bien choisir son local.
On recommande d'avoir entre 150 000 et 250 000 euros de côté pour pouvoir passer les premiers mois sans encombre avant que l'affaire ne devienne rentable. Vous n'avez pas cette somme en apport ? Vous pouvez vous tourner vers un prêt brasseur ou d'autres types d'aides et de subvention pour ouvrir un bar.
En moyenne, la passe "de base" tourne entre 60 et 100€.
Si vous souhaitez reprendre un bar mais que vous ne disposez pas de l'apport nécessaire pour acheter le fonds de commerce, vous pouvez opter pour la location-gérance. Il s'agit d'un contrat, entre vous et le propriétaire, qui vous permettra d'exploiter le bar en échange du versement d'un loyer.
La marge habituelle du tarif des boissons dans un bar se situe aux alentours de 60 à 75%.
Un CA entre 200 000 et 800 000 €
Les franchises de bar proposant des planches apéritives en plus des boissons peuvent aisément enregistrer un chiffre d'affaires annuel entre 200 000 € et 500 000 €. Les franchises de bar-brasserie ou de bar-restaurant quant à eux, peuvent dégager de meilleures rentabilités.
Pour ouvrir un bar, vous n'avez pas besoin de diplôme. Vous allez cependant avoir besoin de suivre une formation afin d'acquérir un permis d'exploitation mais également respecter les normes de sécurité et d'hygiène.
Un bar est un établissement où l'on sert principalement des boissons alcoolisées. Il est proche du café.
Du café au bar à vin spécialisé en passant par des bars au concept innovant, ouvrir son bar peut offrir une certaine rentabilité à condition notamment d'avoir un positionnement en adéquation avec le lieu et les besoins de la clientèle.
Dérogation sur demande : les jeunes âgés de plus de 16 ans (c'est-à-dire 16 ans révolus) et de moins de 18 ans peuvent être affectés au service du bar dans un débit de boissons à consommer sur place, sous réserve de l'obtention d'une autorisation administrative préalable (agrément) délivrée par le préfet de département ...
Prix du restaurant de la Tour Eiffel
Un menu à la carte est proposé en semaine uniquement, à 105 euros, décliné en 3 plats (entrée/plat/dessert). Le menu Dégustation, au déjeuner comme au dîner, est à 190 euros en 5 plats et à 230 euros en 7 plats.
Rooftop est un anglicisme qui désigne un phénomène ayant lieu en été dans les villes. Les bars et les restaurants ayant un toit investissent celui-ci pour agrandir leur espace en y disposant des tables et des chaises pour la clientèle. Le rooftop permet en général de capter de nouveaux clients.
Pour ouvrir un bar ou un restaurant, deux formations sont obligatoires : Le Permis d'Exploitation toutes licences Bar, La formation spécifique en Hygiène Alimentaire pour la restauration commerciale Restauration…
Le panier moyen reste stable à 13 €. « Les Français achètent un peu moins souvent et des volumes toujours moins importants mais le budget moyen de chaque acte d'achat reste stable », constate Alexis Capitant, directeur général d'Avec Modération !.
Le sondage nous révèle également la typologie des personnes fréquentant les bars, cafés et bistrots. Ce sont avant tout des hommes (71% s'y rendent au moins de temps en temps), des jeunes (91% chez les 18-24 ans, dont 32% plusieurs fois par semaine) , des cadres (89%) et des professions intermédiaires (78%).