Le carcinome basocellulaire (CBC) est la forme la plus courante de cancer de la peau et la forme la plus fréquente de tous les cancers. Rien qu'aux États-Unis, plus de 4 millions de cas sont diagnostiqués chaque année. Les CBC résultent d'une croissance anormale et incontrôlée des cellules basales.
Lorsqu'un carcinome basocellulaire évolue près des yeux, des oreilles, de la bouche, des os ou du cerveau, les conséquences de la propagation peuvent être graves voire mortelles. Cependant, ces tumeurs se développent en général lentement dans la peau.
Traitement du carcinome basocellulaire
Le traitement chirurgical est toujours privilégié dans le cas de carcinomes basocellulaires invasifs. Lorsque la chirurgie n'est pas possible, un traitement ciblé, le vismodégib (traitement oral) donne de bons résultats. Une radiothérapie peut aussi être proposée.
Les carcinomes représentent 90 % des cancers de la peau. Ils sont beaucoup moins graves que le mélanome, mais nécessitent une surveillance attentive.
Le carcinome basocellulaire (ou épithélioma basocellulaire) est le cancer de la peau le plus fréquent. Il est généralement identifié très précocement et son développement est lent. Le traitement principal, la chirurgie, est très efficace.
Les tumeurs malignes ou cancéreuses de la peau doivent toujours être retirées chirurgicalement. Il peut s'agir, pour les plus fréquentes : Des carcinomes baso-cellulaires : ils sont très fréquents, surtout après 50 ans, et touchent le visage dans plus de 95% des cas.
Analyse du type de croissance du carcinome basocellulaire
L'anatomopathologiste est un médecin spécialisé dans l'examen au microscope de tissus prélevés par biopsie ou chirurgicalement.
La fatigue est le symptôme le plus fréquent chez les personnes atteintes de cancer. C'est également l'effet secondaire le plus courant du traitement du cancer. La fatigue est un manque d'énergie, une lassitude ou un épuisement généralisés.
En général, quand la rémission dure depuis 3 ou 5 ans, les médecins estiment qu'il est guéri.
Le médecin se sert d'un couteau chirurgical (scalpel) pour détacher le cancer de la peau. Il ferme ensuite la région avec des points de suture. On envoie le tissu au laboratoire afin de s'assurer qu'il n'y a pas de cellules cancéreuses dans la marge chirurgicale et que tout le cancer a été enlevé.
Lorsqu'ils sont détectés tôt, la plupart des carcinomes basocellulaires (CBC) peuvent être traités et soignés. Un traitement rapide est vital, car à mesure que la tumeur se développe, elle devient plus dangereuse et potentiellement défigurante, nécessitant un traitement plus étendu.
Survie relative
La survie à la plupart des cancers de la peau autres que le mélanome est excellente. La survie relative après 5 ans pour le CBC est de 100 %.
Le carcinome basocellulaire représente 70% des cancers de la peau. Favorisé par des expositions solaires répétées, il se développe le plus souvent au niveau du visage (paupières, lèvres, front...), du cuir chevelu et du cou, à partir de 60 ans. Éclairage de la dermatologue Marie Estelle Roux.
"Un cancer de la peau guérit bien dans certains cas : s'il est non-mélanique, s'il est détecté précocement et s'il n'est pas métastasique", indique la spécialiste. Il est rare que les cancers de la peau développent des métastases.
Etre soutenu pendant et après la maladie
Ne pas perdre pied et éviter les baisses de moral contribue à l'efficacité des traitements contre le cancer. Pour s'impliquer pleinement dans sa prise en charge, il est précieux que le patient soit entouré de ses proches et de personnel soignant.
Type de cancer le plus courant. Un carcinome se développe sur les tissus qui recouvrent les surfaces externes (peau, muqueuse des orifices) et internes (tube digestif, glandes) de l'organisme.
On peut observer de petits vaisseaux ramifiés à sa surface. Certaines zones de la lésion peuvent être bleuâtres ou brunes. Les très grands carcinomes basocellulaires peuvent présenter des croûtes ou une exsudation (sortie de liquide). Parfois, ils peuvent provoquer des démangeaisons ou des douleurs.
Le sucre alimente-t-il le cancer? Voilà l'une des questions les plus couramment posées dans le monde de la nutrition et de l'oncologie. La réponse courte à cette question est non, le sucre n'alimente pas le cancer.
Pour le traitement topique, on se sert d'une crème ou d'un gel pour appliquer les médicaments directement sur la peau. On peut y avoir recours pour traiter les petits CBC superficiels au cou, au tronc, au bras ou à la jambe. Le médicament topique administré pour le CBC est l'imiquimod (Aldara, Zyclara).
Le carcinome basocellulaire infiltrant est un type de carcinome basocellulaire dont le traitement chirurgical doit être plus large en raison du risque d'exérèse initiale incomplète et donc de récidive.
Le carcinome basocellulaire, qui se développe à partir des cellules dans la couche la plus profonde de l'épiderme. Le carcinome épidermoïde (appelé autrefois spinocellulaire), qui se développe au niveau de la couche intermédiaire de l'épiderme.
les carcinomes sont issus de cellules épithéliales (peau, muqueuses, glandes). Exemples: cancers du sein, des poumons, de la prostate, de l'intestin, etc. les sarcomes, moins fréquents, sont issus de cellules des tissus conjonctifs (dits tissus de «soutien»). Exemples: cancers de l'os, du cartilage, etc.
Quelle est l'évolution d'un carcinome spinocellulaire ? "Le carcinome spinocellulaire est agressif et peut évoluer envoyant des métastases dans les ganglions régionaux de drainages, voire dans des organes à distance notamment les poumons" met en garde le docteure Roux.
Une lésion qui saigne
"Elle pourrait révéler une tumeur qui a infiltré les vaisseaux sanguins en profondeur. Ce n'est pas considéré comme un signe d'alerte car une lésion qui saigne est généralement un signe d'un mélanome ou d'un carcinome qui s'est déjà installé", signale le Dr Rousseaux.