Le choc psychologique, également appelé choc émotionnel, résulte d'un évènement traumatisant qui submerge la faculté que possède un individu à faire face aux émotions qu'il ressent lorsque celui-ci survient. Non pris en charge, il peut entrainer un traumatisme psychique.
Symptômes : quelles sont les étapes d'un choc émotionnel ? La sidération psychique : la victime en état de choc, stupéfaite, immobile est incapable d'agir et de raisonner. L'agitation désordonnée : la personne s'agite de manière inefficace, crie, court sans but.
«Blocage émotionnel» est un terme couramment utilisé dans l'espace du développement personnel, mais que signifie-t-il réellement ? L'expression peut être définie comme des blessures émotionnelles refoulées ou non cicatrisées subies par des expériences de vie antérieures.
Somatiser désigne un phénomène inconscient par lequel une personne exprime son angoisse dans et par son corps. Sa souffrance psychologique « déménage » dans son corps qui devient alors source de douleur.
L'épuisement émotionnel est un état de surcharge face à l'effort. On ne parle pas uniquement d'excès professionnels, mais aussi de la charge d'assumer des conflits, des responsabilités ou des stimuli de type émotionnels ou cognitifs. L'épuisement émotionnel n'arrive pas du jour au lendemain.
On l'appelle burn out, ou syndrome d'épuisement professionnel. Peut-être parce que cette pathologie est multiforme. Grosse fatigue physique, émotionnelle, voire intellectuelle, elle peut cumuler les trois maux et avoir des conséquences parfois graves.
Une enquête démontre qu'il n'y a pas de lien de cause à effet entre un choc psychique et l'apparition d'une tumeur. Une femme qui développe un cancer peu de temps après avoir perdu son mari ou un enfant, beaucoup de gens y voient un lien de cause à effet.
Les résultats ont montré que les personnes ayant vécu un événement stressant majeur, comme la perte d'un proche ou un licenciement, par exemple, présentent un risque quatre fois plus élevé d'AVC dans la même année.
D'abord il s'agit de prendre conscience de son état émotionnel, de le ressentir et de l'accepter. Ce travail de conscience de soi et d'écoute de l'intérieur est la première étape nécessaire à l'identification de ses besoins non satisfaits et à la démarche de changement.
Détoxifier son corps
Ainsi, faire du sport permet de sécréter des endorphines, nous procurant un sentiment de bien-être, avoir une alimentation riche en fruits et légumes permet de réguler l'humeur et dormir suffisamment réduit les risques de dépression.
La colère (Nu) est associée au Foie. La joie (Xi) est associée au Coeur. La tristesse (You) est associée au Poumon. Les soucis (Si) sont associés à la Rate/Pancréas.
Première étape : repérer ces signes et se rendre compte qu'on ne va pas bien. Sans ça, on ne peut pas résoudre le problème. Deuxième étape : si l'on y arrive : identifier la ou les causes du mal-être. Ça permet d'expliquer aux autres ce qui ne va pas et voir sur quoi il faut agir pour améliorer la situation.
En pratique, quatre grandes catégories d'états de choc sont décrites : le choc cardiogénique, le choc obstructif, le choc hypovolémique et le choc distributif, qui comprend le choc septique et le choc anaphylactique.
Lors d'un choc traumatique, la personne conserve une empreinte psychologique indélébile d'un évènement traumatisant qui s'est passé au cours de sa vie. Il peut s'agir d'un attentat, d'une attaque, d'un viol, d'un accident de voiture ou d'un vol, dont la personne a été victime ou témoin.
L'AVC silencieux, ou l'absence de symptômes. Sourire asymétrique, faiblesse d'un côté du visage ou du corps, difficultés à s'exprimer… En règle générale, les signes de l'AVC sont relativement faciles à reconnaître. Mais il arrive que cette pathologie ne provoque aucun symptôme : on parle alors d'AVC silencieux.
Une consultation avec un psychologue ou un psychiatre spécialisé dans les psychotraumatismes est donc recommandée. Plusieurs méthodes peuvent être employées : la thérapie cognitivo-comportementale (TCC), la désensibilisation par mouvements oculaires (EMDR) ou l'hypnose donnent de bons résultats.
C'est donc officiel, le sucre est l'ennemi numéro 1.
Le stress provoque très souvent des douleurs musculaires et articulaires. Les maux de ventre sont aussi très fréquents. Le stress peut également entraîner des symptômes neurologiques ou, autrement dit, des maux de tête (migraines, céphalées de tension).
des anxiolytiques (benzodiazépines et buspirone) : ces médicaments ont une action rapide contre le stress et l'anxiété. Ils sont en général prescrits sur de courtes durées et à de faibles doses, par exemple avant que les antidépresseurs ne fassent effet.
Du côté du cortex préfrontal, le stress chronique ralentit l'activité et vient altérer la prise de décision, la résolution de problèmes, la concentration et la planification. L'activité dans l'amygdale quant à elle, augmente en conséquence au stress. La régulation des émotions s'en trouve alors affectée.