Couple mythique Sens : Couple, tandem de légende, célèbre. Origine : Cette expression semble avoir vu le jour dans la première moitié du XXe siècle dans l'univers du cinéma. Le terme "Mythique" exprime une grande célébrité, un couple légendaire.
Qui appartient à un mythe ; qui en a les caractères : Récits mythiques. 2. Qui n'a pas d'existence réelle : Espoir dans un avenir mythique.
(Date à préciser) Du moyen français mythique , lui-même du latin mythicus (« relatif à la fable », « fabuleux »).
Ce qui est imaginaire. Synonyme : allégorie, fable, histoire, illusion, invention, légende, rêve, roman.
Un mythe est une construction imaginaire qui se veut explicative des phénomènes cosmiques, psychologiques et sociaux, à l'image de dieux et déesses qui proposent une explication pour certains aspects fondamentaux du monde, et de la société qui l'a forgée ou qui la véhicule.
Il qualifie cette portée de mythique en conservant les implications d'importance sociale et de fausseté ultime – fausseté dans ce sens que, derrière le sens patent, se cache un sens non critiqué qui renforce l'idéologie dominante.
Médée, Pénélope, Cassandre, Circée, Antigone, Le Minotaure, Ariane, Ulysse, Abel et Caïn, Œdipe... Tous ces noms sont bien connus du fait de multiples reprises et de réécritures dont ils ont fait l'objet. Lorsqu'on évoque ces quelques mythes, on a à l'esprit leur origine : ils proviennent de l'Antiquité gréco-latine.
Il nous apparaît qu'on peut déceler au moins deux différences entre ces deux types de révélation. Le mythe est toujours là, on peut y recourir quand on veut tandis que l'expérience mystique semble posséder un caractère plus soudain, plus inattendu, plus imprévu.
L'ancrage dans la réalité : la légende est basée, même de très loin, sur une réalité historique, sur des évènements ayant eu lieu. Ce n'est pas le cas du mythe. Le lien à la création du monde : le mythe cherche à expliquer la création du monde et les phénomènes naturels en se fondant sur des constructions imaginaires.
Parole vraie ou mensonge dans l'Antiquité grecque. Étymologiquement, « mythe » vient de muthos, qui, dans la langue grecque du milieu du ve s. avant notre ère, désigne encore un énoncé considéré comme vrai.
Il nous apparaît qu'on peut déceler au moins deux différences entre ces deux types de révélation. Le mythe est toujours là, on peut y recourir quand on veut tandis que l'expérience mystique semble posséder un caractère plus soudain, plus inattendu, plus imprévu.
Synonyme : inspiré, pieux, religieux, spirituel. Contraire : athée, sceptique.
L'ancrage dans la réalité : la légende est basée, même de très loin, sur une réalité historique, sur des évènements ayant eu lieu. Ce n'est pas le cas du mythe. Le lien à la création du monde : le mythe cherche à expliquer la création du monde et les phénomènes naturels en se fondant sur des constructions imaginaires.
Le récit mythique consiste en un précieux levier pour raconter sa propre histoire jusqu'ici barrée au « dire ». Il permet également de relancer la pensée par le biais de la culture, du langage du récit.
Quand le personnage devient un mythe littéraire
Leur renommée est telle qu'ils traversent les siècles, sont régulièrement repris et réinterprétés. Le récit de leur parcours devient exemplaire et ils incarnent une ou des valeurs fortes.
Le but du mythe n'est pas de dire ce qui s'est réellement passé au début, mais de fonder une organisation sociale ou religieuse, voire une morale. Le mythe offre aussi plusieurs degrés d'interprétation.
Médée, Pénélope, Cassandre, Circée, Antigone, Le Minotaure, Ariane, Ulysse, Abel et Caïn, Œdipe... Tous ces noms sont bien connus du fait de multiples reprises et de réécritures dont ils ont fait l'objet. Lorsqu'on évoque ces quelques mythes, on a à l'esprit leur origine : ils proviennent de l'Antiquité gréco-latine.
(Sens figuré) Personne célèbre, talentueuse ou héroïque qui a atteint un certain succès, une certaine notoriété dans un domaine, un milieu. Je suis une légende vivante. Cette chanteuse s'est hissée au rang des légendes de la pop. Ce footballeur est une légende.
Dérivé du grec muthein (μυθειν, converser), le mythe est à l'origine un récit fabuleux et populaire qui raconte les actions et les aventures d'êtres personnifiant des forces naturelles. Le passage du muthos (μῦθος) au logos (λόγος) marque, selon Karl Jaspers, l'avènement de la démarche proprement philosophique.
On oppose spontanément mythe et histoire : le mythe est de l' ordre de la légende, tandis que l' histoire est de l' ordre de l' enquête. Les deux termes sont toutefois de l' ordre du discours, du récit, de la mise en mots ; par là même ils élaborent une réalité.
Les femmes mystiques vivent leur désir et son accomplissement comme une expérience ancrée dans leur corps. L'ascèse, la mortification, la souffrance imposée ou choisie mènent toujours à des états intérieurs plus approfondis.
Personne qui adhère à des croyances surnaturelles, qui possède une foi religieuse intuitive et p. ext. qui s'adonne à des pratiques de dévotion intense. Les mystiques arabes, chrétiens, hindous.
1. Doctrine relative à l'expérience d'une communication directe et personnelle avec le divin. 2. Attachement passionnel à une doctrine ou à quelqu'un qui sont idéalisés : La mystique révolutionnaire.
Selon un classement d'Afrikmag, le Sénégal figure parmi les trois pays les plus mystiques d'Afrique après le Bénin. La réputation du Bénin en matière de pratique vaudou n'est plus à prouver. Il y existe même un festival en son honneur.
Dans la religion, le mythe exprime une vérité essentielle ; il est savoir authentique, modèle de la réalité. Dans la pensée rationnelle, le rapport s'inverse. Le mythe n'est plus que l'image du savoir authentique, et son objet, la génésis, une simple imitation du modèle, l'Etre immuable et éternel.