Principe. L'écart d'acquisition correspond à la différence entre le prix d'acquisition des titres d'une société et sa situation nette comptable. Il apparait au moment où la société acquise entre pour la première fois dans le périmètre de consolidation d'un groupe.
L'écart d'acquisition se définit comme la différence entre la juste valeur et la valeur comptable de l'entreprise. Pour calculer l'écart d'acquisition, soustrayez simplement le total des avoirs du prix d'acquisition de l'entreprise.
Différence entre un coût préétabli (ou coût standard) et un coût réel. (L'analyse des écarts est à la base de la gestion budgétaire et du contrôle de gestion.)
Goodwill : le calcul
Goodwill = actif du bilan - capital matériel - capital immatériel. On notera qu'il n'existe pas de formule type.
Le bilan consolidé correspond à l'image financière d'un groupe de sociétés et dont l'obligation d'établissement en Europe est réglementée par la 7e directive sur les comptes consolidés.
Les comptes consolidés sont obligatoires pour les groupes dont les résultats dépassent, sur les deux derniers exercices, deux des trois seuils suivants : Bilan supérieur à 15 millions d'euros. Chiffre d'affaire supérieur à 30 millions d'euros. Effectif supérieur à 250 personnes.
Les normes IFRS sont des normes comptables internationales mises en place depuis 2005. Elles permettent d'harmoniser la présentation des états financiers et comptables des sociétés cotées et d'obtenir un système comptable uniforme entre les différents pays du monde.
Le goodwill est intéressant pour les investisseurs qui souhaitent investir dans une société, car une survaleur est un avantage positif indéniable. Le goodwill est un élément qui peut dans le futur, générer des bénéfices. Lorsque cet écart est négatif, on parle alors de badwill.
Le goodwill est un écart d'acquisition positif, appelé également survaleur. Un écart d'acquisition nait de la différence entre le prix d'acquisition et la juste valeur de la société acquise. L'écart être positif (goodwill) ou négatif (badwill).
Financièrement, le goodwill est une survaleur payée en contrepartie d'avantages économiques escomptés. Toutefois, depuis le 1er janvier 2016, il n'est plus amortissable en l'absence de limites prévisibles à sa durée d'utilisation.
Lorsqu'il achète une société cible, un groupe accepte souvent de payer un prix supérieur aux fonds propres figurant au bilan de sa cible. Cet écart entre la valeur comptable de la société et les capitaux investis correspond à l'écart d'acquisition, aussi appelé « goodwill »ou « survaleur ».
L'analyse de l'écart sur coût consiste à comparer le coût réellement constaté et le coût préétabli. Lorsque le coût réel est supérieur au coût préétabli, l'écart est défavorable, dans le cas inverse, il s'agit d'un écart favorable. Il peut s'agir d'un écart sur matières premières ou sur main-d'œuvre.
Le seuil de rentabilité correspond au niveau de chiffre d'affaires au-delà duquel l'entreprise commence à réaliser un bénéfice.
Pourquoi déprécier le goodwill ? Il peut arriver qu'une entreprise décide de payer une somme supérieure à la valeur comptable pour l'acquisition. Lorsque l'actif diminue suite à l'achat, il va se produire un écart d'acquisition.
L'entreprise qui achète des actions, obligations ou parts sociales doit les comptabiliser en compte 50 pour les valeurs mobilières de placement ou VMP, en compte 271 pour les titres immobilisés ou en compte 261 pour les titres de participation.
La mise en équivalence traduit une méthode de comptabilisation par laquelle l'investissement est initialement comptabilisé au coût. Le coût, qui inclut les coûts directs liés à la transaction, est alloué entre la juste valeur des actifs et passifs acquis et le goodwill calculé par différence.
L'évaluation de la valeur de la société par les flux de trésorerie prévisionnels. Selon cette approche, on considère que la valeur de la société est égale à la somme des flux de trésorerie (cash-flows) prévisionnels qui seront potentiellement dégagés dans les cinq à dix prochaines années.
Le goodwill est une augmentation de la valeur de l'entreprise. Par conséquent, le goodwill est un élément à intégrer au niveau de l'actif immobilisé du bilan et, plus précisément, en tant qu'immobilisation incorporelle. Le compte à utiliser en comptabilité est un sous-compte dédié du numéro 207 - Fonds de commerce.
Une immobilisation incorporelle est un actif immobilisé et s'inscrit donc à l'actif du bilan comptable. On l'enregistre à son coût d'acquisition qui comprend le prix d'achat et les coûts annexes, ou bien à sa valeur estimée. L'enregistrement comptable d'une immobilisation incorporelle permet alors de pouvoir l'amortir.
La conclusion qui s'impose est que la dépréciation du goodwill est pertinente et prudente. Pertinente, parce que le goodwill est un incorporel à durée de vie indéterminée, auquel l'amortissement en principe ne convient pas.
Pour calculer votre flux de trésorerie (CF), commencez par multiplier vos flux de trésorerie disponibles par le taux constant : 400 000 x 0,05 = 20 000€. Ajoutez ensuite ces 20 000€ à vos 400 000€ initiaux, équivalente à vos flux de trésorerie pour l'année suivante : 20 000 + 400 000 = 420 000€.
L'évaluation se fait souvent en deux composantes de prix : Un prix pour l'achalandage : celui-ci est lié généralement au chiffre d'affaires, qu'on multiplie par un facteur qui se trouve généralement entre 80 %-120 %.
Les comptables distinguent trois types de comptabilité : la comptabilité générale, la comptabilité analytique et la comptabilité budgétaire. Seule la première est légalement obligatoire, mais elles permettent toutes de faire la lumière sur la situation financière de votre entreprise.
Le Bureau international des normes comptables, plus connu sous son nom anglais de International Accounting Standards Board (IASB), est l'organisme international chargé de l'élaboration des normes comptables internationales IAS/IFRS. Il remplace, depuis 2001, l'International Accounting Standards Committee.