A partir de 50 ans, de véritables accidents de la mémoire peuvent se produire : ce sont les ictus amnésiques ("ictus" en latin veut dire "crise"). Ces "trous noirs", des pertes transitoires de la mémoire, sont soudaines, réversibles et ne laissent généralement aucune séquelle.
L'amnésie transitoire globale est une amnésie antérograde et souvent rétrograde qui commence soudainement et dure jusqu'à 24 heures. Le diagnostic est principalement clinique, mais comprend également des examens biologiques, la TDM et/ou l'IRM.
Il n'existe pas de traitement spécifique pour l'ictus amnésique étant donné qu'il se résout de façon spontanée en quelques heures.
De nombreux survivants d'AVC subissent un mémoire faible et, heureusement, suivant qu'il s'agit d'un effet cognitif, la récupération de la mémoire est souvent possible par la rééducation cognitive.
L'amnésie globale transitoire est une perte soudaine et temporaire de la mémoire pour des événements pendant, après et parfois avant l'événement qui a provoqué l'amnésie.
Les médicaments qui agissent sur le cerveau, comme les anxiolytiques, les antidépresseurs, mais aussi les somnifères. En modifiant la manière dont les neurones communiquent, ils perturbent la mémoire et la concentration. Le stress.
Le ginseng qui est souvent considéré comme un stimulant de la mémoire et de la concentration. Proche du ginseng, l'éleuthérocoque qui aurait une action sur la mémoire mais ses effets sont plutôt considérés comme des effets anti-fatigue.
"Le déterminant le plus important de la survie à long terme était l'âge au moment de l'AVC", indiquent les auteurs. "Dans le groupe d'âge de 65 à 72 ans, 11 % ont survécu 15 ans après l'AVC. Dans le groupe d'âge moins de 65 ans, 28% ont survécu 15 ans".
Le stress chronique affecte le système cardiovasculaire, endommageant ainsi les artères au cas où on le laisse passer sans traitement. Le dommage vasculaire peut mener éventuellement à un AVC, qui constitue une urgence médicale provenant d'une artère dans le cerveau qui soit se rompe, soit se bouche.
L'hémorragie cérébrale (20 % des cas) ; c'est la plus dangereuse en termes de mortalité et de séquelles. Le plus souvent, elle provient d'un anévrisme (section dilatée d'une artère) qui prive le cerveau d'oxygène et provoque une compression sur les tissus environnants.
C'est un phénomène connu : la fatigue, les apnées du sommeil ou le manque chronique de sommeil peuvent entraîner une baisse de la concentration et des pertes de mémoire. le stress et la dépression, les événements traumatisants. certaines carences alimentaires, notamment en vitamine B1 ou B12.
Il faut plutôt s'inquiéter quand l'entourage vous met en garde contre votre attitude : pertes de mémoires fréquentes et sur des sujets que vous maîtrisez habituellement, attitudes bizarres, rangements improbables, troubles du langage et de l'orientation dans des lieux que vous maîtrisez parfaitement jusqu'à présent.
La perte de mémoire, ou amnésie, peut se situer à différents niveaux : l'amnésie rétrograde caractérisée par l'oubli des souvenirs antérieurs au début de la maladie, c'est-à-dire des faits anciens ; l'amnésie antérograde se traduisant par l'oubli des événements au fur et à mesure qu'ils se présentent.
Ce test consiste principalement à dessiner une horloge et à placer les aiguilles correctement selon une heure précise. L'inscription des chiffres, leur positionnement, le nombre d'aiguilles ainsi que l'heure représentée sont évalués.
Lorsqu'une artère est bouchée, le sang ne peut plus circuler normalement et l'oxygène n'arrive plus jusqu'aux tissus. On parle d'ischémie.
Lors d'un ictus amnésique, le cerveau se souvient de ce qu'il faut faire dans la situation où la personne se trouve mais n'arrive pas à retenir ce qu'il vit. Cela s'explique par le fait que nous possédons plusieurs mémoires : une mémoire à court terme et une mémoire à long terme.
Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), du type ibuprofène ou naproxène, sont dans le viseur des Etats-Unis. L'Autorité de sécurité des aliments et des médicaments (FDA) a décidé ce 9 juillet de renforcer les avertissements concernant le risque d'infarctus et d'accident vasculaire cérébral (AVC).
Encouragez votre proche à poser des questions aux professionnels de santé. S'il le souhaite et si vous le pouvez, assistez aux rendez-vous médicaux, ainsi vous pourrez entendre les réponses. Les émotions que nous ressentons peuvent parfois nous empêcher de bien comprendre certaines informations.
Bref, oui, on peut guérir quelqu'un d'un AVC dans deux étapes : en premier lieu, les médecins administrent des traitements spécifiques pour restaurer le flux sanguin dans le cerveau ; en deuxième, le patient assiste à la rééducation pour guérir les effets secondaires.
Le fruit le plus riche en antioxydant est le bleuet, suivi par la canneberge, la mûre, la framboise et la fraise. Des études menées avec des animaux de laboratoire ont démontré que la consommation de bleuets pouvait aider à freiner la perte de mémoire et même renverser le processus.
La vitamine C et la vitamine D protègent le cerveau contre le stress oxydatif et le déclin cognitif. Les vitamines du groupe B favorisent l'absorption du glucose par l'organisme et le transport de l'oxygène, et aident à la fabrication de certains neurotransmetteurs.
La pratique d'une activité physique régulière est recommandée pour entretenir sa mémoire. Cela contribue à l'oxygénation du cerveau. En plus d'activer les neurones, le sport aide aussi à maintenir les capacités motrices. Avec l' âge, on peut opter pour une activité physique "douce" : marche, golf, aquagym...