Partie d'un ouvrage dramatique où sont exposés des événements antérieurs à ceux qui se déroulent dans la pièce proprement dite.
Introduction servant à présenter des événements antérieurs à l'action proprement dite dans une oeuvre théâtrale, lyrique ou cinématographique.
Discours qui introduit une pièce de théâtre. Texte introductif. ➙ introduction, préface. au figuré Préliminaire, prélude.
Comédien chargé de dire le prologue, parfois dit « annoncier ». Par ext. Partie initiale d'une œuvre littéraire, lyrique ou cinématographique qui, le plus souvent, présente ou éclaire l'action.
Le prologue est un élement parfois central d'une oeuvre littéraire : pour donner le cadre d'un récit qui suscite l'intérêt du lecteur, pour préparer l'introduction à une oeuvre qui nécessite une contextualisation, pour élargir la perspective de votre roman.
Le prologue est la première partie d'une œuvre littéraire. Il fait office d'introduction. La plupart du temps, il situe le lieu mais surtout le contexte. Les personnages principaux ne sont pas toujours représentés mais on peut parler d'eux ou d'événements qui les touchent de près.
4) Qui parle dans un prologue ? Comme je l'ai dit, le prologue permet une certaine liberté, mais il faut être conscient de l'impact que cette différence de narration peut avoir sur le lecteur. Vous pouvez faire parler un autre narrateur que celui que vous avez choisi dans le reste du roman.
Scène lyrique, souvent allégorique, située au début d'un ouvrage dramatique.
Le prologue doit être marquant et surtout intrigant. Le fruit de sa promesse c'est l'écrin qu'il apporte au début du récit, votre premier chapitre, et l'écho qu'il produira avec la fin de votre récit.
Le Prologue présente un à un tous les personnages de la pièce, qui « sont en scène » au lever du rideau, comme l'indique la première didascalie. Pour chacun d'entre eux, il donne des traits physiques et moraux tout en les désignant (« c'est la petite maigre », « là-bas »).
Dans le théâtre classique français au XVIIe siècle, il n'y a pas de prologue dans lequel l'auteur donne les clés de son œuvre. Il n'y a pas non plus de narrateur extérieur à l'action qui va être représentée. On compte donc sur la scène d'exposition pour présenter le sujet.
La scène d'exposition est le nom de la première scène d'une pièce de théâtre. Elle vise à plonger le spectateur in medias res, c'est-à-dire directement dans l'action, en lui exposant rapidement les personnages principaux et les enjeux de l'intrigue à venir.
C'est l'opposé du prologue et, comme celui-ci sert souvent à présenter au lecteur les personnages avant l'action, l'épilogue peut être employé à faire connaître ce qu'ils deviendront, l'action accomplie.
Le prologue
Il intervient nécessairement AVANT le début de l'histoire et en fait partie intégrante. Il sert notamment à introduire des personnages, à expliquer des faits passés ou une histoire qui doivent être connus par le lecteur pour commencer la lecture, ou qui vont servir à l'intriguer.
Via le latin prologus (« début d'une pièce de théâtre », « récitant du prologue »), du grec ancien πρόλογος , prólogos (« préambule »).
Le prologue : une définition
Quelquefois, il pourrait même s'agir d'un extrait de l'histoire, mais celui-ci est convoqué afin d'orienter la lecture et de présenter les thèmes ou la problématique de l'œuvre qui va suivre.
L'incipit d'une œuvre romanesque constitue un enjeu majeur du pacte de lecture : il a pour fonction de programmer la suite du texte, en définissant le genre, le point de vue adopté par le narrateur, les personnages, etc. , mais surtout, il doit donner envie de lire la suite.
Le prologue présente la structure de la pièce.
Le spectateur apprend ce qui s'est passé avant, l'intrigue est lancée, et la fin tragique est annoncée. Dès le début, tout est posé.
Voici les étapes d'écriture :
Introduction : On introduit le spectacle en donnant le ton de l'histoire (comique, tragique…) On met en évidence l'époque via des indices dans le décor et les dialogues des personnages. On met en place le lien entre les personnages et leur caractère.
Fonction. Les didascalies sont intercalées dans le dialogue écrit, mais n'en font pas partie, et ne sont donc pas destinées à être prononcées sur scène. Elles sont notées le plus souvent en italique ou entre parenthèses.
1. Conclusion d'un ouvrage littéraire. 2. Ce qui termine, conclut une action longue et embrouillée ; dénouement : Aventure qui a eu pour épilogue un mariage.
Définition de antonyme nom masculin et adjectif
didactique Mot qui, par le sens, s'oppose directement à un autre (opposé à synonyme).
Le dénouement est la scène finale d'une pièce de théâtre où il y a la solution du problème (il n'y a pas toujours de dénouement dans une nouvelle). C'est aussi la dernière partie de l'action racontée ou représentée dans une œuvre littéraire, épopée, pièce de théâtre ou roman.
Aparté : Réplique prononcée par un personnage à l'insu d'un autre, pour lui-même ou à l'intention du public. Bienséance interne : Cohérence de l'œuvre dramatique, des caractères notamment.
Didascalie : indication scénique (non prononcée) portant sur les décors, costumes, gestes, intonations… Elle constitue la seule voix d'un « narrateur » dans le texte théâtral principalement constitué de dialogues. Quand une indication est donnée dans le dialogue même, on parle de didascalie interne.