C'est un document périodique et officiel qui retranscrit les actes et les résultats de l'entreprise en matière de responsabilité sociale des entreprises (RSE).
Un bon rapport RSE doit être complet. En effet, c'est la synthèse de tous les engagements de l'entreprise. Il doit donc être argumenté de manière très complète, en n'oubliant aucun engagement ou action mise en place. Cela peut être déterminant si le rapport RSE est lu dans le cadre d'un appel d'offres par exemple.
La responsabilité sociétale des entreprises (RSE) également appelée responsabilité sociale des entreprises est définie par la commission européenne comme l'intégration volontaire par les entreprises de préoccupations sociales et environnementales à leurs activités commerciales et leurs relations avec les parties ...
Les actions mises en place visent à favoriser la qualité de vie au travail, à encourager le dialogue dans un cadre de travail serein. La RSE intègre également des valeurs en matière d'égalité, de non-discrimination et de juste rémunération au sein de l'entreprise.
En effet, le concept de RSE recouvre les valeurs défendues par les établissements publics de santé et médico- sociaux que sont l'humanisme, l'accessibilité, la solidarité, l'universalité et l'égalité. Les établissements publics de santé et médico-sociaux sont des acteurs économiques et sociaux au cœur des territoires.
Au vu de la définition ci-dessus, nous pouvons voir que la RSE se caractérise par trois piliers : le pilier économique, le pilier environnemental et le pilier social. Ces trois piliers sont interconnectés, ils s'articulent entre eux et ne peuvent fonctionner l'un sans l'autre.
En France, certaines entreprises ont l'obligation (notamment d'après les lois Grenelle II de 2010) de rédiger un rapport RSE annuel. Il s'agit des entreprises cotées en bourse, avec un chiffre d'affaire supérieur à 100 millions d'euros ou une masse salariale supérieure à 500 employés.
Cette obligation, inscrite dans l'article 1833 du Code civil, concerne toutes les sociétés. C'est une manière pour le législateur d'inciter plus d'entreprises à entamer des démarches RSE.
La RSE représente une opportunité pour l'entreprise d'améliorer sa gouvernance tout en renforçant son engagement envers la société et envers ses collaborateurs. Elle permet également d'agir sur l'impact environnemental de ses activités, le but étant qu'il soit le moins néfaste possible, et même positif !
La RSE y est définie comme “la responsabilité d'une organisation vis-à-vis des impacts de ses décisions et de ses activités sur la société et sur l'environnement, se traduisant par : adopter un comportement transparent et éthique qui contribue au développement durable y compris à la santé et au bien-être de la société
Un rapport RSE retranscrit les actes et les résultats de l'entreprise en matière de responsabilité sociale des entreprises. C'est un outil de communication concernant les activités économiques, consommation, les actions liées à l'environnement, au management et les démarches liées aux salariés.
Quelles preuves apporter ? La RSE est une démarche volontaire : il n'existe pas de réglementation contraignant les entreprises à s'engager, mais seulement des référentiels permettant de guider la démarche. En revanche,les différents labels et certifications existant peuvent être utilisés pour prouver votre engagement.
Les fournisseurs et les sous-traitants, Les clients et les consommateurs, Les communautés locales et les riverains, Les pouvoirs publics.
Donc en un sens, toutes les entreprises sont concernées par la RSE ; certaines en font d'ailleurs sans doute déjà dans le cadre de leurs activités, sans l'avoir clairement identifié comme une pratique RSE.
La RSE est souvent divisée en 3 catégories : les impacts environnementaux, la responsabilité sociale et les responsabilités économiques.
L'Etat et les collectivités locales, les services publics marchands, les principaux groupes de pression (tels que les ONG, les syndicats ou les groupes de consommateurs, les entreprises (grandes et petites) et le monde de la finance sont ainsi identifiés en tant qu'acteurs de la RSA et leurs moyens d'action comparés.
Les enjeux de la RSE se matérialisent par ses trois piliers que sont le pilier économique, le pilier social, et le pilier environnemental. Pour chacun de ces piliers, de nombreuses mesures peuvent être mises en place par les entreprises pour contribuer au développement durable.
Elle décrit deux pratiques fondamentales de responsabilité sociétale : l'identification des impacts des décisions et des activités de l'organisation au regard des questions centrales de l'ISO 26000 ; l'identification des parties prenantes et le dialogue avec celles- ci.
Premièrement, la RSE est victime de préjugés. Deuxièmement, elle demeure un concept méconnu et surtout, ses avantages sont encore méconnus des acteurs et du grand public. Enfin, il y aurait une forme d'inadaptabilité du concept qui mérite d'être davantage appréhendé et ancré dans les réalités locales.
Une entreprise négligeant ses responsabilités sociétales peut entraîner une perte de confiance, et par conséquent, une baisse de la clientèle. De plus, les professionnels d'aujourd'hui cherchent à travailler pour des entreprises dont les valeurs et les actions sont alignées sur des principes éthiques et sociaux.