Parmi les mots qui peuvent être des subordonnants, on trouve notamment des conjonctions (ex. : que, à ce que, de ce que, parce que, sans que, pour que, afin que, à moins que, alors que, pendant que, après que, tandis que, plutôt que, dès que, quand, lorsque, si, comme) et des pronoms relatifs (qui, que, quoi, dont, où, ...
Le subordonnant est un rôle syntaxique joué par un terme placé au début d'une subordonnée. Il l'enchâsse dans une phrase enchâssante ou dans un groupe de mots. Il permet donc la subordination. J'ai interviewé un architecte talentueux qui a conçu un bâtiment impressionnant.
Elles peuvent être conjonctives (introduites par que), interrogatives indirectes (introduites par un mot interrogatif) ou infinitives (sans mot subordonnant et avec un verbe à l'infinitif).
La subordonnée introduite par un mot interrogatif « quand, où, pourquoi, combien, comment, qui, si, quel » est dite interrogative indirecte. Elle sert de complément d'objet au verbe de la principale. Pour son anniversaire, je lui demanderai ce qu'elle aimerait recevoir.
Les subordonnants sont des mots (conjonctions de subordination, pronoms relatifs et pronoms interrogatifs) qui permettent d'intégrer une phrase dans une autre pour en faire une subordonnée.
On comprend mieux alors que la phrase introduite par car ne soit pas une subordonnée : elle exprime plutôt un acte d'énonciation distinct, coordonné au précédent et sur lequel elle s'appuie. En n, la conjonction car permet de lever une ambiguïté lorsque la première des deux phrases coordonnées est négative.
Elle suit généralement la principale : Je n'ai pas encore lu le rapport (principale) que vous m'avez transmis (subordonnée). Elle peut toutefois précéder la principale, notamment lorsqu'elle a une valeur circonstancielle : Au moment où j'ai aperçu la voiture (subordonnée), il était déjà trop tard (principale).
Les propositions subordonnées complétives
La proposition subordonnée complétive ne remplace pas un nom mais complète un verbe grâce à une conjonction de subordination. Exemple : Je souhaite que tu ailles à l'école. Je pense que tu devrais travailler plus.
"Quand" est une conjonction de subordination qui introduit une proposition subordonnée conjonctive. On peut remplacer une proposition subordonnée conjonctive complément circonstanciel de temps par un groupe nominal complément circonstanciel de temps.
Mais est une conjonction de coordination et non de subordination. De plus, seules les propositions subordonnées sont introduites par des mots subordonnants.
Une proposition est une partie de phrase ou une phrase, dans une phrase. Il y a autant de propositions qu'il y a de verbes. ex: Le chat dort dans le salon.
Définition de la proposition subordonnée
Une proposition subordonnée est une proposition qui dépend d'une proposition principale. Elle se rattache à la proposition principale pour apporter une précision en lien avec celle-ci.
La subordonnée conjonctive circonstancielle de conséquence peut être… introduite par les conjonctions : au point que, de sorte que, de façon que, si bien que ; Exemple : Bob est très intelligent [si bien qu'il réussit sans peine].
Une proposition subordonnée peut être complément du nom (ou du pronom) antécédent. C'est la fonction la plus fréquente de la proposition subordonnée relative. Ex. : Nous n'avons pas encore mangé le gâteau [que tu as confectionné]. → que tu as confectionné est complément de l'antécédent gâteau.
« Quel que » introduit une proposition subordonnée dont le verbe est obligatoirement conjugué au mode subjonctif. Quel que soit ton âge, tu peux te présenter. Ici, « Quel que soit ton âge » est la proposition subordonnée au subjonctif et « tu peux te présenter » est la proposition principale.
Remarque : Dans la proposition subordonnée relative, le pronom « que » remplace un nom (= c'est un antécédent). Remarque : Dans la proposition subordonnée complétive, « que » n'est pas un pronom : il ne remplace rien, il se trouve juste après le verbe : C'est une conjonction de subordination.
La conjonction de subordination est placée en tête de la subordonnée mais cette subordonnée peut être située avant ou après la principale . Ex : Je prends ma voiture quand je suis en retard . Quand je suis en retard , je prends ma voiture .
- La proposition subordonnée dépend toujours d'une autre proposition dont elle complète le sens. - J'ai retrouvé les clés que tu avais égarées. - La proposition principale commande une proposition subordonnée qui complète le sens de cette principale. - Il va à la banque pour ouvrir un compte.
La proposition subordonnée complétive a le plus souvent une fonction de COD ou COI dans la phrase. Elle est introduite par - que -. Son verbe peut être, selon le sens, conjugué à l'indicatif (fait réel), au conditionnel (condition) ou ausubjonctif (après -il faut que-).
Elle est constituée d'autant de propositions qu'il y a de verbes conjugués. Ces propositions peuvent être reliées de différentes manières : la juxtaposition, la coordination et la subordination. La subordination est le moyen de relier deux propositions entre elles en établissant un lien de dépendance.
« Mais », « ou », « et », « donc », « or », « ni », « car » : voilà quelles sont, en langue française, les conjonctions de coordination.
La proposition subordonnée relative est complément de son antécédent : « dont je vous ai parlé » est complément de l'antécédent « maison ». La proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif : qui : La fenêtre qui donne sur la rue est ouverte. que : Le volet que tu as repeint est sec.
On dit que deux propositions indépendantes sont coordonnées quand elles sont reliées par un mot de liaison : Mais, ou, et, donc, or, ni, car sont des conjonctions de coordination.