On la définit comme le mécanisme qui fait que les individus d'une espèce présentant les caractères les plus avantageux pour survivre dans un environnement, seront ceux qui vont plus facilement se reproduire.
Unités 1 & 2 Une force évolutive : la sélection naturelle
Ces individus ont alors une plus grande capacité de survie et ont donc davantage de descendants. Sous l'influence de cette sélection naturelle, qui maintient les formes les plus aptes à se reproduire, les populations se modifient au cours du temps.
La spéciation résulte de la dérive génétique et de la sélection naturelle, qui sont les deux moteurs de l'évolution. Une espèce n'apparaît pas instantanément par une mutation conduisant à l'apparition d'un individu d'un type nouveau.
De manière générale, l'ensemble des mécanismes décrits comme étant des forces évolutives (sélection naturelle, mutation, recombinaison, dérive, migration…) contribue à faire varier les fréquences alléliques des gènes. Pour la plupart de ces forces, un mécanisme moléculaire est mis en jeu.
Dans ce cas, la fréquence des allèles évolue au cours du temps. Quelles sont les forces évolutives qui expliquent les modifications des fréquences alléliques au cours du temps et comment agissent-elles ? 1La dérive génétique.
L'évolution, un processus par lequel les espèces se transforment. Ce sont les mécanismes par lesquels les populations varient, les espèces se transforment, naissent, s'adaptent.
La biodiversité, c'est le tissu vivant de notre planète. Cela recouvre l'ensemble des milieux naturels et des formes de vie (plantes, animaux, champignons, bactéries, etc.) et leurs interactions.
Un mécanisme évolutif : la sélection naturelle
Ainsi les mutations, la dérive génétique et la sélection naturelle, en modifiant les populations, sont les mécanismes responsables de l'évolution de la biodiversité. Ces mécanismes peuvent entraîner la formation d'une nouvelle espèce, différente de l'espèce initiale.
La biodiversité a changé depuis l'apparition des premières formes de vie sur Terre. Elle évolue et continue de changer actuellement. On observe une modification de la répartition des espèces ainsi que des modifications génétiques au cours du temps. La biodiversité passée s'étudie grâce aux fossiles.
SPÉCIATION, subst. fém. BIOL. ,,Formation, au cours de l'évolution biologique, d'espèces distinctes, génétiquement isolées les unes par rapport aux autres`` (L'Hér.
Les Innovations évolutives évoquées lors du chapitre précédent, sont liées à : - La création de nouveaux allèles par mutations ponctuelles, - La création de nouveaux gènes par duplication d'un gène ancestral/transposition de la copie du gène ancestral par mutations ponctuelles.
L'évolution des espèces se traduit par des changements de leur phénotype (par exemple leur morphologie, leur physiologie, leur comportement…) dus à des changements génétiques. Ces changements peuvent mener à la disparition d'espèces ou à la formation de nouvelles espèces.
La spéciation résulte de la dérive génétique et de la sélection naturelle, qui sont les deux moteurs de l'évolution. Une espèce n'apparaît pas instantanément par une mutation conduisant à l'apparition d'un individu d'un type nouveau.
Ces cinq causes sont désormais bien identifiées : le changement d'usage des terres et de la mer, l'exploitation directe de certains organismes, le changement climatique, la pollution, et les espèces exotiques envahissantes.
Dérive génétique : processus par lequel les fréquences alléliques changent dans les populations à cause de biais aléatoires d'échantillonnage dans la transmission des allèles d'une génération à l'autre.
Au sein d'une espèce, tous les individus possèdent les mêmes gènes mais leur combinaison d'allèles est unique. Ceci est à l'origine de la diversité génétique. Dans une population donnée, les allèles présents vont être transmis au hasard de génération en génération.
Explosion évolutive : Augmentation rapide du nombre d'espèce dans un groupe, correspondant à une accélération de l'évolution. L'extinction d'espèces se fait constamment et progressivement au cours de l'histoire de la vie (impossibilité de s'adapter aux modifications de l'environnement).
La définition la plus simple d'un écosystème est la suivante : il s'agit d'un ensemble d'être vivants qui vivent au sein d'un milieu ou d'un environnement spécifique et interagissent entre eux au sein de ce milieu et avec ce milieu.
Les causes de l'impact de l'humanité sur la biodiversité sont multiples : La déforestation des forêts tropicale et amazonienne, très riches en espèces végétales et animales dont on détruit le milieu de vie. Les polluants chimiques émis, souvent toxiques pour les êtres vivants.
Un gène, du grec ancien γένος / génos (« génération, naissance, origine »), est, en biologie, une séquence discrète et héritable de nucléotides dont l'expression affecte les caractères d'un organisme. L'ensemble des gènes et du matériel non codant d'un organisme constitue son génome.
Pour ce qui est des définitions, la diversité allélique correspond aux différentes versions d'un gène, donc à la diversité d'allèles pour un locus donné, alors que la diversité de l'ensemble des allèles de tous les gènes d'un génome est appelée diversité génotypique.
Les nouveaux allèles peuvent apparaître de manière spontanée suite à des erreurs de l'ADN polymérase qui génèrent des mutations.
L'Homme préserve la biodiversité en réhabilitant des milieux de vie (création de récifs artificiels), en créant des parcs nationaux et régionaux, en réintroduisant certaines espèces mais également par le biais d'organisation tel que Greenpeace par exemple, mais aussi par des traités (exemple:le sommet de Nagoya).
La biodiversité est essentielle pour le développement naturel de tous les écosystèmes de notre planète. Une grande biodiversité augmente la stabilité et l'adaptabilité de la biosphère face aux modifications des conditions environnementales.