Les masses ovariennes peuvent être des kystes ovariens folliculaires ou, rarement, des tumeurs bénignes ou malignes. Chez la femme en âge de procréer, la cause la plus fréquente d'augmentation du volume utérin est la grossesse. Une autre masse utérine fréquente est une fibrome utérin.
L'échographie pelvienne avec doppler est l'examen de première intention devant la découverte d'une masse annexielle. L'IRM doit être réalisée en cas de masse annexielle douteuse ou ambiguë en échographie. Le scanner est l'examen clé pour le bilan d'extension des cancers de l'ovaire pour déterminer l'opérabilité.
Il s'agit d'un cancer viro-induit qui présente la particularité d'être précédé par des lésions du col (condylomes, dysplasies) qui sont accessibles au dépistage par frottis et que l'on peut traiter assez facilement (laser, conisation…)
Les fibromes utérins sont des tumeurs bénignes courantes de l'utérus. Il s'agit de masses qui apparaissent dans le tissu conjonctif de l'utérus. Ces masses ne se propagent pas à d'autres parties du corps (elles ne font pas de métastases) et ne mettent habituellement pas la vie en danger.
L'IRM pelvienne est un examen gynécologique, sans rayons X qui explore toute l'anatomie pelvienne : ovaires, utérus, vessie, rectum.
Où se situent les douleurs pelviennes ? Les douleurs pelviennes correspondent aux douleurs ressenties dans la région du pelvis, c'est-à-dire au niveau du bas du ventre et du haut des parties génitales. Elles peuvent être légères à très intenses. Elles sont chroniques chez 11 à 20% des femmes.
La douleur pelvienne peut être un symptôme gynécologique. En d'autres termes, elle peut être due à un problème affectant l'appareil génital féminin. Elles peuvent aussi être provoquées par des problèmes au niveau des appareils urinaire, digestif ou musculosquelettique.
Les signes et symptômes du cancer du col de l'utérus comprennent ceux-ci : saignements vaginaux anormaux, entre autres entre les menstruations, après la ménopause et à la suite de relations sexuelles. pertes vaginales anormales ou plus abondantes. pertes vaginales malodorantes.
Le frottis du col de l'utérus permet de prélever superficiellement des cellules pour les analyser au microscope et/ou de réaliser un test HPV-HR. Cet examen dépiste un éventuel cancer du col de l'utérus.
Le cancer du col de l'utérus est principalement dû à une infection persistante, d'une durée de 10 à 15 ans, par des virus appelés papillomavirus humains (virus du papillome humain ou HPV, abréviation de humanpapillomavirus) à haut risque et transmis par voie sexuelle.
Certains cancers sont dits silencieux. Ils ne présentent aucun symptôme jusqu'à un stade avancé de la maladie. Le diagnostic est donc tardif, ce qui a un impact sur les chances de guérison. C'est le cas du cancer de l'ovaire et du cancer colorectal.
Parfois on parle de kyste qui signifie que cela occupe de la place. L'adénome désigne un type particulier de tumeurs. Il existe des tumeurs avec des kystes, d'autres sans kyste. En revanche il est rare d'avoir des kystes sans tumeur.
L'IRM et l'échographie peuvent apporter des informations diagnostiques utiles pour la caractérisation des masses dont la nature, kystique ou solide, reste indéterminée sur les données du scanner. Seule l'IRM peut, dans la majorité des cas, se substituer au scanner pour la caractérisation d'une masse solide.
L'ascite se manifeste le plus souvent en présence d'un cancer de l'ovaire, de l'utérus, du col de l'utérus, colorectal, de l'estomac, du pancréas, du sein ou du foie. Un cancer qui se propage au foie peut aussi causer l'ascite.
Les symptômes caractéristiques du cancer de l'ovaire
Les troubles gynécologiques : perturbation des règles, saignements ou pertes vaginales anormales, tensions dans les seins... ; Les perturbations locales liées à la masse tumorale : les douleurs pelviennes, abdominales, les lombalgies, les envies urgentes d'uriner...
des règles plus abondantes ou plus longues qu'à l'accoutumée ; des pertes vaginales nauséabondes ; des douleurs du vagin (en particulier pendant les rapports sexuels), du bassin ou du bas du dos.
Le cancer du col de l'utérus peut apparaître à tout âge, à partir de 25-30 ans avec un pic d'incidence entre 20 et 40 ans, l'âge médian de découverte est de 53 ans.
Un frottis présentant des lésions de bas grade : ce sont des anomalies légères et peut-être provisoires. Le gynécologue choisira de réaliser une colposcopie ou d'attendre 6 mois avant de faire un nouveau frottis, qui pourra être normal ou anormal.
Des problèmes intestinaux : le fibrome qui comprime le rectum peut causer de la constipation. Des douleurs lors des rapports sexuels. Des douleurs dans le bas du ventre et du dos. Un gonflement au niveau du bas-ventre.
Ils n'apparaissent que lorsque la tumeur a commencé à se développer et peuvent faire penser à d'autres pathologies telles que la fatigue, des pertes vaginales, des douleurs lors des rapports sexuels ou encore une perte d'appétit.
Le diagnostic du cancer du col de l'utérus
La confirmation du diagnostic d'un cancer du col de l'utérus repose sur l'analyse de fragments de tissu (biopsies) prélevés au niveau du col de l'utérus lors d'une colposcopie ou par conisation.
La plupart du temps, on va ressentir des tensions musculaires au niveau de la mâchoire et des épaules. Mais, il est possible de ressentir ces tensions jusqu'au plancher pelvien! Ainsi, une maman anxieuse a tendance à rarement relâcher son plancher pelvien, ce qui peut causer des douleurs dans la région pelvienne.
Pourquoi passer une échographe pelvienne ? L'échographie pelvienne est prescrite dans de nombreuses situations, lorsque le gynécologue ou l'urologue suspectent un problème au niveau des organes génitaux ou de la vessie. Elle peut aussi permettre de suivre l'évolution d'une maladie déjà diagnostiquée.
Généralement, cela arrive lorsqu'il y a un kyste ovarien qui se rompt ou lors qu'il se tord : les douleurs s'accompagnent de nausées, de vomissements et parfois, de troubles digestifs. Une intervention chirurgicale est alors bien souvent nécessaire.