Une perte de poids involontaire, brutale ou continue peut être le signe d'une pathologie sérieuse. Maigrir à la suite d'un Covid ou d'une grippe n'est pas un problème. En revanche, une perte de poids non voulue, brutale ou continue est moins normale. Il faut en parler : elle peut être le signe d'une pathologie sérieuse ...
Le corps médical considère qu'un amaigrissement est pathologique quand on perd 5% de son poids en moins de 6 mois ou 10% de son poids en moins d'un an, soit 5,5 kilos pour une femme de 55 kilos par exemple.
C'est le cas notamment du cancer, de l'hyperthyroïdie et de certaines infections. Une perte de poids peut aussi s'expliquer par une malabsorption des nutriments qu'engendrent notamment la colite ulcéreuse, la maladie de Crohn et la maladie coeliaque.
Signes avant-coureurs
Chez les personnes présentant une perte de poids involontaire, certains symptômes et caractéristiques sont préoccupants. À savoir : Fièvre et sueurs nocturnes. Douleur osseuse.
Il existe de nombreux acteurs impliqués dans une résistance à la perte de poids. Ils peuvent dans de rares cas être indépendants mais bien souvent, ils sont présents en association les uns avec les autres. La carence en fer est très fréquemment le principal frein à la perte de poids.
consommer des aliments à densité énergétique élevée : fruits séchés, banane, avocat, maïs, fromage, yaourt etc. augmenter l'apport en calories. ajouter des collations en plus des repas. faire de l'activité physique d'intensité modérée.
Un rythme raisonnable de perte de poids est de l'ordre de 500 g par semaine, soit 2 kilos par mois. Si c'est un peu plus rapide au début, et que cela s'atténue ensuite, c'est bien.
Pour beaucoup de personnes, le stress peut faire grossir. Mais on ne pense que très rarement au fait que chez d'autres, le stress peut faire maigrir. D'ailleurs, pour la même personne, parfois vous pouvez gagner du poids, parfois en perdre, cela dépend de la situation…
L'état de santé général a ainsi des répercussions fréquentes sur le poids. Le manque d'activité physique est une autre raison possible de l'amaigrissement des personnes âgées. La sédentarité atténue la sensation de faim et l'envie de se nourrir correctement.
Il n'est pas rare que la dépression entraîne une diminution de l'appétit et, par le fait même, une perte de poids. Effectivement, la dépression s'accompagne d'une perte de plaisir généralisée qui peut s'étendre jusqu'à l'alimentation des individus.
Perdre 5 kilos en un mois peut sembler attrayant, mais c'est rarement réaliste ou sain. En règle générale, les experts recommandent de viser une perte de poids d'environ 0,5 à 1 kilo par semaine. Cela équivaut à environ 2 à 4 kilos par mois, ce qui est considéré comme une perte de poids saine et durable.
Le stress, notamment dans le cadre d'une dépression, peut entraîner une perte de poids importante en raison de deux facteurs majeurs : un appétit diminué ou altéré et un métabolisme accéléré.
troubles psychologiques : irritabilité, impulsivité, dépendance affective, difficulté à se concentrer, baisse des performances intellectuelles, incapacité à faire des projets, désintéressement du quotidien, vision négative de l'avenir, peur irrationnelle et sans fondement...
symptômes physiques : douleurs (coliques, maux de tête, douleurs musculaires, articulaires, etc.), troubles du sommeil, de l'appétit et de la digestion, sensations d'essoufflement ou d'oppression, sueurs inhabituelles...
Quel est le bon moment pour se peser ? La règle de base : se peser nu le matin à jeun, avant le petit-déjeuner, avant toute prise de nourriture ou boisson. Pensez à passer par la case toilette avant de monter sur la balance.
Poids idéal (en Kg) d'un individu possédant une morphologie "normale" = (Taille (en cm) - 100 + Age (en années) / 10 ) * 0,9.
On estime même que le poids « idéal » à cet âge est plutôt de 27-29 kg/ m2 qu'inférieur à 25 kg/m2. Il faut nuancer tout cela et faire intervenir d'autres paramètres.
Un amaigrissement peut avoir une multitude de causes, mais 50 % des cas d'amaigrissement impliquent des causes psychiques et rendent nécessaire un bilan médical. La dépression, notamment, entraîne souvent une perte d'appétit persistante. Viennent ensuite les causes organiques, comme les maladies digestives.
Les plus courantes sont : L'Indice de Masse Corporelle (IMC) qui se calcule en divisant le poids en kilogrammes par la taille en mètres au carré. Pour une femme de 1m55, le poids idéal se situe entre 45 et 62 kg.
Une perte de poids supérieure ou égale à 5 % en 1 mois, à 10 % en 6 mois ou à 10 % par rapport au poids habituel avant le début de la maladie ; Un IMC (indice de masse corporelle) inférieur à 18,5 kg/m2 ; La réduction quantifiée de la masse musculaire et/ou de la fonction musculaire.
Il assiste également à la réintroduction des calories de manière progressive. En effet, pour enclencher la perte de poids, le régime Comme J'aime est hypocalorique: à sa sortie, il s'agit de réinsérer 100 calories tous les 15 jours, pour un retour à un apport calorique normal sans reprise de poids.
Des facteurs psychologiques
Les personnes souffrant de dépression se désintéressent souvent de la nourriture, et notre appétit a tendance à diminuer lorsque nous nous sentons anxieux, stressés, ou à la suite d'événements traumatisants, comme une rupture amoureuse ou le décès d'un être cher.
Perdre 5 kg en un mois paraît énorme. Pourtant, "la cadence de perte de poids la meilleure, et la plus naturelle, c'est 3 à 5 kg en un mois", explique d'emblée le Dr Jean-Michel Cohen, médecin nutritionniste.