La conclusion constitue un paragraphe, séparé de la fin du développement par un blanc. Elle marque l'aboutissement du développement et doit apporter une réponse au sujet posé ou bien faire un bilan de l'analyse du texte.
Les parties de la conclusion s'enchaînent assez facilement et assurent une progression logique. Certains mots servent à bien marquer cet enchaînement et à indiquer qu'il s'agit bien d'une conclusion : Au bout du compte, mais, c'est, enfin, telle est…
Une conclusion comprend généralement : un retour sur la problématique énoncée en introduction ; une analyse des résultats mentionnés dans le développement et une réponse à la problématique en fonction de ceux-ci ; une perspective d'ouverture sur le sujet.
Une bonne conclusion se doit de récapituler ce qui a été dit et surtout dégagé durant tout le développement. Il faut y donner des réponses claires et synthétiques au problème posé : elle doit ainsi absolument répondre à la problématique posée dans l'introduction.
Il est essentiel que le lecteur soit en mesure d'établir le lien entre la problématique et les résultats obtenus. La conclusion est à la fois un résumé des grandes lignes et des phases essentielles de la recherche et un bilan des principaux points traités (une synthèse des résultats obtenus).
L'introduction se divise en trois parties : sujet AMENÉ, sujet POSÉ, sujet DIVISÉ. Les premières lignes de l'introduction doivent présenter, dans un contexte général, la nature du sujet qui sera traité. Le lecteur est ainsi fixé, dès le départ, en voyant que tu as choisi d'aborder tel thème.
L'ouverture, la partie finale de la conclusion, doit laisser le lecteur sur une réflexion, une projection dans le futur, une information nouvelle (nouvel aspect ou nouveau sous-aspect), une citation célèbre, etc. Plusieurs possibilités s'offrent au scripteur à ce stade de l'écriture.
La conclusion d'une dissertation peut commencer par « En conclusion, » ou « Pour conclure, » ou encore « Ainsi, ». Elle reprend les idées que vous avez développées dans votre dissertation, selon le plan que vous aviez annoncé et que vous avez effectivement respecté dans vos parties.
Il s'agit de la touche finale de votre rapport et la conclusion doit répondre en miroir aux différentes thématiques abordées dans votre introduction, et notamment à la problématique. Son objectif principal est donc d'expliquer en quoi votre stage a-t-il confirmé (ou non !)
Ensemble des questions, des problèmes concernant un domaine de connaissances ou qui sont posés par une situation.
Rédiger la problématique
Pour faire émerger le problème, on part d'un constat, que l'on explique et auquel il faut donner un contexte. On pose la problématique (deux questions maximum). On propose d'y répondre en deux ou trois parties, qui correspondent aux principaux arguments ou hypothèses choisis.
a) Chaque paragraphe doit s'occuper d'énoncer et de développer une idée, avec ses arguments et ses exemples pour éclairer le sujet. b) Les phrases doivent être simples, avec une structure sujet + verbe + compléments. c) Les phrases sont reliées par les connecteurs logiques, qui structurent la pensée.
Développement marquant la fin d'un discours, d'un texte et en dégageant éventuellement la synthèse ou la morale. 3. Conséquence déduite d'un raisonnement, d'une observation : Tirer les conclusions d'un échec.
La conclusion entraîne l'approbation ou la critique, déclenche ou infléchit une décision, circonscrit tout le travail préalable de démonstration ou de persuasion. La conclusion laisse au lecteur ou à l'auditeur une vue claire de la problématique et une dernière impression favorable.
D'abord en récapitulant ce qu'on a développé dans les grandes parties. Ensuite il s'agit de faire une ouverture. On peut faire une ouverture grâce à un rapprochement avec un autre texte ou en donnant un avis personnel plutôt positif sur le texte.
La problématique se présente généralement sous la forme d'une question qui peut commencer par « dans quelle mesure », « en quoi », « comment ». Souvent, on n'arrive à la formuler qu'après avoir fait le plan : c'est normal, pas de panique ! Le nom n'est pas un hasard : une bonne problématique doit poser un problème.
Prendre en compte les données du sujet et vos connaissances. 2. Rédiger une phrase à la forme affirmative 3. Formuler l'aspect provisoire de cette phrase en utilisant un verbe conjugué au présent ou au conditionnel « je suppose que / il se pourrait que … » ou en utilisant l'adverbe « peut-être ».
L'annonce de plan se situe à la toute fin de l'introduction, juste après l'exposé de la problématique. Son objectif est de présenter au lecteur la structure de la copie : on va rapidement expliquer quelles sont les grandes parties et comment elles s'articulent.
Voici quelques exemples : « Pour répondre à cette question, nous étudierons d'abord ….. , puis ……………….. . » « Ce problème sera analysé sous deux angles, d'abord………. , puis, ………………… » « Répondre à cette question, c'est d'abord s'interroger sur …… , puis sur ………., (enfin sur …………..) »