Les structures hypothétiques sont les phrases commençant avec si. Certaines se forment avec les temps du conditionnel. On les emploie dans des cas particuliers.
1. Qui est fondé sur une hypothèse, qui est du domaine de l'hypothèse : Raisonnement hypothétique. 2. Qui n'est pas certain, qui ne se produira peut-être pas ; douteux, problématique : Succès hypothétique.
conditionnel
1. Mode du verbe qui sert à présenter l'action comme une éventualité ou comme la conséquence d'un fait supposé, d'une condition. (Le français possède un conditionnel présent [j'aimerais] et un conditionnel passé [j'aurais aimé] dont il existe une variante littéraire [j'eusse aimé].)
Le conditionnel présent est formé sur la base du futur simple mais avec les terminaisons de l'imparfait. Par exemple, le verbe aller au futur : J'ir-ai. Le verbe aller au conditionnel : J'ir-ais.
❯ La condition peut être exprimée par une proposition subordonnée circonstancielle. Introduite par si, à partir du moment où, elle est à l'indicatif. Introduite par à condition que, en supposant que, à moins que, pourvu que, elle est au subjonctif.
La condition exprime très souvent un fait ou un état qui est indispensable pour l'accomplissement d'un deuxième, créant dans une certaine conséquence. De l'autre côté, l'hypothèse réside sur l'expression d'un fait ou d'un état imaginé, où on imaginerait ce qui passerait si l'événement avait eu lieu.
LE CONDITIONNEL / Mode et temps. Le conditionnel comprend trois temps : le présent (temps simple), le passé (temps composé) première forme et le passé deuxième forme. Il est le mode de l'irréel, de l'hypothétique.
Le futur simple exprime une action à venir. Demain, j'irai au zoo. Elle verra ses grands-parents pendant les vacances. Le conditionnel présent exprime une hypothèse, un souhait ou une condition.
On utilise la structure "Si + verbe à imparfait, verbe au conditionnel présent" pour exprimer une hypothèse. Exemple : Si j'avais une baguette magique, je changerais beaucoup de choses. Le conditionnel présent est formé sur la base du futur simple mais avec les terminaisons de l'imparfait.
Le gérondif est la forme adverbiale du verbe, qui indique les circonstances de l'action exprimée par le verbe de la phrase auquel il se rapporte. C'est un mode impersonnel, car il n'a pas de désignation spéciale de la personne grammaticale, mais il a pour sujet le même que celui du verbe principal.
Le subjonctif est utilisé quand l'action est supposée, douteuse, désirée ou dépend d'un sentiment, d'un ordre aussi. Remarquons la conjonction que qui introduit le subjonctif dans les 3 phrases. Le conditionnel est utilisé quand l'action est soumise à une condition, à une hypothèse.
Le subjonctif est le mode du virtuel. Il permet d'exprimer une hypothèse, un fait incertain, un souhait, une action envisagée, une envie, une émotion ou toute forme d'incertitude. Ex : J'aimerais que tu viennes (souhait).
Les situations hypothétiques impliquent des « si, des supputations, des postulats ou des suppositions ». Ces questions mettent ainsi l'interviewé dans une situation de réflexion personnelle. Les réponses demandent parfois une concertation avec une équipe.
Une phrase commence toujours par une majuscule et finit toujours par un point (que ce soit un point simple, un point d'exclamation ou un point d'interrogation). La phrase est composée d'un ensemble de mots placés dans un ordre logique afin d'avoir un sens et permettant d'exprimer une action ou un état.
L'indicatif après si représente l'hypothèse passée qu'il n'est plus possible de réaliser dans le présent. Attention, on peut se dispenser d'employer la conjonction si, on la sous-entend dans ce cas grâce à l'emploi du conditionnel. Exemples : J'aurais su, je ne serais pas venu.
Le subjonctif s'emploie quand la réalisation de l'action exprimée par le verbe est mise en doute, est incertaine ou rejetée. L'indicatif exprime la réalité, la certitude. - Moi, que j'aille travailler ! Il est exclu que je le fasse.
Retenons d'abord que les deux sont corrects mais qu'ils ne signifient pas la même chose. Voyons la conjugaison complète : au futur simple : j'aurai, tu auras, il aura, nous aurons, vous aurez, ils auront. au conditionnel présent : j'aurais, tu aurais, il aurait, nous aurions, vous auriez, ils auraient.
Le subjonctif est utilisé dans la subordonnée quand le verbe de la principale est subjectif et exprime généralement un sentiment : le souhait, le désir, la peur, le regret, la volonté, la crainte, l'incertitude, le doute, Exemples: Je désire que tu viennes.
L'imparfait du subjonctif se forme à partir de la troisième personne du singulier du passé simple. On ajoute ensuite les terminaisons qui sont toujours les mêmes aux trois groupes : -sse, -sses, -^t (attention de ne pas oublier l'accent circonflexe), -ssions, -ssiez, -ssent.
Par opposition, on retrouve donc les verbes personnels qui, eux, ont un sujet qui exprime bien une personne ou une chose. Il est là ==> Jacques est là. Un verbe impersonnel est un verbe qui n'existe qu'à la troisième personne du singulier. Le pronom sujet "il" ne représente rien.
Proposition visant à fournir une explication vraisemblable d'un ensemble de faits, et qui doit être soumise au contrôle de l'expérience ou vérifiée dans ses conséquences.
Le présent du conditionnel s'utilise pour exprimer une hypothèse, une supposition, une éventualité... On le retrouve souvent associé avec un verbe à l'imparfait de l'indicatif.
L'expression dans l'éventualité où, comme les locutions qui expriment une éventualité, notamment au cas où, dans le cas où, dans l'hypothèse où, est le plus souvent accompagnée du conditionnel : Dans l'éventualité où une complication surgirait, appelez-moi.