La proposition infinitive se compose d'un infinitif ayant un sens propre.La proposition infinitive peut avoir un sujet et des compléments. Examinons le sujet d'une proposition infinitive : Le sujet peut être : Il écoute chanter les enfants.
« regarder » est un verbe de perception. « choisir une robe de cette couleur » est la proposition infinitive, qui joue le rôle de COD du verbe voir. Le pronom « la » est le sujet du verbe « choisir ». La proposition participiale est une subordonnée qui n'est introduite par aucun mot subordonnant.
La proposition infinitive sert de complément d'objet aux verbes perceptifs comme « voir, entendre, écouter, sentir, regarder, etc. ». Voici venir les beaux jours. Les verbes « laisser - envoyer » et les présentatifs « voici - voilà » peuvent avoir une proposition infinitive comme complément d'objet.
La proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif (qui, que, quoi, dont, où, lequel, etc.).
La proposition subordonnée complétive a le plus souvent une fonction de COD ou COI dans la phrase. Elle est introduite par - que -. Son verbe peut être, selon le sens, conjugué à l'indicatif (fait réel), au conditionnel (condition) ou ausubjonctif (après -il faut que-).
Il existe trois sortes de propositions subordonnées : – les propositions subordonnées complétives ; – les propositions subordonnées circonstancielles ; – les propositions subordonnées relatives.
La complétive infinitive est toujours en position de complément d'objet direct. Son verbe, par définition, est un infinitif. Dans les constructions du type "Pierre réussir à son examen, cela m'étonnerait", on admettra que l'infinitive est en apposition au sujet "cela".
Le groupe infinitif est un groupe formé autour d'un verbe à l'infinitif. Celui-ci peut être seul ou accompagné d'expansions. Exemples : Jouer sur la pelouse est interdit.
La proposition subordonnée conjonctive est introduite par une conjonction de subordination (que, lorsque, puisque, quoique, comme, si, quand) ou par une locution conjonctive (parce que, bien que…). Ils donneront une réponse quand ils auront étudié la question.
Proposition subordonnée complétive conjonctive. Une proposition subordonnée complétive conjonctive est un type de proposition subordonnée introduite : soit par la conjonction de subordination « que » soit par les locutions conjonctives, « ce que », « à ce que, de ce que », quelquefois « en ce que » ou « sur ce que ».
Quand utiliser l'infinitif ? L'infinitif présent doit être utilisé après un verbe conjugué ou après les prépositions à, de, sans et pour. Il peut également être utilisé en début de phrase. L'infinitif passé possède les mêmes usages, mais exprime une action ou situation antérieure.
Classique interrogation pour retenir la liste des conjonctions de coordination : Mais, ou (sans l'accent), et, donc, or, ni, car. Mais connaissez-vous Adam ? Adam part pour Anvers avec cent sous, entre derrière chez Decontre.
AVOIR se met souvent avec la préposition À devant un infinitif et alors il sert à marquer la Nécessité, l'obligation, la disposition la volonté où l'on est de faire ce que l'infinitif du verbe signifie. J'ai à faire une visite. Je n'ai rien à faire.
Il ne faut pas confondre la proposition subordonnée complétive introduite par la conjonction que et la proposition subordonnée relative introduite par le pronom relatif que. La proposition complétive conjonctive se rapporte à un verbe tandis que la proposition relative complète un nom.
La proposition subordonnée interrogative est introduite par un mot interrogatif (pronom, déterminant ou adverbe) : elle peut être transformée en question. Ex. : Les gens du village se demandent [si le mauvais temps durera longtemps].
subordonné, subordonnée
Personne qui est placée sous les ordres d'une autre, qui... subordonner v.t. Mettre quelqu'un dans une situation de dépendance hiérarchique par rapport... Dépendre de quelque chose.
- La proposition subordonnée dépend toujours d'une autre proposition dont elle complète le sens. - J'ai retrouvé les clés que tu avais égarées. - La proposition principale commande une proposition subordonnée qui complète le sens de cette principale. - Il va à la banque pour ouvrir un compte.
Une proposition subordonnée relative complète généralement un nom ou un pronom ; une proposition subordonnée complétive complète généralement un verbe.
La proposition subordonnée participiale est une proposition qui n'est introduite par aucun mot subordonnant. Elle est séparée du verbe de la proposition principale par un signe de ponctuation (virgule, tirets ou parenthèses). Par ailleurs, elle est mobile dans la phrase.
Il existe deux catégories de subordonnées relatives : la proposition subordonnée relative adjective (a un antécédent) ; la proposition subordonnée relative substantive (n'a pas d'antécédent).
comme, parce que, sous prétexte que, en raison de, etc. ainsi que, autant que, bien plus que, comme, de même que, davantage que, etc. bien que, même si, quand bien même, quoique, etc. à condition que, à moins que, dans la mesure où, pourvu que, pour autant que, si, etc.