Rapta (être) : verbe intransitif qui signifie être ivre. Étymologie : la "rapta" est une expression pour dire la "fête". Par extension, "être rapta" est utilisé pour dire "être bourré, défoncé…".
(Rare) Fête.
Fête, soirée qui se caractérise par l'importance de l'alcool qui y est consommé ; soirée de débauche, d'ivresse. Exemple : Ce soir c'est la grosse khapta chez Marco. Khapta signifie, par extension, un état d'ivresse, de cuite.
Miskine, miskina au féminin, est une interjection qui s'insère dans une phrase ou vient la ponctuer en bout de ligne. C'est une exclamation de pitié empreinte de compassion qui semble dire « Oh ! le pauvre ! ». Tantôt elle sera teintée d'humour, tantôt elle sera accusatrice, un peu comme on dirait « pauvre type ! ».
Comme «kichta», autrement dit une liasse de billets.
Nom commun
(Argot) Frère ; ami.
"Au cas où" sert à exprimer une éventualité. Cette locution soulève une hypothèse. Elle peut être employée seule ou introduire une proposition au conditionnel ou au subjonctif. Exemple : Prends ton sac, au cas où.
Interjection. (Familier) Exclamation typique du sociolecte des banlieues versant beur qui est une prononciation dérivée du mot arabe « zerma », souvent utilisée pour marquer l'ironie ou le cynisme, voire le ridicule.
Sa prononciation la plus courante en français est [ bae ] (« ba-é »), en deux syllabes. On trouve aussi [ be ] (« bé ») et [ bɛj ] (« beil »). Cette dernière prononciation est la plus proche de la prononciation d'origine de ce mot en anglais. Plus rarement, quelques personnes prononcent bae en épelant chaque lettre.
Qui excite la pitié : Être dans un état pitoyable. 2. Qui est mauvais, sans valeur, sans mérite aucun ; minable : Écrire d'une manière pitoyable.
Locution verbale
(Argot) Être dans l'excès et la débauche.
ou adv.] Pronom, adverbe relatif désignant le lieu au propre ou au figuré et secondairement le temps. 1. a) [L'antécédent désigne un lieu, au propre ou au fig.]
Il est parfois vidé de son sens pour devenir une interjection assez générique. oklm: «Au calme.» Cette abréviation a été récemment popularisée par le single du même nom du rappeur Booba.
Le mot bae est surtout employé par des adolescentes. Quand une jeune fille parle de sa bae, il s'agit généralement de sa meilleure amie. Le mot bae peut aussi désigner une personne avec qui on a une relation amoureuse, un petit ami ou une petite amie.
Étymologie. (1831) De l'italien diva (« diva », proprement « déesse »), du latin diva (« déesse »), féminin de divus, lui-même de deivos (« lumineux »), de l'indo-européen commun * deiu̯os (« les êtres célestes, la lumière céleste »), de * dei- (« briller »).
Le mot bsahtek , qui s'écrit aussi bsartek et sartek , signifie « bravo, félicitations, bien joué ». On l'emploie pour féliciter quelqu'un qui a réussi quelque chose. Il sert aussi à complimenter quelqu'un qui a fait une bonne action, avec le sens de « c'est bien, respect pour ce que tu as fait ».
Zarma est une interjection, une exclamation argotique et qui a pour signification "purée", "la vache". Il s'agit d'une expression très familière.
Le commanditaire paye un exécuteur pour effectuer sa commande. Synonymes : client, maître d'ouvrage (en architecture) ; mécénat, parrain, bailleur de fonds, soutien, sponsor (anglicisme).
Le sens actuel de l'expression date du début du XVIIIe siècle. Elle fait référence à la chasse au loup, qui est une pratique dangereuse, et donc qui nécessite une certaine expérience. Ainsi, quand la jeune fille a des relations sexuelles, cela a une connotation dangereuse.
- WTF. Très familier donc largement utilisé. Vient de l'anglais "What the fuck ?", qui pourrait se traduire approximativement par "c'est quoi ce bordel ?". Sur les réseaux sociaux, WTF précède souvent un lien vers une vidéo pour signifier son effarement.
L'écriture la plus courante est cheh, mais on trouve aussi chèh, sheh et shèh.
(Sigle) (Abréviation) de mort de rire.
Tout(e) est un déterminant quantitatif singulier. Tous (toutes) est également un déterminant quantitatif, mais pluriel. Ces déterminants en accompagnent généralement un autre afin de former un déterminant complexe comme tout le, toute sa, tous ces, toutes les, etc.