Accepter et admettre ses erreurs
Pas de manière passive ou fataliste, mais en reconnaissant la réalité telle qu'elle est. Il faut identifier tous les aspects de ses erreurs pour se donner les moyens de les comprendre, de changer ce qui peut l'être ou de s'adapter à leurs conséquences avec discernement et sagesse.
Évaluer nos propres comportements et croyances. Nous devons être honnêtes avec nous-mêmes et prendre le temps de réfléchir à nos comportements et croyances qui ont pu contribuer à nos échecs. Ce travail d'introspection va devenir votre meilleur allié pour reprendre confiance.
« Pour rassurer quelqu'un après un échec, il faut être dans l'empathie et se faire petit : prendre le chagrin de l'autre et ne pas tirer la couverture à soi, appuie-t-il. Dire à quelqu'un 'Je suis fier de toi' ou faire des compliments juste après un échec, la personne ne peut pas l'entendre. »
Comment accepter l'inacceptable ? Dîtes mentalement : « oui, j'accepte que cela se soit produit. Je ne suis pas d'accord avec cette situation, mais j'accepte que cela ait pu survenir … cette situation m'enrichit en m'informant sur ce que je ne veux plus vivre ».
"Jamais de ma faute" : l'origine de ce comportement
Quand ce n'est jamais notre faute, c'est que l'on ne possède pas la confiance en nous nécessaire pour supporter une responsabilité. "Cette attitude témoigne d'une fragilité narcissique, d'un manque de confiance.
L'irresponsabilité personnelle est liée à l'immaturité émotionnelle et au manque de compétences sociales. Ainsi, les personnes qui n'admettent pas leurs erreurs sont également celles qui présentent de graves carences.
En tirer les bons enseignements
En cas d'échec sentimental, ne mettez pas tous les torts sur l'autre, mais reconnaissez aussi vos manques et vos erreurs. Sur le terrain professionnel ou étudiant, cernez bien les raisons qui vous ont fait échouer. Et tenez-en compte pour ne pas recommencer.
« Quel est votre plus grand échec ? » : c'est la question qui nous fait peur lors d'un entretien d'embauche ! Pendant l'entretien d'embauche, le recruteur évalue notre compatibilité avec l'entreprise. Pour cela, il s'intéresse à nos qualités, nos défauts, nos réussites, notre motivation, mais aussi à nos échecs.
L'échec est l'état ou la condition qui fait que l'objectif désiré ou prévu n'est pas atteint, et peut être vu comme l'opposé de succès, mais cela peut aussi désigner un sentiment qui surgit lorsque l'on regrette quelque chose, au même titre que le regret.
Le pervers narcissique se montre violent. Il ne reconnaît jamais ses torts.
Montrer que vous savez réagir rapidement est votre meilleure chance de sortir par le haut d'une situation qui, sinon, pourrait s'enliser et devenir embarrassante. Si, par un mot malheureux, vous avez blessé quelqu'un publiquement, en réunion par exemple, demandez-lui pardon en tête à tête.
Les autodidactes se perçoivent souvent comme des trompeurs qui abusent leurs collègues, leurs amis et leurs supérieurs. Ces personnes vivent dans le doute et pensent qu'un jour elles seront démasquées et que quelqu'un fera la preuve de leur incapacité.
Le mal être se manifeste le plus souvent par du stress, de l'angoisse, de la peur face aux difficultés. Ces troubles sont accompagnés d'un sentiment permanent d'être en situation d'échec. Cela accentue le manque d'estime de soi, ou la perte de confiance en soi.
Les admettre c'est se rendre plus fort et s'alléger. Oser ressentir de la culpabilité vous permettra de vous familiariser avec et d'accueillir les émotions en lien. Il faut s'autoriser à les ressentir pour ne plus se juger, et être à l'écoute de soi.
Au final, le fait de refuser d'avoir tort peut traduire une volonté de garder le pouvoir. « Pour beaucoup d'entre nous, savoir reconnaître ou non ses torts parle finalement de notre manière d'accepter ou non de perdre un peu le pouvoir face à l'autre » détaille le psychologue.
Essayer de comprendre pourquoi et comment apparaissent les symptômes. C'est en l'aidant à ne plus se focaliser sur les conséquences, sur la souffrance elle-même, que le sophrologue permet au malade de procéder à cette introspection. Cet exercice est nécessaire, car il facilite le dialogue avec l'équipe médicale.
Malgré tous nos efforts, rétablir la confiance n'est pas toujours possible. Si toutes vos tentatives échouent, dit Mme Rodrigue, il est peut-être temps de passer à autre chose, même de manière provisoire. Il faut parfois des décennies pour rétablir la confiance et, avec le temps, certains finiront par se retrouver.
Si des activités comme l'art-thérapie, la méditation, la prise de parole en public ou encore le jardinage sont réputées pour y contribuer, la pratique d'un sport reste encore la meilleure solution.
L'égocentrique se croit supérieur aux autres. L'égocentrique ne supporte pas l'échec, c'est un gros compétiteur. Quand il échoue, il accuse les autres d'en être responsable. L'égocentrique ne s'entoure pas de personnes égocentriques car il veut être le seul à briller.
Il y a d'autres raisons qui poussent ces personnes à se victimiser. Parmi eux, les principales, on retrouve : Essayer d'influencer les pensées, les actions et les sentiments des gens. Il n'est pas rare que celui qui joue la victime soit une personne contrôlante.