Ne pas paniquer, ne pas tenter de raisonner la personne, ne pas la ridiculiser. Mais plutôt : dites-lui que vous la croyez mais que vous ne voyez pas ce qu'elle voit, ayez des propos rassurants, essayez de changer de conversation.
Les traitements des troubles du comportement
Certains médicaments peuvent être utiles. Dans tous les cas, un suivi psychologique voire psychiatrique se révèle nécessaire. D'autres techniques comme l'hypnose, les thérapies cognitivo-comportementales (TCC), la naturopathie, la méditation peuvent apporter un soulagement.
Agitation Comportement moteur ou verbal excessif et inapproprié. patient. Activités répétitives et stéréotypées, sans but apparent ou dans un but inapproprié : déambulations, gestes incessants, attitudes d'agrippement, etc. grossières, attitudes sexuelles incongrues, comportement impudique ou envahissant.
Facteurs sociaux et environnementaux
exposition à de la violence; séparation; parents sévères ou imprévisibles; supervision inconstante causée, par exemple, par les troubles mentaux du père ou de la mère ou par le fait de passer d'un foyer à l'autre, chacun ayant un style de supervision différent.
Les symptômes sont notamment les suivants : idées délirantes récurrentes, hallucinations, pensée désorganisée, comportement très désorganisé ou agitation extrême.
Le diagnostic des troubles du comportement
C'est un spécialiste de la santé mentale expérimenté – habituellement un psychiatre ou un psychologue – qui diagnostique les troubles du comportement après avoir procédé à une évaluation approfondie.
B. Comportements compensatoires inappropriés et récurrents visant à prévenir la prise de poids, tels que : vomissements provoqués, emploi abusif de laxatifs, diurétiques, lavements ou autres médicaments ; jeûne ; exercice physique excessif.
Comportementaux : humeur labile, agressivité, difficultés à trouver de l'intérêt dans ses activités, à exécuter des tâches quotidiennes, abus de certaines substances. Cognitifs : difficultés importantes à se concentrer, à raisonner normalement, troubles de la mémoire.
Souvent, l'enfant refuse d'écouter, se montre récalcitrant, vite irrité et se fâche rapidement. Le comportement est souvent hostile, ce qui peut conduire à des disputes avec les adultes.
La personne peut être simplement colérique et lunatique, mais aussi verser dans une attitude beaucoup plus toxique. Autoritaire, méprisante, elle peut même devenir insultante, agressive voire violente avec son entourage proche, qui a alors l'impression de vivre un véritable enfer au quotidien.
Une étude1 fait état d'épisodes d'agressivité, retrouvés chez 40% des personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer, et d'accès d'irritabilité chez 36% d'entre elles. Ce type d'attitude peut masquer une souffrance voire une dépression du patient.
Plusieurs facteurs pouvant avoir une influence sur son comportement sont pris en compte dans son évaluation: problème mental, antécédents médicaux, difficulté d'apprentissage, antécédents familiaux, etc. Avant de diagnostiquer un enfant, plusieurs rendez-vous ont lieu afin de discuter avec le jeune et sa famille.
Les personnes ayant un handicap mental sévère présentent très souvent des troubles du comportement qui se manifestent par des actes de violence envers les autres ou envers elles-mêmes, la destruction d'objets ou au contraire le repli sur elles-mêmes, l'exacerbation de stéréotypies…
Les troubles de la personnalité commencent généralement à se manifester à la fin de l'adolescence ou au début de l'âge adulte, mais ils peuvent apparaître plus tôt (au cours de l'enfance). Leur durée est très variable.
Il faut demander de l'aide: parler à des proches ou à un professionnel de la santé – comme un médecin ou un psychologue –, chercher des ressources en santé mentale, appeler un centre de crise. Des solutions existent.
Une personne alexithymique rencontre de nombreuses complications au quotidien liées au manque de discernement de ce qu'il ressent. Difficultés à s'exprimer, manque d'empathie, faible sensibilité… C'est un trouble qui peut rapidement mener à la dévalorisation de soi et à l'isolement.
Quelqu'un qui développe des troubles du comportement alimentaire (TCA) est avant tout quelqu'un qui traverse des difficultés psychologiques et qui est en souffrance. Il faut alors se rendre disponible, attentif et attentionné. Créer une relation de confiance partagée permet plus facilement les confidences…
Pour être qualifié de trouble du comportement, la personne qui en est sujette doit être en souffrance (parce qu'elle est stigmatisée, parce que son attitude lui fait peur, etc.). Ce comportement est répétitif, il dérange, et a des conséquences sur la personnalité de l'individu en question.
Le terme orthorexie est-il nouveau pour vous? L'Office québécois de la langue française le définit comme étant : « Un comportement névrotique caractérisé par l'obsession d'une alimentation saine. » En ajoutant que l'orthorexie nerveuse n'est pas reconnue comme une maladie dans le milieu médical.
la Thérapie cognitive et Comportementale (TCC) ou la Thérapie Interpersonnelle (TIP) sont à privilégier dans cette situation. si votre proche refuse de consulter, vous pouvez consulter un psychiatre afin de vous conseiller sur la façon de l'aider.
La difficulté comportementale va plutôt vers une gestion éducative et le trouble oriente plutôt vers une pathologie. Ils se caractérisent par un changement du mode de pensée, de l'humeur (affect) ou du comportement associé à une détresse psychique (il n'y a pas nécessairement de retard mental).
Les principaux comportements fondamentaux sont les comportements alimentaire, sexuel, maternel, social, d'agression, de défense ou fuite et d'inhibition de l'action lorsque la lutte ou la fuite est impossible.