Aidez-le à mieux vous comprendre et à participer • Utilisez un ton de voix doux, calme et rassurant. Parlez-lui lentement. Laissez-lui du temps pour répondre à votre question ou à votre demande (cela peut prendre jusqu'à 30 secondes). Choisissez des mots simples.
Utilisez un langage bienveillant
Évitez de poser des questions ouvertes et d'offrir trop d'options. Concentrez-vous sur une réponse à la fois. Évitez d'utiliser un langage enfantin ou condescendant. Évitez de lui dire qu'elle a tort ou que vous venez de lui dire quelque chose, car cela pourrait la troubler.
Pour les troubles cognitifs légers chez la personne âgée, le ginkgo biloba et l'hyderzine font partie des traitements les plus souvent préconisés. Afin de sécuriser la personne âgée au quotidien, un équipement de téléassistance à domicile est recommandé.
Dites tout haut ce que vous faites, ce qui met en jeu une autre mémoire, la mémoire auditive. Par exemple, dites à haute voix : "Je pose mes lunettes sur le réfrigérateur." Pour vous souvenir d'un nom, essayez de l'associer à d'autres mots de même consonance ou faites un jeu de mots avec le nom.
Être attentif aux signaux verbaux et non verbaux de désorganisation. Parler peu. Faire des phrases courtes et utiliser des mots faciles à comprendre. Être directif, donner des consignes claires et brèves.
Traitement du syndrome confusionnel. Corriger la cause (p. ex., traiter une infection, apporter des liquides et des électrolytes pour la déshydratation) et supprimer des facteurs aggravants (p. ex., arrêter les médicaments ou drogues) peut entraîner la résolution de la confusion mentale.
Un trouble ou déclin cognitif correspond à une altération d'une ou plusieurs fonctions cognitives, quel que soit le mécanisme en cause, son origine ou sa réversibilité. Un trouble cognitif peut avoir une origine neurologique, psychiatrique, médicamenteuse, etc.
Essayez plutôt de répondre calmement et de les encourager. Parfois, il suffit d'écouter et de rassurer la personne en lui montrant que vous vous souciez d'elle. Votre façon de formuler les choses peut aider une personne atteinte de démence à se sentir à l'aise.
Des techniques de récupération de la mémoire, telles que l'hypnose ou des entretiens facilités par l'administration de médicaments, sont utilisées afin de combler les trous de mémoire. La psychothérapie est nécessaire afin d'aider les personnes à gérer les expériences qui ont déclenché le trouble.
Dans certaines situations, il est possible de traiter et de guérir un trouble cognitif. Dans le cas d'une démence en revanche, on ne peut que ralentir le processus de dégénérescence. On constate toutefois qu'une déficience cognitive légère peut précéder l'apparition de la démence.
Lorsque les troubles sont graves et persistants, le médecin spécialiste (neurologue par exemple) peut adresser son patient à un Centre de Ressource Mémoire installé dans un Centre Hospitalier pour un bilan complet et approfondi.
Voici des médicaments qui peuvent aider avec les troubles cognitifs: stimulants pour améliorer la concentration et la mémoire. antidépresseurs, si les troubles cognitifs sont causés ou aggravés par la dépression. médicaments pour atténuer la somnolence si vous prenez des opioïdes contre la douleur, comme la morphine.
Dire non aux tâches multiples. C'est l'un des pires ennemis modernes de la mémoire: la tentation de faire plusieurs choses en même temps. La mémorisation demande un effort pour lequel le cerveau doit être disponible.
Plusieurs vitamines, dont les vitamines B1, B6, B9 et B12 ont plus d'influence que les autres sur les fonctions psychologiques telles que la mémoire et la concentration.
Une des activités le plus efficace qui stimule notre cerveau, est la lecture, mais aussi l'écriture, et les jeux de société.
On distingue souvent trois stades de démence : déclin cognitif léger, déclin modéré, déclin sévère.
Il s'agit d'un questionnaire d'auto- évaluation en 39 items du patient par lui-même, explorant divers domaines cognitifs tels que : l'attention-concentration, le langage, les praxies, le rappel différé, l'orientation vis à vis des personnes, l'orientation dans le temps et la mémoire prospective.
Les principaux facteurs de risque de chutes observés chez les sujets ayant des troubles cognitifs sont les troubles de l'équilibre et de la marche, les anomalies de la vision, la malnutrition, les effets iatrogènes médicamenteux, la peur de tomber, l'instabilité neurocardiovasculaire (en particulier l'hypotension ...
Concrètement, voici le déroulement du bilan cognitif :
Nous nous rencontrons avec votre enfant sur une session de 3 heures. D'abord 1h avec l'enfant et les parents, puis pendant 2 heures uniquement avec l'enfant pour la réalisation des épreuves. 4. Je fais le lien avec le corps médical ou scolaire compétent.
Il n'y a pas de traitement consensuel pour traiter la confusion. La sédation est prescrite au cas par cas lorsque les mesures non médicamenteuses sont insuffisantes avec une agitation importante, une anxiété sévère avec un risque pour le patient ou un tiers.