En tant que parent, vous avez un rôle important à jouer pour donner une image positive de l'école à votre enfant. Intéressez-vous à ce que votre enfant fait en classe et parlez en bien de l'école. Cela lui donnera le goût d'y aller. Évitez de mettre trop de pression pour que votre tout-petit performe à l'école.
Faites-le parler sur ce qu'il apprend, une émission qu'il vient de regarder ou un sujet qu'il aime ; Laissez-le faire des choses par lui-même pour l'autonomiser autant que possible ; Apprenez-lui à mieux s'organiser à la maison comme à l'école ; Félicitez-le en lui décrivant ce que vous avez aimé.
Cette inquiétude peut devenir paralysante quand l'estime de soi du jeune est trop basse, et provoquer des comportements d'évitement. L'adolescent se met lui-même en échec en ne travaillant pas. Ainsi, il pourra dire que son échec est la faute de son manque de travail, pas de son manque de talent.
Empathie, autonomisation et proximité sociale. Telles sont les ressources qu'empruntait donc cet enseignant pour favoriser la motivation de ses élèves.
La phobie scolaire, par définition, c'est une terreur irrationnelle qui empêche un enfant ou un adolescent d'aller en classe. On parle aussi de “refus scolaire anxieux”.
Qu'est-ce que la phobie scolaire ? La principale définition utilisée est celle du Dr Ajuriaguerra, neuropsychiatre, en 1974 : « il s'agit de jeunes qui, pour des raisons irrationnelles, refusent de se rendre à l'école et résistent avec des réactions d'anxiété très vives ou d'angoisse si on les force à y aller ».
Une qualification ou un diplôme rapporte gros!
En moyenne, le salaire des diplômés du secondaire est 35% plus élevé que celui des décrocheurs. De plus, le taux de chômage est deux fois moindre. Voilà de bonnes raisons pour rester à l'école!
Créez-vous un groupe d'amis. Trouvez des camarades qui partagent vos centres d'intérêt : musique, lutte, équitation... Il est important de ne pas être seul ou de se sentir isolé. Avoir un groupe d'amis que vous appréciez est donc une bonne manière de rendre la vie scolaire plus attractive.
La phobie scolaire, c'est la peur irrationnelle (c'est-à-dire sans motif) d'aller à l'école. Elle se caractérise par une incapacité physique et psychique à se rendre sur les lieux et à suivre les cours. Elle est en outre le signe (le symptôme) d'une grande anxiété.
Cet ouvrage relate les six premières années de Louis : erreurs de diagnostic, grandes espérances et désillusions de ses parents, un véritable parcours du combattant, semé d'embûches et d'épisodes tragi comiques pour obtenir des réponses et de l'aide. La prise en charge de ces familles est catastrophique.
Elle améliore la santé et les moyens de subsistance, contribue à la stabilité sociale et stimule la croissance économique à long terme. Elle est aussi essentielle à la réalisation de chacun des 17 objectifs de développement durable.
L'école nous apprend aussi à être moins timides. C'est aussi là que nous apprenons à jouer avec d'autres, à faire d'autres sports, à avoir des ami-e-s. L'école sert peut être aussi à avoir plus tard un bon métier. J'aime l'école car c'est là que nous apprenons à travailler et que nous rencontrons les ami-e-s.
Cette peur de l'école peut être reliée à des facteurs très personnels, comme la peur de l'échec ou, au contraire, à des facteurs extérieurs à toi, comme une pression exercée par tes parents à la maison pour que tu réussisses, ou le fait d'être harcelé à l'école.
Détail important : la décision ne peut se prendre qu'à partir de 16 ans car avant, l'école, en France, est obligatoire !
Réorientation vers une autre classe ou un autre établissement. Mise en place d'un projet personnalisé de réussite éducative (PPRE) Intégration dans un dispositif relais de scolarisation temporaire pour resocialiser et réinsérer le jeune dans un parcours de formation.
Quand un adolescent ne veut plus aller au collège, il faut distinguer deux types de problématiques. La première est pathologique : la phobie scolaire. L'enfant a peur de l'école, cette peur est souvent liée à une crainte de l'idée de la mort, de la séparation.
Se montrer présent et à l'écoute, et non tomber dans une attitude de reproche ou de colère. Lui démontrer du soutien, mais aussi lui exposer les responsabilités qu'implique le fait d'arrêter l'école, et lui dire qu'il devra intégrer le monde du travail et contribuer à la vie familiale.
Les principaux signaux d'alerte de l'anxiété sociale sont les suivants : les signes physiologiques propres à l'angoisse lors d'interactions sociales (palpitations, jambes en coton, plexus serré, tremblements…) l'évitement systématique de relations sociales au point de ne plus voir ses amis.
Décortiquez les efforts (pédalage, guidon), faites-lui parler de sa stratégie : «Comment as-tu fait ?» Et s'il tombe, il remonte ! Dites-lui tout ce que cela va lui apporter. Imposez-lui au moins un sport. C'est le domaine par excellence où l'on apprend à persévérer et où l'intérêt se développe en le faisant.