Le premier goût sera un peu engourdissant - c'est votre palais qui s'acclimate à ce pourcentage d'alcool. Mais tenez-le en bouche juste un peu plus longtemps que d'habitude et vous vous y habituerez. Laissez le whisky rouler autour de votre bouche. Sur votre langue, vous capterez différents arômes.
L'eau : un ingrédient indispensable
Les Écossais ont toujours préconisé de verser une goutte d'eau dans le whisky. Une bonne idée pour les whiskies embouteillés à un fort degré (plus de 55°), selon Lilya : "Cela aide à les étendre un peu". Attention cependant : les glaçons sont formellement interdits !
En fait, la popularité du whisky tient de ce même sentiment social qu'il s'agit d'une boisson unique, pour les « grands ». Il est l'idéal primant sur les autres types d'alcool comme la vodka. Pendant longtemps, il appartenait au domaine du luxe.
Aerdbeg Uigeadail 54, 2%, Single Malt Whisky, Ecosse/Islay
Ma préférence, à moi, va justement aux whiskies d'Islay, aux whiskies tourbés. Ardbeg est certainement le plus tourbé et le plus fumé des malts d'Islay, c'est pour ça que je l'apprécie.
Elle réduirait les risques de formation de caillots sanguins, révélait il y a quelques années le Journal de Montréal. Des études menées par Harvard ou encore le National Center for Biotechnology Information soulignaient que le whisky diminuerait les risques de crise cardiaque, en plus d'être riche en antioxydants.
Buvez de l'eau avant, pendant et après chaque boisson.
Essayez de boire un verre d'eau avant chaque boisson alcoolisée et buvez aussi de l'eau pendant que vous buvez de l'alcool. Buvez l'eau lentement afin d'attendre plus longtemps entre chaque boisson.
Un seul symptôme suffit. Quand le visage rougit, c'est qu'il y a un problème du côté du foie : il a du mal à métaboliser l'alcool, à le changer en acide acétique pour mieux l'éliminer.
Un verre à base large avec un col resserré (forme tulipe) sera privilégié et permettra une meilleure concentration des arômes du Whisky. Déguster le whisky à bonne température : Un whisky se déguste à une température comprise entre 14°à 18° ou entre 18° et 22°, selon le type de whisky.
Avant l'embouteillage, le whisky est dilué avec de l'eau pure pour obtenir un taux d'alcool de 40 %. Une étape importante qui modifie son goût de façon significative. Puis au moment de boire le spiritueux, certains amateurs ajoutent encore quelques gouttes d'eau dans leur verre pour renforcer sa saveur.
Le saviez-vous ? : le champagne rendrait ivre plus vite que d'autres alcools. C'est la science qui le dit. C'est scientifiquement prouvé : boire des boissons alcoolisées à bulles procurerait une ivresse plus rapide qu'après la consommation de boissons « plates » avec le même volume d'alcool.
Le baby de whisky : 2 cl. L'entier (de whisky) : 4 cl. Le dram : il n'y a pas vraiment de règle précise tout dépend qui est la personne qui vous le sert. Cela peut aller 25 à 55 Ml.
Les whiskies tourbés jeunes ou aux tonalités végétales (Kilchoman Machir Bay, Hakushu, apprécient particulièrement l'eau pétillante, que vous choisirez aussi peu salée que possible (Perrier à défaut). Les blends légers (Suntory Toki ou Hibiki, Nikka Day, Cutty Sark, Chivas 12 – qui prend des notes de pomme verte…)
Classiquement, le whisky bourbon est utilisé pour le whisky coca, c'est pourquoi la boisson est également connue sous le nom de « Jack and Coke » ou « Jackie Cola » d'après le whisky Jack Daniel's.
A quoi sont-elles dues ? Les études montrent que l'alcool perturbe fortement l'hippocampe, cette zone cérébrale qui joue un rôle de premier plan dans les processus de mémorisation. Le sujet vit des informations que son cerveau ne peut plus encoder pour les stocker sous forme de souvenirs à long terme.
Les troubles de la mémoire en général
Une consommation excessive d'alcool augmente les risques de troubles de la mémoire en général. Cela veut dire que cette consommation est à la fois dangereuse pour la mémoire à court terme et à long terme.
Troubles de la mémoire
En cas de consommation excessive d'alcool, la personne réfléchit plus lentement, a des difficultés d'orientation et voit ses capacités d'adaptions diminuer. Ces troubles de la mémoire sont en partie dus à une mauvaise absorption de la vitamine B1, réduite par l'alcool.
Si l'on boit un verre assez lentement pour qu'il dure une heure, il est peu probable que l'on s'enivre. Mais dès que l'on boit davantage, ou la même quantité mais plus rapidement, le foie est débordé. L'excès d'alcool se retrouve dans le sang et imprègne chaque organe du corps, y compris le cerveau.
Ainsi, chez les hommes qui buvaient principalement du vin, le risque de cirrhose était 1,2 fois supérieur pour une consommation de 14 à 28 boissons par semaine par rapport à une consommation de moins de 14 boissons par semaine.