Reconnu dans la tradition comme une divinité hybride, le Jengu est une représentation mystique de la toute puissance des esprits de l'eau faisant partie intégrante de la vie des peuples Sawa. C'est un être aquatique, difforme par rapport aux humains et indissociable de l'eau.
Les Sawa regroupent les populations suivantes : Moungo (Nkongsamba) : Baneka, Bakaka, Bakem, Balong, Bankon, Bonkeng, Mbo'o, Pongo, Bakoko. Wouri (Douala) : Douala, Bassa, Malimba, Bakoko.
Sawa est la désignation des peuples autochtones riverains de l'océan Atlantique, du sud-ouest et d'une partie du sud du Cameroun. Ce terme signifie aussi « côtier ». par lequel tout Sawa pouvait comprendre le monde et son environnement.
Le jengu est une fée de l'eau, ce qu'on pourrait appeler ailleurs une ondine. Différente du Mami Wata, ou sirène. Les jengus vivent dans le fleuve Wouri, qui traverse Duala, et un culte leur est consacré par les populations riveraines autochtones les Dualas.
Historique du festival Ngondo au Cameroun
Initié sur la proposition de Stéphane Ndoumbe Ekale lors de l'Assemblée traditionnelle des princes héritiers Sawa en 1949, le Ngondo a longtemps été une cérémonie basée sur des rituels et uniquement réservés aux dignitaires et princes héritiers Sawa (Mveng, Engelbert, 1963).
NGOND'A BWAM SAWA.
L'Ambas-Bay (nom anglais de la baie d'Ambas dans le golfe de Guinée au large de Douala) est une danse traditionnelle camerounaise, et un rythme originaire du peuple Yabassi de la province du Littoral.
Les membres de la famille savaient ainsi qu'il ne fallait pas toucher à ses bananes. Quand le reste du cordon ombilical se détachait par dessèchement du ventre de l'enfant, la mère l'enveloppait dans une feuille de bananier plantain et le rangeait sous son lit.
La Grande veillée du Ngondo réunit tous les patriarches et les membres de la population intéressée. De nombreuses manifestations-clés du festival s'y déroulent, notamment la demie finale de luttes traditionnelles, la finale de l'élection de la Miss, ou encore des animations de chorale.
Parmi les communautés autochtones du Cameroun, on retrouve les peuples Sawa, terme regroupant un ensemble d'ethnies vivant le long du littoral camerounais pour qui l'eau imprègne très fortement leurs traditions et cultures.
de la côte littorale du Cameroun, en Afrique centrale. l'ésséwé est caractérisée par des mouvements des. épaules et des bras et des déhanchements.
Les Duala étant un peuple côtier, leurs activités sont souvent tournées vers l'océan et l'estuaire du fleuve Wouri, comme en témoignent leurs arts et activités traditionnelles, telles les courses de pirogues. Aujourd'hui le pays Douala est largement christianisé.
Le Littoral est la région des peuples Sawa et le plat le plus répandu est le Ndolé (famille des épinards). Le Ndolé est un plat long à cuisiner, et se prépare à base de légumes cuits dans une pâte d'arachide, avec des crevettes et de la viande ou du poisson.
Le Cameroun, sur ses 430.000 kilomètres carrés, apparaît comme une véritable mosaïque de populations. Il semble avoir été habité primitivement par des Négrilles, qui ont été refoulés par des migrations récentes. Entre le XVIIe et le XIXe siècles, sont arri¬ vés des Baritous, des Hamites, des Soudanais et des Fangs.
ngweha — Wiktionnaire, le dictionnaire libre.
Le bassa est une langue bantoue en voici quelques mots : Ngonda = Mademoiselle Iloga = Jeune homme Mè yéga = Merci (on utilise couramment cette expression pour dire aussi bonjour à n'importe quel moment de la journée ) kel lam = bonjour kokoa lam= bonsoir nan ii lam= bonne nuit I nkè laa? = comment vas-tu?
Le Ngondo est une fête traditionnelle et rituelle des peuples côtiers camerounais. Il réunit les peuples sawa de la région du littoral (Douala) pendant la première semaine du mois de décembre 1.
Théoriquement, les rites du veuvage chez les Douala pourraient se résumer en quatre grands moments: les lamentations, la purification et l'obole des femmes, la neuvaine et le port du deuil proprement dit. La mort du mari est une épreuve particulièrement éprouvante.
« Le laver – mains » comme nous l'avons souligné en aval, est un rituel Mystique et traditionnel qui consiste à rompre de manière définitive les liens entre un mort et les membres de sa famille. Ceci se passe quatre jours (Pour la femme) et cinq jours (Pour l'homme) après le trépas de ceux-ci.
Le Mbombok est un patriarche traditionnel dans l'institution sociale du peuple Bassa.
Dans le cas de Douala, les autochtones douala, bassa et bakoko, qui se plaignaient déjà d'être mis en minorité par les allogènes constitués en majorité par les Bamiléké venus de l'ouest du pays, ont ainsi, grâce à ce mécanisme, obtenu le contrôle de la mairie et du bureau du conseil régional dans lequel ne figure qu'un ...
Certaines croyances concernent aussi le cordon ombilical, comme, par exemple, de l'enterrer sur le terrain d'une mosquée pour que l'enfant soit un croyant dévoué. En Malaisie, le placenta est nettoyé, placé dans un tissu et couvert d'épices, avant d'être enterré devant l'entrée de la maison de l'enfant.
CHEFFERIE. Du fait de leur caractère très élaboré, de leur cohésion et de leur permanence, les chefferies bamiléké sont souvent citées en exemple dans la littérature anthropologique.
Le bikutsi (parfois appelé tipi) est une musique et une danse traditionnelle du Cameroun. Cette danse et cette musique sont originaires des provinces du Centre. C'est une danse traditionnelle relative à l'ethnie Beti.
Le mangambeu est une danse et un rythme traditionnels bamiléké de l'ouest du Cameroun. Il est joué par des xylophones et des percussions traditionnelles telle que le sanza par les hommes et dansée par les hommes et les femmes.